: déclaration portant que le premier chirurgien du roi sera autorisé à nommer des lieutenants et greffiers dans les communautés des maîtres chirurgiens des villes du royaume[2].
La mort de son père et l'héritage qu'il en reçoit permettent à Daubenton (1716-1799) d'arrêter de suivre en secret les cours de médecine et d’anatomie et de choisir lui-même sa carrière de naturaliste et de médecin.
Mexique
En octobre, une épidémie de matlazáhuatl (peut-être la variole) éclate dans les environs de Mexico où l'Église catholique enterra dans 5 de ses cimetières extramuros 40 150 personnes victimes de l'épidémie[3].
(es) América Molina del Villar, La Nueva España y el matlazahuatl, 1736-1739, Mexico, Zamora, Mich.: El Colegio de Michoacán, A.C.; México, D.F.: Centro de Investigaciones y Estudios Superiores en Antropología Social, coll.«Colección Historias», (présentation en ligne).
(la) Jean Astruc, De morbis venereis libri sex: in quibus dissertur tum de origine, propagatione & contagione horumce affectuum in genere, tum de singulorum natura, aetiologia & therapeia, cum brevi analysi & epicrisi operum plerorumque quae de eodem argumento scrpita sunt, Guillelmum Cavelier, (1736; 1740), 625p. (lire en ligne sur Gallica). Traduit en français sous le titre Traité des maladies vénériennes (3 volumes, 1740)
François Quesnay, L'art de guérir par la saignée: où l'on examine en même tems les autres secours qui doivent concourir avec ce remède, ou qui doivent lui être préférés, dans la cure de maladies tant médicinales que chirurgicales, Guillaume Cavelier, , 375p. (lire en ligne)