Économie du Suriname
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L'économie du Suriname est dominée par l'industrie minière qui représente plus d'un tiers du PIB et des revenus du gouvernement. C’est un secteur d'activité sujet à une grande volatilité des prix. Les perspectives économiques de courtes durées dépendent de la capacité du gouvernement à contrôler l'inflation et du développement de projets dans les secteurs miniers comme l'alumine, la bauxite et l'or.
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Économie du Suriname | |
Monnaie | Dollar surinamien |
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Année fiscale | calendaire |
Organisations internationales | OMC,CSN |
Statistiques | |
Produit intérieur brut (parité nominale) | 2,538 milliards $ (2020) |
Produit intérieur brut en PPA | 8,827 milliards $ (2020) |
Rang pour le PIB en PPA | 176e (2005) |
Croissance du PIB | -13,5% (2020) |
PIB par habitant en PPA | 4 199 $ (2020) |
PIB par secteur | agriculture : 10,8 % (2009) industrie : 24,4 % (2005) services : 64,8 % (2005) |
Inflation (IPC) | 6,4 % (2007) |
Pop. sous le seuil de pauvreté | 70 % (2002) |
Indice de développement humain (IDH) | ![]() |
Population active | 0,165 million (2007) |
Population active par secteur | agriculture : 8 % (2004) industrie : 14 % (2004) services : 78 % (2004) |
Taux de chômage | 7.65 % (2020) |
Principales industries | Mines d'aluminium de bauxite et d'or |
Commerce extérieur | |
Exportations | 1,391 milliard $ (2006) |
Principaux clients | Norvège, Canada, États-Unis |
Importations | 1,297 milliard $ (2006) |
Principaux fournisseurs | États-Unis, Pays-Bas, Trinité-et-Tobago |
Finances publiques | |
Dette publique | 18 % du PIB |
Recettes publiques | 392,6 millions $ (2004) |
Dépenses publiques | 425,9 millions $ (2004) |
Sources : https://www.cia.gov/cia/publications/factbook/geos/ns.html#Econ |
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En 1991 et 1996, puis entre 2000 et 2010, le gouvernement du président Ronald Venetiaan, dans un premier temps, a conduit un programme d'austérité, d'augmentation des impôts, et de contrôle de la dépense publique ; les perspectives économiques du Suriname pour le moyen terme dépendent de l'engagement soutenu à une politique monétaire et fiscale responsable et de l'introduction de réformes structurelles de libéralisation des marchés[C'est-à-dire ?].