Victor Poelaert fut un sculpteur au ciseau délicat et distingué. Il était le frère de l'architecte Joseph Poelaert.
Mort jeune d'une affection de poitrine, Victor Poelaert, une des belles espérances de l'école de sculpture belge, n'eut pas le temps de développer une œuvre abondante[3].
1857: La haine du joug, statue en plâtre (modèle destiné à être exécuté en pierre), exposée à l'"Exposition générale des Beaux-Arts" de Bruxelles de 1857[5].
1858-1859: Médaillon en plâtre représentant le portrait de son beau-frère Eugène van Dievoet (1804-1858), juge au tribunal de Commerce de Bruxelles, époux d'Hortense Poelaert (1815-1900).
Journal des beaux-arts et de la littérature, peinture, sculpture, Bruxelles, Académie royale de Belgique, 1859, Vol. 1 à 2, p. 152: Victor Poelaert, statuaire, décédé le 29 septembre à l'âge de 39 ans. Et, Moniteur belge: journal officiel, Bruxelles, 1859, n° 276, p. 3971
Moniteur belge: journal officiel, Bruxelles, 1859, n° 276, p. 3971: "Nécrologie. M. Victor Poelaert, une des belles espérances de notre école de sculpture, est mort avant-hier dans la nuit, des suites d'une affection de poitrine. La nouvelle direction générale des beaux arts venait de confier à son ciseau l'exécution de la figure allégorique d'une de nos grandes libertés constitutionnelles, destinée au palais de la Nation. On doit à M. Poelaert un des groupes qui décorent l'entrée du Parc, vis-à-vis du palais du Roi, ainsi que les cariatides qui ornent les faces latérales extérieures du théâtre de la Monnaie".
Exposition générale des Beaux-Arts 1857, catalogue explicatif, Bruxelles, 1857, p. 99: Poelaert (Victor), rue Mercelis, 21, à Ixelles, lez-Bruxelles: 860. La haine du joug; statue en plâtre (modèle destiné à être exécuté en pierre).