Code Kemler: X423: matière solide inflammable, réagissant dangereusement avec l'eau en dégageant des gaz inflammables) Numéro ONU: 3208: MATIÈRE MÉTALLIQUE HYDRORÉACTIVE, N.S.A. Classe: 4.3 Étiquette: 4.3: Matières qui, au contact de l'eau, dégagent des gaz inflammables Emballage: Groupe d'emballage I: matières très dangereuses;
Code Kemler: 423: matière solide réagissant avec l'eau en dégageant des gaz inflammables Numéro ONU: 3208: MATIÈRE MÉTALLIQUE HYDRORÉACTIVE, N.S.A. Classe: 4.3 Étiquette: 4.3: Matières qui, au contact de l'eau, dégagent des gaz inflammables Emballage: Groupe d'emballage II/III: matières moyennement/faiblement dangereuses.
Son nom vient des mots grecs νεός/ neós, «nouveau», et δίδυμος/ dídumos, «double, jumeau»[5],[6],[7]. En effet, les chimistes ont longtemps cru que le mélange d'oxyde de praséodyme-néodyme était un corps simple jusqu'à ce que Carl Auer von Welsbach les séparât en 1886[8].
Diagrammes des découvertes des terres rares. Les dates entre parenthèses sont les dates d'annonces des découvertes[9]. Les branches représentent les séparations des éléments à partir d'un ancien (l'un des nouveaux éléments conservant le nom de l'ancien, sauf pour le didyme).
Médicaments: le néodyme a été utilisé avec d'autres sels de terres rares et comme le thorium dans des produits pharmaceutiques à usage gynécologique comme les «ovules néothorium Millot» dans les années 1920-1930[12].
Pierre à briquet: le néodyme entre dans la composition du mischmétal, base des pierres à briquet.
Colorant du verre: en combinaison avec le praséodyme, il colore les verres de protection solaire et les lunettes de soudeur.
Colorant pour céramiques: suivant le sel utilisé, on obtient du bleu jusqu'au mauve.
Tubes cathodiques: entre dans la composition des luminophores rouges.
dans les aimants permanents, en alliage avec le fer Nd2Fe14B car ils sont extrêmement puissants[13] mais assez fragiles. La plupart des aimants en néodyme possèdent une fine couche de nickel-cuivre-nickel afin de les protéger contre la corrosion. Ils sont utilisés:
(en) Beatriz Cordero, Verónica Gómez, Ana E. Platero-Prats, Marc Revés, Jorge Echeverría, Eduard Cremades, Flavia Barragán et Santiago Alvarez, «Covalent radii revisited», Dalton Transactions, , p.2832 - 2838 (DOI10.1039/b801115j)
Entrée « Neodymium » dans la base de données de produits chimiques GESTIS de la IFA (organisme allemand responsable de la sécurité et de la santé au travail) (allemand, anglais), accès le 13 février 2010 (JavaScript nécessaire)
(en) Mary Elvira Weeks, «The discovery of the elements. XVI. The rare earth elements», Journal of Chemical Education, vol.9, no10, , p.1751 (ISSN0021-9584, DOI10.1021/ed009p1751).
(en) William M. Haynes, CRC Handbook of Chemistry and Physics, vol.97, CRC Press/Taylor and Francis, , 2652p. (ISBN978-1-4987-5428-6 et 1-4987-5428-7), «The Elements», p.742 (4-23).
(de) Carl Auer v. Welsbach, «Die Zerlegung des Didyms in seine Elemente», Monatshefte für Chemie und verwandte Teile anderer Wissenschaften, vol.6, no1, , p.477–491 (ISSN0343-7329, DOI10.1007/BF01554643).
Arrêté du 2 octobre 2008 portant approbation du système d'inventaire et d'expédition des déchets après traitement des combustibles usés en provenance de l'étranger dans les INB de La Hague