À Paris, les statuts de la faculté de médecine, sont rédigés par maîtres Jean de Parme, Jean Petit, Jean Breton, Pierre de Neuchâtel, Pierre d'Allemagne et Bouret, «les seuls médecins qu'il y eût encore à Paris[1]».
L'hôpital du Saint-Esprit(de), fondé par Albert Ier, duc de Brunswick, et «où sont reçus les enfants abandonnés à la mamelle ou autres», est attesté à Einbeck en Saxe[2],[3].
En Norvège, le code édicté par le roi Magnus le Législateur prévoit des mesures concernant la prise en charge des malades mentaux[4].
À Râches, en Flandre, un hôpital est mentionné dans le testament de Marguerite Baudane, veuve Mulet, dont la fille fondera la maison des Huit-Prêtres de Douai en [5].
Fondation à Valenciennes, capitale du Hainaut, de l'hôpital Sainte-Marguerite, dit des femmes gisantes et «où l'on ne reçoit que des pauvres femmes de la cité sur le point de devenir mères[6]».
L'hôpital Saint-Jacques, «qui demeure[ra] le principal hôpital de l'agglomération jusqu'au XVIIIesiècle», est attesté à Albi en Languedoc[7].
Fondée avant , la léproserie de Bretford, dans le Warwickshire en Angleterre, est encore en fonction[8].
L'hôpital Saint-Jean (Hospital of St. John) est attesté à Wensley dans le Yorkshire en Angleterre[9].
Raymond Lulle, philosophe, théologien et poète espagnol, fait paraître ses «Principes de médecine» (Liber principiorum medicinae[10]).
Alfred Franklin, Recherches sur la bibliothèque de la faculté de médecine de Paris, d'après des documents entièrement inédits, suivies d'une Notice sur les manuscrits qui y sont conservés, Paris, A. Aubry, , 222p. (lire en ligne), p.4.
Bernard Remacle, Des hospices d'enfants trouvés, en Europe, et principalement en France, depuis leur origine jusqu'à nos jours, Paris, Treuttel et Würtz, , 407p. (lire en ligne).
Jacques Postel et Claude Quétel, Nouvelle histoire de la psychiatrie, Dunod, , 672p. (lire en ligne), «Aspects de la psychiatrie en Europe et en Amérique: Les Pays scandinaves», p.582.
«Statistique archéologique de l'arrondissement de Douai», Bulletin de la Commission historique du département du Nord, vol.8, , p.344 (lire en ligne).
Olivier Ryckebusch (préf.Marie-Laure Legay), Les Hôpitaux généraux du Nord au siècle des Lumières (1737-1789), Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 338p. (ISBN978-2-7574-1727-0, lire en ligne), p.43.
Jean-Louis Biget, «L'Implantation des antonins à Albi (1250)», Annales du Midi, vol.125, no282 «Histoire religieuse et sociale du Midi médiéval. Hommage à Daniel Le Blévec», , p.211 [3] (lire en ligne).
(en) «Site of Medieval Chapel of St. Edmund, Bretford», Take the Timetrail with Warwickshire Museum, Warwickshire County Council, 1999 [lire en ligne(page consultée le 10 novembre 2019)].
(en) William Dugdale, Monasticon Anglicanum: A History of the Abbies and Other Monasteries, Hospitals, Frieries and Cathedral and Collegiate Churches [etc.], vol.6, 3epartie, Londres, James Bohn, 1852p. (lire en ligne), partie3, p.1836, col.1.
«Commentaire sur le chapitre neuf du livre de médecine dédié à Mansur», Bibliothèque numérique mondiale, Library of Congress, 17 juin 2014 [lire en ligne].