Son père est un avocat (protonotaire), alors que sa mère, Valentine Labelle[1], s'adonne à la peinture.
Germaine Guèvremont fait ses études chez les sœurs de Sainte-Croix à Sainte-Scholastique, ainsi qu'à Saint-Jérôme et à Lachine (ville fusionnée à Montréal le ) chez les Sœurs de Sainte-Anne. Par la suite, elle étudie le piano et l'anglais pendant un an à Toronto au Loretto Abbey. Elle habite ensuite avec son mari, Hyacinthe Guèvremont, à Ottawa pendant quatre ans, puis revient à l'Îlette-au-Pé sur les Îles de Sorel. En 1926, elle devient journaliste correspondante du journal montréalais The Gazette, puis écrit pour le journal Le Courrier de Sorel. En 1935, elle s'installe à Montréal et interrompt sa carrière de journaliste.
En 1938, elle aide son cousin Claude-Henri Grignon, à l'écriture de la première saison de la série radiophonique Un homme et son péché. Ce feuilleton radiophonique a une longévité exceptionnelle puisqu'il est diffusé de 1939 à 1962.
Également en 1938, elle recommence à écrire pour des journaux. Elle travaille à la revue Paysana où elle publie des entrevues, des articles sur la culture, trois contes (regroupés sous le titre: En pleine terre (1942) et des romans feuilletons jusqu'en 1945.
Publié en 1945 à compte d'auteur, son premier roman Le Survenant reçoit d'abord un accueil réservé[2]. Avec la parution du livre en France, Germaine Guèvremont reçoit l'appui du public québécois et se mérite dès 1946 le prix David et le prix Sully-Olivier de Serres de l'Académie française.
L'année suivante, elle publie un deuxième et dernier roman, Marie-Didace (1947), qui se veut une sorte de prolongement de l'histoire des Beauchemin. Elle est élue à l'Académie canadienne-française en 1949. Son œuvre obtient par la suite une plus vaste audience tant en Europe qu'aux États-Unis.
Dès 1950, elle se consacre à l'adaptation radiophonique du Survenant qui est diffusée sur les réseaux de CBF et de CKVL de 1952 à 1955[2].
Sa production télévisuelle reprend et prolonge l'œuvre romanesque et radiophonique. Elle forme de plus une trilogie qui, pendant six ans, a largement influencé la programmation des années 1950 avec Le Survenant (1954-1957,1959-1960), Au chenal du moine (1957-1958) et Marie-Didace (1958-1959). De 1961 à 1962, elle collabore au Nouveau Journal.
Une version définitive de son roman Le Survenant, publié chez Fides en 1974, propose une fin plus énigmatique au Survenant. Notre héros, quittant le Chenal du moine, conserve, comme à son arrivée, son aura mystérieusement poétique, sinon mythique.
Germaine Guèvremont meurt le à la suite d'une intervention chirurgicale, avant d'avoir pu compléter ses mémoires. Gabrielle Roy lui consacre un éloge funèbre quelque temps après sa mort[3].
1938: En pleine terre (recueil de nouvelles d'abord publiées en feuilleton dans la revue Paysana. Il est illustré par Cécile Chabot.);
1939: Tu seras journaliste (roman sous la forme d'un feuilleton);
1942: En pleine terre (159 pages-20cm.) (recueil de trois contes, basé sur le feuilleton du même titre) - Éditions Paysanna
1950: The Outlander (à New-York chez Mcgraw-Hill)/The Monk's Reach et à Londres chez Evans Bros. (traduction en anglais des deux romans rassemblés: Le Survenant et Marie-Didace).
Années 1930
1933
Grasse ou maigre, Courrier de Sorel (le), .
Les champions de la parlote, Courrier de Sorel (LE), .
Les vivants et les morts, Courrier de Sorel (Le), .
1938
Les Survenants, Paysana, vol. I, no. 1, , pages 11 et 12., NOUVELLE: (Il s’agirait du premier texte de fiction à avoir été publié par Germaine Guèvremont. Plusieurs des personnages du Survenant et de Marie-Didace s'y retrouvent.)
Le départ, Paysana, vol I, no. 2, , pages 12 et 38.
Sa prière, Paysana, vol. I, no. 3, , p. 22.
La Noce, Paysana, vol. I, no 4, , pages 19 et 32.
Un malheur, Paysana, vol. I, no. 5, , page 13.
Quand l’été s’en va..., Paysana, vol I, no. 6, , page 11.
La femme du médecin de campagne
Paysana, vol. I, no. 8, , pages 17 et 18.
Le rêve d’un chef Paysana, vol. I, no 8, , p. 19.
1939
Une grosse nouvelle, Au M. R. T.. Français, les 26 et (Pièce en un acte. Reprise au Théâtre d’été, émission de CBFT, le .)
La fille à De-Froi, Paysana, vol. I, no. 11, , pages 10 et 11.
Ode à son cheval, Paysana, vol II, no. 1, , page 25.
Tu seras journaliste (roman-feuilleton), Paysana, (entre et , inclusivement, soit sur 18 numéros) vol. II, no. 2, , p. 12 et 13; no 3, , p. 28 et 29; no 4, , p. 13 et 20; no 5, , p. 7 et 11; no 6, , p. 10 et 11; no 7, , p. 8 et 9; no 8, , p. 6 et 7; no 9, , p. 6, 7 et 13; no 11, , p. 5, 6 et 7; no 12, , p. 6 et 7. vol III, no 1, , p. 18 et 19; no I (bis), , p. 22 et 23; no 2, , p. 24, 25 et 32; no 3, , p. 20, 21 et 22; no 4, , p. 9 et 24; no 5, , p. 19 et 24; no 6, , p. 20 et 21; no 7, , p. 22, 23 et 24.
Le 3e centenaire de Racine, revue populaire (la), 32e année, no 11, , p. 7.
(Article publié à l’occasion de la fête organisée par la Société des Écrivains Canadiens)
La semaine de la lettre, Paysana, vol. II, no 9, , p. 22 et 23.
Louis Fréchette, Paysana, vol. II, no 10, , p. 6.
Pays-Jasettes, Paysana, vol. II, no 10, , p. 20.
Années 1940
1940
Un ami des livres, La revue populaire, 33e année, no 5, , p. 9, 62, 67. (Visite chez un bibliophile montréalais, Denis de la Ronde.)
La raison d’un pseudo. , Un homme et ses enfants, Un autre homme, etc. et des hommes de bonne volonté, Ma prière, Donnons des livres en étrennes (pseud. La femme du postillon) L’Oeil, vol . I, no. 5, , p. 27.
La Société des écrivains Canadiens, Culture, vol. I, no 3, , p. 362 et 363.
1941
Un quêteux sans pareil. , Le bonheur s’apprend, Irons-nous “à” ski ou “en“ski?, Un peu de logique, Donner des noms, Comme un enfant, Paysanneries (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol I, no. 6., , p. 32.
La petite «campe» de l’Enfant Jésus. Un beau sermon, Chacun sa prière, La femme riche, Nourriture biblique, Foncièrement chrétienne (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. I, no. 7, , p. 19.
Soleil., Jeunesse, Folle jeunesse, Extrème jeunesse, J’ai dit au postillon, Le postillon m’a dit. (pseud. La femme du postillon) L’Oeil, vol I, no. 8, , p. 25.
Un vrai taupin,, Paysana, vol IV, no 1, , pages 7 et 20. (conte)
C’est notre fête, Paysana, vol IV, no 1, , p. 24.
Propos de printemps, Sans à-propos, Campagne, À la campagne, L’esprit des uns, Celui des autres. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. I, no. 9, , p. 30.
Les demoiselles de Mondor, LA REVUE MODERNE, vol. 22, no 1, , p. 9, 36. (Nouvelle reprise dans En pleine terre)
Le tour du village, Paysana, vol. IV, no 3, , p. 6; no 4, , p. 10; no 5-6, , p. 10.
vol. VI, no 4, , p. 14.
L’arbre devant la maison, Une porte ouverte ou fermée, Marche... Marche... Marche..., Une histoire aérée, Skiez mortels (pseud. La femme du postillon), Oeil, L’, vol. I, no 10, , p. 25.
La gloire d’une débutante, La belle âge, Dernière jeunesse, Générosité perdue, Prélude, Le livre le plus court, Une définition, Postillonnages. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. I, no. 12, , p. 32.
Monique en vacances, Un honnête homme, Américain ou canadien. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, Vol. II, no. 1, , p. 26.
La dame de journée moyen-âge, Précisions, Comment faut-il les appeler?. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. II, no. 2, , p. 24.
Le bouleau d’argent, Paysana, , pages 5 et 17. (conte)
Plus précisément, Un homme mal pris, Le front contre la vitre ... du tramway, Testaments, Pénurie d’institutrices, Expositions de revues, Petit courrier, Fêtera-t-on le IIIe centenaire?, Dans le pit en l’air, Neige d’Antan. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol II, no 3, , p. 25.
Portés disparus, Distractions, Le bœuf à la mode, Références, références, Un sage, Sans diplôme, Neige d’Antan. (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. II, no. 4, , p. 25.
Une femme et son métier, Paysana, vol. IV, no 10, , p. 4. (reportage)
Thémis versus Diane, Romance, petite fleur bleue toujours vivace, Entendons-nous, Pour les bridgeurs, Sans javelage, Joyeux Noël.(pseud. La femme du postillon), L’Oeil, Vol. II, , p. 26
1942
En pleine terre, Montréal, Éditions Paysana ltée. (1942), 159 p.; — 1946, 156 p.; — Montréal et Paris, Fides, (1955), 125 p.; — 1976, 140 p. — (La plupart des nouvelles parurent d’abord dans Paysana. Entre la publication de ces textes de fiction dans Paysana et l'édition sous forme de livre, le style de tous les textes a été considérablement modifié.)
La femme péril ou salut de la terre, Paysana, vol. IV, no 11, , p. 6.
En marge de la guerre, Le pain amer, Plus obscur que la grande noirceur, New York présente, Chinoiseries, Serions-nous féministes?, Échos des fêtes (pseud. La femme du postillon), L’Oeil, vol. 2, no 6, , p. 23.
Paysana présente... Marie-Claire Daveluy, Paysana, vol IV, no 12, , p. 8. (entrevue)
Pays-Jasettes, Paysana, vol IV, no 12, , p. 21 et 22.
Une famille au service de l’agriculture, Paysana, vol V, no 1, , pages 14 et 15. (reportage)
Une belle carrière, Florine Phaneuf, Paysana, vol V, no 3, , p. 9. (entrevue)
Le 3e centenaire de Sorel, Samedi (Le), 54e année, no 12, , p. 4-5, 31. (Germaine Guèvremont fait l’historique de la ville et décrit Sorel, «ville centenaire, ville royale, ville maritime, ville d’avenir...)
Une jeunesse de 83 ans (dans la série: Nos grandes femmes), Paysana, vol. V, no 10, , p. 9.
1943
Un sauvage ne rit pas, LA REVUE MODERNE, Vol. 24, no 11, , p. 10-11. (Mélusine, journaliste, autrefois courriériste du News à Sorel, reconnaît, dans une soirée au Press Club, un sauvage qui avait tenté de traverser l’Atlantique en canot. Quand elle découvre la supercherie (le sauvage était garçon de table, et était alors petit employé d’une agence de publicité), elle le gifle. (À rapprocher d’un récit fait par Germaine Guèvremont, dans La découverte de Sorel en 1926, Paysana, , p. 7.)
De fil en aiguille, Paysana, vol VI, no 1, , p. 7.
Un maître-artisan (Moïse Beauchemin, pionnier de l’industrie des machines aratoires dans la province de Québec) Paysana, vol. VI, no 2, , pp. 8 et 9.
L’arbre devant la maison, Paysana, vol. VI, no 2, , p. 16.
Lettre morte, Paysana, vol. VI, no 3, , pages 8 et 9. (conte)
La peur, Paysana, vol. VI, no 5-6, juillet-, pages 7 et 14. (conte)
L’enfant, notre espoir..., Paysana, vol VI, no 7, , p. 9.
Le petit bac du Père Drapeau, Paysana, , pages 5 et 6.
La découverte de Sorel en 1926, Paysana, vol. VI, no 9, , p. 6 et 7.
Il y a soixante ans, Paysana, vol VI, no 10, , p. 8.
Figures de femmes. Madeleine Huguenin, Paysana, vol. VI, no 10, , p. 8.
Le Survenant: L’arrivée du Venant — L’abandon, Gants du Ciel, no, 2,
1944
En ce temps-là, Paysana, vol VI, no 11, .p. 6 et 13.
Fidélité, Paysana, vol VI, no 12, , p. 3.
Des mains ingénues, Paysana, vol. VI, no 12, , p. 8. (entrevue)
Avec un grain de sel..., Paysana, vol. VII, no 1, , p. 6 et 12.
Un chapeau se penche sur une femme, Paysana, vol VII, no 2, , pages 7 et 18. (entrevue)
Années 1950
1952
L’émeraude, nouvelle sentimentale, REVUE MODERNE (LA ) , vol. 34, no 1, , p. 8, 17, 21.
1953
Le Survenant, Radioroman original. Station CBF. Réalisation: Paul Leduc. Quotidien, 15 minutes. Du au ., Reprise: Station CKVL Quotidien, 15 minutes. Du au ., Microfilm: Pierre Pagé et Renée Legris, 1972..
1954
Les Demoiselles de Mondor, Conte original, série Contes de mon pays ( - ) Station CBF. Réalisation Guy Beaulne. 30 minutes. Diffusé le . Texte dactylographié, avec annotations manuscrites, 21 x 35 cm. 17p. Manuscrit: Société Radio-Canada.
Le survenant, Téléroman, diffusé à Radio-Canada entre le et le . Direct, noir et blanc, 138 épisodes de 30 minutes. Dates de diffusion: du au , le mardi de 20h30 à 21h00; du au , le mardi de 21h00 à 21h30; du au , le mardi de 20h00 à 20h30; du au , le jeudi de 20h30 à 21h00.
1957
Au chenal du moine, Téléroman (suite du Survenant), diffusé à Radio-Canada entre le et le , le jeudi entre 20h30 et 21h00, Direct, noir et blanc, 39 épisodes de 30 minutes. Dates de diffusion: Du au , le jeudi entre 20h30 et 21h00.
Au pays du Survenant, LA REVUE MODERNE, vol. 39, no 1, , p. 12, 14. (Germaine Guèvremont raconte l’aventure du Survenant. «Plus qu’un homme, le Survenant est l’île de nostalgie, de déraison, d’inaccessible, d’inavouable — et pourtant d’humain — que chacun porte en soi. L’île perdue.»)
1959
Le premier chapitre d’un troisième roman parut, sous le titre Le plomb dans l’aile, dans Cahiers de l’Académie canadienne-française, vol. III, no. 5, 1959, p. 69-75. (Marie-Didace quitte le Chenal-du-Moine, où elle s’ennuie, pour aller chercher su travail au journal de Sorel. Angélina la prévient: «A Sorel, il y a du monde que tu connais pas. Y a du danger. La crise. Tu pars avec du plomb dans l’aile.»)
Années 1960
1961
Dans la quotidien LE NOUVEAU JOURNAL, Germaine Guèvremont tient la chronique Trois minutes avec ..., conjointement avec Solange Chaput-Rolland, Michelle-A. Mailhot, Lucie de Vienne, Thérèse Casgrain, Andréanne Lafond et quelques autres. Ses billets s’échelonnent du au .
Un homme habité., Le Nouveau journal, , p. 21. (Sur Ernest Hemingway)
Découpages. Le Nouveau journal, , p. 22.[ (Billet sur les choses familières qui s’en vont...)
Onze novembre., Le Nouveau journal, , p. 22. (Réflexion sur le souvenir et l’oubli)
Ne me donnez, Seigneur...
Le Nouveau journal, , p. 21.
(Réflexions à partir d’un texte de l’agenda Aujourd’hui, de Françoise Gaudet-Smet.)
Le premier scoop du monde., Le Nouveau journal, , p. 19
Ses enfants à qui elle demandait d’être à l’affût des nouvelles pour la Gazette, lui rapportent «une grosse nouvelle»: Caïn a tué Abel!
Où allons-nous?., Le Nouveau journal, , p. 22. (Dans la vie trépidante que nous menons, où trouver le bonheur?)
Ce vice puni... la lecture. Le Nouveau journal, , p. 23. (Commentaires sur les méthodes de lecture rapide. «Pour moi, le vieux principe paysan garde sa validité: un feu lent est plus de durée qu’un feu de broutilles et d’éclats.»
Information-minute. Le Nouveau journal, , p. 20. (Autre commentaire sur la lecture rapide)
Noël approche. Le Nouveau journal, , p. 22. (Souvenirs d’enfance)
Les visiteurs du Jour de l’An. Le Nouveau journal, , p. 21. (Rappel de la coutume des nombreuses visites du premier de l’an.)
1962
D’une étrenne à l’autre. Le Nouveau journal, , p. 21. (Pour ses petits enfants, Germaine Guèvremont se met à la recherche de l’origine des étrennes.)
Sur un air connu. Le Nouveau journal, , p. 23. (Réminiscences. Germaine Guèvremont rappelle comment la charge de courriériste (à la Gazette) s’offrit à elle et lui fut un antidote contre l’ennui, «péché irrémissible des petites villes»)
Voyage au pays de la bonne fourchette. Le Nouveau journal, , p. 23. (Sur la gastronomie, à l’occasion du Grand Salon Culinaire.)
A la croque au sel. Le Nouveau journal, , p. 23. (Sur le sel, ses symboles, les superstitions qu’il fit naître.)
Enfants de la nuit. Le Nouveau journal, , p. 20. (Sur le rêve, la chance...)
Connaissez-vous Annie? Le Nouveau journal, , p. 23. (Sur l’épouse du cosmonaute John Glenn.)
Deux nouvelles. Le Nouveau journal, , p. 23. (Germaine Guèvremont amorce une réflexion sur les trains de son enfance, à partir de l’annonce de la construction d’un jet supersonique.)
Discours de réception à la Société Royale du Canada (Dans Présentations, no 16, Société Royale du Canada, Section française, Trois-Rivières, . p. 93-98. Présentation de l’auteur par le Dr Adrien Plouffe. p. 87-91.)
1963
Jamais je n’oublierai... Dans Présence de Victor Barbeau, Montréal, Atelier Pierre Desmarais, 1963, p. 23-26 (Cahier no 2)
1965
Le Survenant, homme ou dieu? (Conférence aux étudiants de l’Université de Montréal, le . 10 pages (texte dactylographié)
1967
Marie Mauron. Cahiers de l’Académie canadienne-française, no. 11 Reconnaissances littéraires. Montréal, 1967. p. 144-150. (Article consacré à cet écrivain français, «gloire littéraire de la Provence.»
A l’eau douce. Châtelaine, vol. 8, no 4, , p. 34-35, 74, 76, 80, 82.
Le premier miel. Le Devoir, supplément littéraire, , p. XXI.
CHARBONNEAU, Robert, Romanciers canadiens, p. 47-53.
DÉCARIE, David, «Les zinnias: les relations mère-fille et la problématique de l’enfant de remplacement dans l’oeuvre de Germaine Guèvremont», Études françaises, vol.46, no1, , p.99-121 (lire en ligne)
DE GRANDPRÉ, Pierre, Histoire de la littérature française du Québec, Librairie Beauchemin, Montréal, 1968 (tome II, 1900-1945), p. 288 et suivantes.
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DUHAMEL, Roger, «Courrier des lettres», le Devoir, , p. 6
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MARCOTTE, Gilles, Anthologie de la littérature québécoise, Vol IV, l’âge de l’interrogation 1937-1952 par René Dionne et Gabrielle Poulin, Ed La Presse, Montréal, 1980
PARADIS, Suzanne, «Alphonsine Beauchemin , Marie-Amanda Beauchemin, Angélina Desmarais», dans Femme fictive, femme réelle. Le personnage féminin dans le roman canadien-français, 1884-1966, Québec, Garneau,1966, p. 30-43.
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Disponible à la Bibliothèque Centrale de l'UQAM Monographies: AC20OU5511.M1200
GIROUARD, Pierre, Germaine Guèvremont et son oeuvre cachée, Les Éditions De Neveurmagne, Saint-Ours, 1985, 62p.
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MARTIN, Stéfanie, La figure du Christ dans l'oeuvre romanesque de Germaine Guèvremont, McGill Univ. Département de langue et de littérature françaises, Thesis (M. A.), 1991, 139 p.
POIRIER, Michel Phillipe, Le survenant selon Giono et Guèvremont, McGill Univ., Département de langue et littérature françaises, Thesis (M. A.), 1988, 108 p.
RENAUD, Benoît, Les techniques littéraires de Germaine Guèvremont, Université d'Ottawa, Mémoire de maîtrise, 1971, 126 p.
ROBERTO, Eugène, L'Hermes québécois, Ottawa, Éditions David, 2002, 154 p.
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RUBINGER, Catherine, Germaine Guèvremont, portrait de la femme dans le roman canadien français, McGill Univ., Département de langue et de littérature françaises, Thesis (M. A.), 1967, 112 p.
Radio-Canada, cinquante ans de grande télévision. 1 [enregistrement vidéo] / Société Radio-Canada en collaboration avec Imavision 21. Éditeur: [Montréal]: Société Radio-Canada: Imavision Distribution, [2002] Description: • 1 cassette (VHS) (env. 123 min): son., n&b; 1/2 po. • Vidéo • Visionnement privé. (Contenu: LA FAMILLE PLOUFFE. Cette série, écrite par Roger Lemelin, a été originellement diffusée de 1953 à 1959. Dans cet épisode, Théophile Plouffe est heureux d'apprendre qu'un oncle décédé a pensé à lui dans son testament. Toutefois, une surprise l'attend au moment où il reçoit sa part d'héritage (env. 28 min) -- LE SURVENANT. Cette série, écrite par Germaine Guèvremont, a été originellement diffusée de 1954 à 1960. Dans cet épisode, Le Grand Cirque est de passage à Saint-Joseph-de-Sorel. Toute la population du Chenal-du-Moine ne parle que de cela. Pendant qu'Angélina (Hélène Loiselle) surprend le Survenant (Jean Coutu) en train de se faire dire la bonne aventure par une belle bohémienne, Bedette (Marjolaine Hébert) tente de convaincre Phonsine (Suzanne Langlois) de venir avec elle ... voir les bêtes féroces! Mais le Père Didace (Ovila Légaré) n'a pas dit son dernier mot et veille au grain (env. 28 min).
DANSEREAU, Mireille, Germaine Guèvremont, Radio-Québec, une vidéocassette (28 min) Disponible à l'Audiovidéothèque de l'UQAM +VHS 5835
PATRY, Pierre (réalisateur) Germaine Guèvremont romancière, 1959, 30 min. Maintenant disponible pour visionnement en ligne:
La rue Marie-Didace a été nommée en l'honneur de son oeuvre, en 2006, dans la ville de Québec.
L'avenue des Ancêtres porta, auparavant, le toponyme d'avenue Germaine-Guèvremont, durant 3 mois, en 1979 dans la ville de Québec.
Renée Legris, Dictionnaire des auteurs du radio-feuilleton québécois, Fides, 1981
BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA. RÉPERTOIRE DU FONDS GERMAINE GUÈVREMONTLMS 0260 2004-03. Numéro de référence archivistique; R 12045-0-0-F Numéro MIKAN: 3697418