Cosne-Cours-sur-Loire

commune française du département de la Nièvre De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Cosne-Cours-sur-Loiremap

Cosne-Cours-sur-Loire ([kon kuʁ syʁ lwaʁ]), souvent abrégée en Cosne-sur-Loire ([kon syʁ lwaʁ]), du nom de l'ancienne commune, est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Faits en bref Administration, Pays ...
Cosne-Cours-sur-Loire
Cosne-Cours-sur-Loire
Bords de Loire et pont suspendu à Cosne-Cours-sur-Loire.
Blason de Cosne-Cours-sur-Loire
Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
(sous-préfecture)
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Loire
(siège)
Maire
Mandat
Daniel Gillonnier
2020-2026
Code postal 58200
Code commune 58086
Démographie
Gentilé Cosnois
Population
municipale
9 786 hab. (2022 )
Densité 184 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 44″ nord, 2° 55′ 39″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 252 m
Superficie 53,3 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Cosne-Cours-sur-Loire
(ville isolée)
Aire d'attraction Cosne-Cours-sur-Loire
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Cosne-Cours-sur-Loire
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Cosne-Cours-sur-Loire
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Cosne-Cours-sur-Loire
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Cosne-Cours-sur-Loire
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Cosne-Cours-sur-Loire
Liens
Site web mairie-cosnesurloire.fr
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    Elle résulte de la fusion au des communes de Cosne-sur-Loire et de Cours.

    Géographie

    Résumé
    Contexte

    Localisation

    Cosne-Cours-sur-Loire se situe au sud-est de Montargis (80 km) et de Paris (190 km) et au nord-ouest de la préfecture départementale, Nevers (55 km) ; elle est de plus à 59 km au nord-est de Bourges, et respectivement à 115 km et 215 km au nord de Moulins et de Clermont-Ferrand.

    Cosne-Cours-sur-Loire est la deuxième ville de la Nièvre en nombre d'habitants. Elle est située au nord-ouest du département, au confluent de la Loire et du Nohain.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bannay, Boulleret, La Celle-sur-Loire, Myennes, Saint-Loup-des-Bois, Saint-Martin-sur-Nohain, Saint-Père, Saint-Vérain et Tracy-sur-Loire.

    Géologie

    Hydrographie

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Léré », sur la commune de Léré à km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −13,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

    Davantage d’informations Mois, jan. ...
    Statistiques 1991-2020 et records LERE (18) - alt : 139m, lat : 47°27'28"N, lon : 2°53'35"E
    Records établis sur la période du 01-06-1997 au 04-01-2024
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,8 0,5 2,4 4,4 8,1 11,4 13 12,7 9,3 7,2 3,6 1,3 6,2
    Température moyenne (°C) 4,1 4,8 7,8 10,7 14,3 18 19,8 19,6 16 12,4 7,5 4,6 11,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,4 9 13,2 16,9 20,5 24,5 26,6 26,6 22,7 17,6 11,4 8 17
    Record de froid (°C)
    date du record
    −11,9
    13.01.03
    −13,3
    09.02.12
    −12,4
    01.03.05
    −6,4
    04.04.22
    −1,4
    03.05.21
    1,9
    12.06.11
    4,8
    21.07.08
    2,8
    30.08.1998
    −1,2
    20.09.12
    −6,7
    19.10.09
    −10,9
    24.11.1998
    −11,2
    19.12.07
    −13,3
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,5
    01.01.23
    21,7
    27.02.19
    26,3
    31.03.21
    29,3
    20.04.18
    31,5
    25.05.09
    39,8
    27.06.19
    41,9
    25.07.19
    40,4
    11.08.03
    36,4
    10.09.23
    30,7
    13.10.23
    23,4
    07.11.15
    17,9
    05.12.06
    41,9
    2019
    Précipitations (mm) 55,7 48,2 49,9 58,3 67,4 55,4 61,6 59,3 58,6 65,4 66,4 64,3 710,5
    Fermer
    Source : « Fiche 18125004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    7,4
    0,8
    55,7
     
     
     
    9
    0,5
    48,2
     
     
     
    13,2
    2,4
    49,9
     
     
     
    16,9
    4,4
    58,3
     
     
     
    20,5
    8,1
    67,4
     
     
     
    24,5
    11,4
    55,4
     
     
     
    26,6
    13
    61,6
     
     
     
    26,6
    12,7
    59,3
     
     
     
    22,7
    9,3
    58,6
     
     
     
    17,6
    7,2
    65,4
     
     
     
    11,4
    3,6
    66,4
     
     
     
    8
    1,3
    64,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

    Urbanisme

    Résumé
    Contexte

    Typologie

    Au , Cosne-Cours-sur-Loire est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cosne-Cours-sur-Loire[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est la commune-centre[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Thumb
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,8 %), forêts (18,6 %), zones urbanisées (13,7 %), prairies (10 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 4] (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Condate au IIe siècle (Ptolémée) et au IVe siècle (Itinéraire d'Antonin)[14].

    Cosne est issu directement de Condate[14], mot celtique (gaulois) signifiant « confluent, confluence (réunion) »[15]. La forme Cosne, au lieu du plus commun Condé (langue d'oïl) attendu, s'explique par un déplacement de l'accent tonique. Cosne est effectivement situé à la confluence du Nohain et de la Loire dans laquelle il se jette à cet endroit.

    Cours est attesté sous la forme de Curte en 1147[14]. Il s'agit du gallo-roman *CŌRTE[16] « cour → ferme, domaine » issu du latin vulgaire cōrtem[14] ou curtis. La graphie actuelle cours est fantaisiste, tout comme l'orthographe du français cour que l'on a cru être issu du latin curia, alors qu'il procède de cōrtem / curtis, d'où courtois (ancien français corteis) cf. aussi les toponymes en -court et l'anglais court emprunté au français.

    Histoire

    Résumé
    Contexte
    Thumb
    L'abside de l'église Saint-Aignan, d'après Viollet-le-Duc.

    Le territoire de la commune est peuplé depuis la Préhistoire.

    En 596, le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Cosne (Cône) dans les trente principales paroisses du diocèse[17].

    Puis le site de Cosne voit plusieurs affrontements à travers l'Histoire, tels que la guerre de Cent Ans et les guerres de religion. Henri V de Lancastre, malade, tente de rejoindre la garnison bourguignonne de Cosne, mais meurt de la dysenterie à Vincennes en 1422.

    Vers le XVIIe siècle, la ville commence à se développer grâce à l'industrie métallurgique et à la navigation sur la Loire où sont acheminés les différents objets de cette industrie prospère à l'époque.

    Pierre Babaud de La Chaussade (1706-1792) fonde en 1735 les forges de la Chaussade qui deviennent les forges royales de la Chaussade où sont fabriqués des ancres, des canons et d'autres accessoires pour la Marine royale. La production est acheminée par la Loire, fleuve navigable à cette époque. À partir de 1860, les forges commencent à péricliter avec l'arrivée du chemin de fer qui remplace peu à peu les voies navigables. Les forges ferment définitivement en 1872.

    Aujourd'hui, il ne reste que la « grille d'entrée des anciennes forges royales de la Chaussade (fin du XVIIe siècle) »[Note 5], avec une plaque citant un extrait d'une lettre de Madame de Sévigné qui visite les lieux le [18].

    En 1833, est construit le premier pont sur la Loire, qui est détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Le quartier Saint-Laurent est construit à partir de la fin des années 1950, et compte un millier de logements pour 2 000 habitants durant les années 1980. Dans le cadre de sa réhabilitation, six immeubles du quartier sont détruits en 2020 et d'autres rénovés. Classé quartier prioritaire, Saint-Laurent compte 1 060 habitants en 2020 pour un taux de pauvreté de 51 %[19],[20].

    L'activité industrielle métallurgique a connu une grande importance pour le développement de Cosne jusqu'à aujourd'hui. Les années 1990 et le début de la décennie 2000 ont connu une large crise dans ce secteur qui fut l'activité principale de la ville pendant plusieurs siècles.

    Transports

    Résumé
    Contexte

    La ville est reliée à Paris en voiture par l'« autoroute de l'Arbre » A77 et la RN 7 et en train par la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache qui assure des liaisons entre Clermont-Ferrand et Paris-Bercy.

    Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, la ville était reliée à Saint-Amand-en-Puisaye par un train en voie métrique appelé le Tacot (locomotive de type Corpet-Louvet) qui servait notamment à acheminer les poteries de Saint-Amand-en-Puisaye et serpentait à travers la campagne via Cours, Villeprevoir (première halte sise de nos jours sur un sentier de randonnée : « le chemin du Tacot » ; la gare est visible et restaurée intacte par ses propriétaires) puis Saint-Loup, Alligny-Cosne et Saint-Vérain (où la gare est aussi visible). La faible rentabilité du transport voyageurs et les 55 passages à niveau non protégés ont conduit au démontage intégral de cette ligne.

    Le viaduc de Port-Aubry[Note 6], construit en 1890-1893 sous la direction d'Armand Moisant, se dresse au-dessus de la Loire en amont de la ville. Long de 828 mètres, il relie Port-Aubry (lieu-dit situé au sud de Cosne) à Bannay (Cher). Cet ouvrage de la ligne de Saint-Germain-du-Puy à Cosne-Cours-sur-Loire a été construit par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, d'où le nom qui lui est donné localement de « pont du P.-O. ».

    Héraldique

    Thumb Blasonnement :
    « D'azur à trois merlettes d'argent. »[Note 7]

    Politique et administration

    Thumb
    Mairie.

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1953 mars 1971 Jacques Gadoin GD Banquier
    Sénateur de la Nièvre (1946-1965)
    Conseiller général (1945-1970)
    mars 1971 mars 1977 Robert Nabéris SE Chef d'entreprise
    mars 1977 mars 1989 Jacques Huyghues des Étages PS Médecin
    Député de la 2e circonscription de la Nièvre (1973-1986 puis 1988-1993)
    Conseiller général (1970-1982)
    mars 1989 mars 2008 Didier Béguin UDF puis NC Préparateur en pharmacie
    Député de la 2e circonscription de la Nièvre (1993-1997)
    Conseiller général (1985-1994)
    mars 2008 mars 2014 Alain Dherbier PS Cadre BTP retraité
    Président de la CC Loire et Nohain (jusqu'en 2017)
    mars 2014 juin 2020 Michel Veneau DVD Retraité de la viticulture
    Conseiller général (2001-2015)
    Conseiller départemental (depuis 2015)
    juin 2020 En cours Daniel Gillonnier SE Chef d'entreprise à la retraite
    Fermer

    Politique de développement durable

    Thumb
    Centre-ville : pont fleuri sur le Nohain, près du cinéma Éden.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 8].

    En 2022, la commune comptait 9 786 habitants[Note 9], en évolution de −3,13 % par rapport à 2016 (Nièvre : −3,28 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Davantage d’informations - ...
    2021 2022 - - - - - - -
    9 4379 786-------
    Fermer
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 7034 7095 3215 8235 9876 2126 3086 5986 326
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 1476 3406 5756 2106 8517 4017 7908 6728 610
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8 5828 4378 7347 1587 0357 2897 8407 9137 827
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8 8029 60112 08812 46312 12311 39911 18510 48410 102
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26]. |recens-.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jumelages

    Économie

    Une antenne de la chambre de commerce et d'industrie de la Nièvre est située dans la ville.

    La ville est, notamment, le siège de :

    • Paragon Transaction (ex-RR Donnelley), imprimerie en continu qui en 2017 emploie 345 salariés[27] ;
    • Altifort Smfi, qui fabrique des tubes et tuyaux en acier. En 2017, cette entreprise emploie 336 salariés. Le , elle est placée en redressement judiciaire[28].

    Culture locale et patrimoine

    Thumb
    Le pont, le bord de Loire depuis la salle de la Chaussade.

    Lieux et monuments

    Civils

    • Le pont de Cosne-Cours-sur-Loire, emblématique de la ville, traversant le fleuve et partagé avec la commune de Boulleret.
    • Le château des comtes et ducs de Nevers.
    • La gare de Cosne-sur-Loire a été inaugurée par Napoléon III en 1861.
    • Plaque commémorative, posée au cimetière Saint-Agnan le , en l'honneur de Roger Bricoux. Il était l'un des musiciens de l'orchestre du Titanic et décéda dans le naufrage. Il est né à Cosne en 1891[29].
    • Les deux lycées, l'un général et l'autre professionnel, ont été réunis en un seul ensemble scolaire et portent le nom commun de Pierre-Gilles-de-Gennes depuis le . Ils portaient auparavant les noms respectifs de George-Sand et Pierre-Chevenard.
    • Monument édifié en l'honneur du député républicain Alphonse Baudin (1811-mort sur les barricades le ). Ce monument, comme d'autres en France, est le résultat de la « souscription Baudin » qui touche le pays en 1868.
    • Le portail « Sévigné », un vestige des forges royales de la Chaussade, ainsi qu'une ancre de marine de 2 580 kg fabriquée dans ces forges en 1861, exposée sur le quai de Loire réaménagé début 2011, près du jardin Sévigné.
    • La rue des Mulets, la plus ancienne de la ville.
    • Plusieurs bâtiments du centre historique, rue Alphonse-Baudin, démolis en 2019[30],[31].
    • L'ancien palais de justice.
    • Le musée de la Loire est depuis la fin des années 1980 établi dans l'ancien couvent des Augustins et corps de garde.
    • La médiathèque (ouverte en 2009) appartient au réseau des médiathèques de la communauté de communes Cœur de Loire, comme celles de Donzy et de Neuvy-sur-Loire.
    • L'ancienne salle des fêtes de la Chaussade, devenue restaurant bistronomique (le M) depuis 2019, est l'un des bâtiments conservés des anciennes forges de la Chaussade donnant sur la Loire et le Nohain.
    • Le Cinéma Éden, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.

    Religieux

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Voir aussi

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