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économiste, démographe et essayiste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Yves-Marie Laulan, né le à Bordeaux, est un économiste, démographe et essayiste français.
Président Institut de géopolitique des populations (d) | |
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Directeur général Siège du crédit municipal de Paris (d) | |
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Jean Santacroce (d) Anne Cuillé (d) |
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Il a également mené des activités politiques aux niveaux régional et national.
Yves-Marie Laulan a étudié à l'Institut d'études politiques de Bordeaux[1]. Il est diplômé du Collège d'Europe[2] ainsi que docteur en économie (1961)[3].
Il a été directeur général du Crédit municipal de Paris (1984[réf. souhaitée]-1993)[4]. Il a enseigné à l'Institut d'études politiques de Paris[1].
Durant la guerre des Six Jours, il se porte volontaire dans l'armée israélienne[5].
Il a été membre du Club de l'horloge[6].
Il a milité au Centre des démocrates sociaux[7], puis au Rassemblement pour la République où Il a été secrétaire national pour les Questions économiques, avant de s'éloigner de Jacques Chirac. Il a été élu conseiller municipal de Langon en Gironde[8].
En 2000, il crée avec Jacques Dupâquier l'Institut de géopolitique des populations, qu'il préside depuis. Cette association a pour objet de promouvoir des positions inédites et originales sur des questions géopolitiques et migratoires[9].
Il est proche dans ses positions des idées du Front national, et publie en 2014 à compte d'auteur La préférence nationale pour la médiocrité. Il considère « l'avortement de masse » comme une « culture de la mort »[10], il estime dans le même entretien que le Pacs rend l'homosexualité « agressive et prosélyte », et se dit révolté de l'absence de réaction des Français qui acceptent de disparaître peu à peu sans réagir »[10].
Il a animé quelque temps un Libre Journal mensuel sur Radio Courtoisie, travaillé comme chroniqueur à Antenne 2 et corresponding editor du magazine News Week. Il publie de nombreuses tribunes sur le site web Boulevard Voltaire[réf. souhaitée].
En 2009, il est condamné[11] à une amende de 3 000 euros, en , par le tribunal correctionnel de Paris, pour provocation à la haine envers les Roms, pour une déclaration faite en , sur France 5, dans une émission C dans l'air consacrée à la délinquance parmi les gens du voyage.
Le , la cour d'appel de Paris confirme cette condamnation mais il se pourvoit en cassation.
Le , la chambre criminelle de la Cour de cassation a annulé l'arrêt de la cour d'appel. Dans son arrêt, la plus haute autorité judiciaire a estimé que « les propos litigieux, portant sur une question d'intérêt public relative aux difficultés d'intégration de la communauté rom, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d'expression » et que « le délit de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale n'était constitué en aucun de ses éléments »[12].
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