![cover image](https://wikiwandv2-19431.kxcdn.com/_next/image?url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4a/Kinshasa_Convention_Status.svg/langfr-640px-Kinshasa_Convention_Status.svg.png&w=640&q=50)
Convention de Kinshasa
De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
La Convention de l'Afrique centrale pour le contrôle des armes légères et de petit calibre, de leurs munitions et de toutes pièces et composantes pouvant servir à leur fabrication, réparation et assemblage, dite Convention de Kinshasa, a pour but de renforcer le contrôle des armes légères et de petit calibre et de combattre leur commerce et trafic illicites en Afrique centrale[3].
|
|
Type de traité | Traité de contrôle et de limitation des armements |
---|---|
Adoption | |
Lieu d'adoption | Kinshasa, République démocratique du Congo |
Signature | |
Lieu de signature | Brazzaville, République du Congo |
Condition | Ratification par six États[1] |
Signataires |
11 Liste complète |
Parties | 0 |
Dépositaire | Secrétaire général des Nations unies[2] |
Langues | Anglais, Espagnol et Français[2] |
Traité New Start de réduction des armes stratégiques (2010) Traité sur le commerce des armes (2013)
Cette convention fut négociée dans le cadre du Comité consultatif permanent des Nations unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC) et adoptée à l'unanimité le à Kinshasa, en République démocratique du Congo, au cours de la 30e réunion ministérielle du Comité. À dater du , les onze États membres du Comité avaient signé la Convention, à savoir l'Angola, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Rwanda, Sao Tomé-et-Principe et le Tchad ; ces États ont depuis engagé les processus de ratification.