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écrivain, critique littéraire, journaliste et militant royaliste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
André Casinelli, dit André du Fresnois, né à Vanves le et mort pour la France à Courbesseaux (Meurthe-et-Moselle) le , est un écrivain, critique littéraire, journaliste et militant royaliste français.
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Pierre Joseph André Cassinelli |
Nationalité | |
Activités | |
Père |
Joseph Cassinelli (d) |
Parti politique | |
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Conflit |
Pierre Joseph André Cassinelli, de son nom de plume André du Fresnois, naît à Vanves le du mariage de Joseph Ernest Cassinelli, commis d'économat, et de Gabrielle Victoire Amable Duchemin[1].
Il commence très jeune une carrière littéraire à Paris, d'abord dans de petites revues éphémères, puis comme critique de théâtre dans les pages de la Revue critique des idées et des livres, de l'Action française, du Gil Blas[2]. André du Fresnois figure rapidement parmi les personnalités de talent de la jeune école royaliste et néo-classique. Il publie des pages choisies de Jules Lemaître, puis en 1913 un livre de critique : Une année de critique et une plaquette de vers.
Mobilisé comme soldat de deuxième classe, il disparaît dès le début de la guerre, tué à l'ennemi le lors du combat de Courbesseaux en Lorraine. Son corps n'a pas été retrouvé. Il est officiellement déclaré mort pour la France par jugement du tribunal de la Seine en date du [3].
Il figure sur la liste des personnes citées au Panthéon de Paris au titre d'écrivain mort au champ d'honneur.
Jean Giraudoux lui dédie son roman Lectures pour une ombre.
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