Franz Burchard Dörbeck

Franz Burchard Dörbeck (21 février 1799 à Viljandi, Gouvernement de Livonie, aujourd'hui Estonie ; mort dans la même ville le 2 octobre 1835) est un artiste peintre, graveur et caricaturiste germano-balte^[1].

Franz Burchard Dörbeck

Naissance	21 février 1799 Viljandi
Décès	2 octobre 1835 (à 36 ans) Viljandi
Nationalité	russe
Activités	Caricaturiste, lithographe, graveur, peintre, dessinateur

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Biographie

De 1814 à 1816, Franz Burchard Dörbeck étudia la gravure à Saint-Pétersbourg avec Fritz Neyer. Après la mort de sa première femme, il déménagea à Riga où, à partir de 1820, il fut un peintre portraitiste. En 1823, il partit pour Berlin où il fut illustrateur et graphiste, devenant célèbre^[2] pour les caricatures qu'il publiait dans les journaux.

Dans les années 1960, son nom a été donné à une rue de l'arrondissement de Spandau, à Berlin^[3].

En Estonie, Franz Burchard Dörbeck est connu comme l'auteur du seul portrait qui subsiste de Kristjan Jaak Peterson, considéré comme l'un des fondateurs de la langue et de la poésie estonienne moderne.

• 
  Maiusroog (n. d.), peinture à l'huile (Musée d'Art d'Estonie).
• 
  Caricature de Franz Burchard Dörbeck parue en 1830^[4].
• 
  Portrait de Kristjan Jaak Peterson gravé par Franz Burchard Dörbeck.

Notes et références

• (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Franz Burchard Dörbeck » (voir la liste des auteurs).
• (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Franz Burchard Dörbeck » (voir la liste des auteurs).

1. (en) Maurice Horn, The World Encyclopedia of Cartoons by Richard E Marschall, page 147 (ISBN 0-7910-4855-1) (lire en ligne).
2. (fr) : Ursula E. Koch, « Satire et pouvoir à Berlin : des passions de 1848 à l’ordre bismarckien », in Matériaux pour l’histoire de notre temps, vol 28, 1992, p. 12-15 : http://www.caricaturesetcaricature.com/article-13429126.html
3. (de) Geschichte von Dörbeckweg, Kauperts, guide des rues de Berlin.
4. Légende : Gespräch vor der Kneipe. Ick will Dir sagen, lieber Bruder, ick drinke eigentlich nie kenen nich, un des is och mein erster Grund, zwetens drinke ick heute nu jar kenen nich, weil meine Mutter jestorben is, un drittens habe ick erst eben in de joldene Kugel enen jedrunken.

Annexes

Bibliographie

• (de) Hans Ludwig, Altberliner Typen von Dörbeck, Berlin, Staneck Verlag, 1966.

Liens externes

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