Ulrike Theusner est la fille de Christoph Theusner, compositeur et musicien, fondateur du groupe Bayon.
À partir de 2002, Ulrike Theusner étudie à l’université Bauhaus de Weimar, d'où elle ressort diplômée en 2008. À Weimar elle est l'élève des Professeurs Liz Bachhuber (2002-2004), Peter Heckwolf (2005-08) et Norbert W. Hinterberger(de).
Dans un entretien en 2015 avec le Berlin Art magazine, Ulrike Theusner indique «naviguer entre peinture, gravure et dessin, avec une préférence pour les dessins à l'encre, les très grands formats et les séries: L'encre sur papier n'autorise pas le repentir et impose de travailler vite, de rendre toute la vivacité, la puissance voire la radicalité des sujets[2].»
Limbo Express, un livre paru en 2015, présente les œuvres de ce cycle entre monde réel et monde imaginaire.
La peinture d'Ulrike Theusner est un art contestataire, protestataire, dans la tradition de critique sociale de ses maîtres allant de Dürer à Hogarth, de Goya à Honoré Daumier, d'Heinrich Zille à Banksy. Ulrike Theusner qui a été mannequin, passe une partie de l'année à New York. Elle peint la fragilité et les contradictions de la vie urbaine et les réalités sociales contemporaines. Elle utilise une palette allant de l'allégorie biblique[3] à la représentation crue de la drogue ou du sexe dans le milieu de l'art ou de la mode[4].
Ana Finel Honigman écrit pour Artslant en 2013:
«Ses aquarelles pulpeuses, ses dessins, ses peintures séduisent par leur chatoyance, par leur profondeur et par le détail pictural tandis que les personnages explosent la composition avec une grande intensité. Sous l'apparence délicieuse, le contenu est grave, sombre, et d'une grande actualité. Les images de Theusner, par la qualité du pinceau et le grotesque des personnages, rappellent les Peintures noires de Goya, et la caricature sociale brutalement séduisante d'Otto Dix. Ses personnages apparaissent souvent en costumes historiques, mettant en scène des pièces de théâtre fantasmagoriques, mais c'est bien le contexte politique actuel, les problèmes sociaux d'aujourd'hui, qu'elle représente. Son travail - tout en intelligence et élégance - met en évidence l'absurdité, souligne la brutalité[5].»
Sélection d’œuvres
Encre sur papier
2016
Hortus Conclusus, 200 x 350 cm - présenté à l'exposition Welcome to Paradise: Le terme hortus conclusus évoque un jardin enclos. Celui d'Ulrike Theusner est immense et paradisiaque par l'abondance de la végétation, par la luminosité des turquoises et des roses, mais ce paradis est abrité sous une grande verrière.
The Gasping Society I
The Gasping Society II
2015
Tent Cities
Die Parade
2014
A Rake's Progress, collection privée - série de huit grands formats d'après La Carrière d'un libertin (A Rake's Progress), une série de William Hogarth achevée en 1733, qui raconte les aventures de Tom Rakewell, depuis son ascension lorsqu'il hérite d'un riche marchand jusqu'à sa chute, ruiné et malade à l'asile.
Les Fleurs du mal
American Landscapes
2013
New York Diaries III
The Promise, 210 x 300 cm
Hey!
Der Abgesang, 140 x 300 cm
2012
Revolution, série comprenant Ghost, 45 x 61 cm et Das Goldene Kalb (le Veau d'or), 50 x 65 cm
Limbo Express
Bacchanale
Nitrocircus
New York Diaries II
2011
Survival of the Fittest, 140 x 300 cm
Fortuna und Ihre Kinder, 210 x 300 cm: un clin d'œil à Némésis (La Grande Fortune) d'Albrecht Dürer
Weird Feelings
The Ardous Crossing
Sketches
2010
American Landscapes
Fashionpeople
Superbia
The Newark Experience
2009
New York Diaries I
Plastic Apocalypse
2008
The Waste Land
Die Zone: Cette série de dessins au fusain montre une nature intacte, quelque peu envahissante, jusqu'au point de bascule où nous comprenons qu'il n'y a plus de vie humaine; il s'agit de la zone de contamination de la centrale de Tchernobyl.
2007
Psychiatrie SerieE, une série de dix petites aquarelles (30 x 30 cm)
Peinture
2014: New York Diaries
2013: Ende der Jugend
2012: Limbo Express
2011: Sugar Dols
2011: The Guys from the Underworld
2011: The Beautiful Life
2010: East of Eden
2009: New York Diaries
2008: The Wast Land, Studies
Gravures
2018: Sweet Bird of Youth, série de cinq portraits en eau-forte, 50 x 35 cm
2016: The Gasping Society
2015: The Tragic Life of Desperate Artbitches
2014: A Rakes Progress, série de gravures coloriées, 37 x 24 cm, illustrant chacun des 8 chapitres.
2013: Melancholia
2011: Don't think of the White Rabbit
2011 - 2007: Konstruktionen
2010: The Guys from the Underworld
2009: Final Glamour
2005: Steinerne Stadt
Pochettes de disque
2015: Barði Jóhannsson (Bang Gang) a choisi[6] une estampe d’Ulrike Theusner pour la pochette de l’album The Wolves Are Whispering.
2015: Pochette de l'album Love & Torture de Stone Jack Jones (Nashville)
Mode et prêt-à-porter
2016: La collection Bauhaus Made SS17[7] de la créatrice de mode Anne Gorke comprend des Sweat-shirts reproduisant des dessins à l’encre noire d’Ulrike Theusner. Les coopérations interdisciplinaires sont un aspect important de la tradition Bauhaus dont se réclame Anne Gorke et familière à Ulrike Theusner, née à Weimar, et qui a souvent flirté avec le monde de la mode pendant ses études à l’université Bauhaus.
Espace public
2015: Ulrike Theusner habille les colonnes du Théâtre national (Nationaltheater) de Munich - édifice d'architecture néo-classique construit sur les plans du théâtre de l'Odéon à Paris.
Julia Schmitt de la Bayerischen Staatsoper citée par le magazine Brikada:
«Pour appréhender les destins des sept héroines de la saison 2015, de Manon Lescaut à Lulu, de Melisande à Arabella, nous cherchions une artiste qui puisse comprendre les aspirations, les obsessions et les angoisses des protagonistes, les transposer dans notre actualité et les visualisier pour la ville. Ulrike Theusner s'est approchée de ces fragiles Diva pour leur donner des visages magiques[8].»
Expositions personnelles
2021: Grelle Gegenwart , Kunstahalle Rostock
2020: All there is , Galerie Eigen+Art, Berlin
2019: New Positions, Galerie Eigen+Art, Art Cologne
2018: Ulrike Theusner. Malerei und Grafik[9], Kunsthalle Harry Graf Kessler, Weimar, du au
2018: Sweet Bird of Youth[10], Galerie Sabine Knust, Munich, du au
2017: The Best pf all Possible Worlds[12], à la galerie et centre culturel ACC[13], Weimar. «Meilleur des mondes possibles» - la formule de Leibniz publiée en 1710 est pour Ulrike Theusner le point de départ d'une réflexion sur nos conditions de vie et de vivre ensemble. Que nous manque-t-il quand bien même nous vivrions dans le meilleur des mondes possibles? Pouvons-nous vivre sans utopies - politiques, sociales, économiques ou environnementales? Quelle image de soi peut-on avoir dans le meilleur des mondes? «Un mini Trump dans une boite d'allumette, des monstres multicolores..» Wolfgang Hirsch, critique et journaliste a visité l'exposition et interviewé Ulrike Theusner pour un article[14] paru dans l'OTZ du .
2016: The Gasping Society[15], Angermuseum, Leipzig
2016: Ulrike Theusner - A Rake Progress[16], Galerie Richter, Lütjenburg
2010: Ten Seconds of Fame, Galerie Wagner und Partner, Berlin
2010: East Of Eden, Galerie Rothamel, Erfurt
2009: Showroom Galerie Soardi, Nizza
2008: The Waste Land, Bauhaus Universität Weimar
Expositions collectives (sélection)
2021: Immer Ich. Faszination Selfie, Zeitgeschichtlichen Forum Leipzig
2019: Aggroschaft – Marc Jung & the Gang[18]: Marc Jung - originaire de Erfurt, expose avec Benedikt Braun, Till Lindemann, Moritz Schleime und Ulrike Theusner.
2019: Not everything means something, honey - Galerie Eigen + Art, Leipzig[19]: Tina Bara / Alba D'Urbano, Anna Baranowski, Christiane Baumgartner, Maja Behrmann, Birgit Brenner, Stef Heidhues, Laurette Le Gall, Kristina Schuldt, Jana Schulz, Hanna Stiegeler, Ulrike Theusner
2018: Junge Kunst aus Thüringen - Mannheimer Kunstverein[20]: Konstantin Bayer, Benedikt Braun, Enrico Freitag, Marc Jung, Nora Klein, Paul-Ruben Mundthal, Adam Noack, Stefan Schiek, Ulrike Theusner
2018: Offen Vol. 2 - Galerie Eigen + Art Berlin[21]: Ulrike Theusner avec Yang-Tsung Fan, Marion Fink, Zora Janković, Raul Walch, Justin Mortimer, Andreas Mühe, Alexander Wolff. Ulrike Theusner, qui avait déjà exposé à la galerie Eigen + Art Lab, présente les gravures de la série Sweet Birds of Youth symbolisant une société entre l'engourdissement, la désillusion et l'optimisme.
2018: Gallery week-end Berlin[22], Konstantin Bayer (Objets et installations), Enrico Freitag (Dessin, Peinture), Nina Röder (Photographie) et Ulrike Theusner (Gravures, Peinture), Galerie Eigenheim, Linienstrasse 130, Berlin, Allemagne
2018: Frauen Können auch Malen![23], avec Cornelia Schleime, Super Future Kid, SEO, Rosa Loy, Eva-Maria Hagen, Ulrike Theusner, Adeline Jaeger, Johanna Flammer, Miriam Vlaming, Nadine Wölk, Ainara Torrano Marín, Angela Hampel, Nadja Auermann, Bettina John, Christine Schlegel, Ramona Krüger, Manuela Neumann, Sabina Sakoh, Brigitte Fugmann, Herta Günther, Christa Jura, Elvira Bach, Miriam Lenk, Effi Mora - Galerie Holger John, Dresden, Allemagne
2017: Roter Oktober. Kommunismus als Fiktion und Befehl[25],[26], Neue Sächsische Galerie, Chemnitz, Allemagne. L'exposition s'inscrit dans les commémorations des révolutions de février et en Russie. Elle comprend des œuvres des artistes suivants: The Blue Noses, Carlfriedrich Claus, Fritz Duda, Alwin Eckert, Erich Enge, Hubertus Giebe, Moritz Götze, Wasja Götze, Norbert Hinterberger, Via Lewandowsky, Martin Maleschka, Florian Merkel, Olaf Nicolai, Haralampi G. Oroschakoff, Osmar Osten, A.R.Penck, Uwe Pfeifer, Ulrich Polster, Julian Röder, Ulrike Theusner, Tmomma, Sergej Voronzow, Norbert Wagenbrett, Brigitte Waldach, Willy Wolff, Axel Wunsch, Silvio Zesch, ZIP
2017: The Promised Land[27],[28], Ulrike Theusner et Jazz-Minh Moore, Galerie Rothamel Erfurt, Allemagne. Ulrike Theusner et Jazz-Minh Moore se sont rencontrées en 2010 à New York. Elles ont fondé le collectif «GutBox» et présenté sous ce label plusieurs expositions aux États-Unis. Promised Land est leur première coopération en Europe. Comme The Gasping Society - une autre série d’Ulrike Theusner présentée en parallèle au Angermuseum d’Erfurt, The Promised Land s’intéresse à la perte des repères, à la dérive de la justice vers l’auto-justice et à la perdition des personnes dans un système complexe. Jazz-Minh Moore indique: «Cet ensemble de travaux commence par une série de tableaux juxtaposant le dîner d’un américain abandonné avec les nouvelles «Biosphères» de plusieurs milliards de dollars actuellement en construction à Seattle. L'Amérique de la génération de nos grands-parents a disparu au profit des hautes technologies ou de l’exotisme. Beaucoup de gens sont oubliés. Ce n’est pas nouveau mais remis en lumière avec les élections récentes.»
2016: Welcome to Paradise[29], Dana Meyer (Sculpture) et Ulrike Theusner (Peinture), Galerie Rothamel Francfort/Main, Allemagne
2016: Roasted, The Lodge Gallery, New York
2016: Totentanz, concours et exposition de gravures organisés par le BBLK e.V. sur le thème de la danse macabre, Leipzig, Allemagne
2015: Pocket, Galerie Dukan, Leipzig, Allemagne
2015: Spectrum One / on canvas, Galerie Eigenheim, Berlin, Allemagne
L'exposition «Kunsthalle macht Schule» (Septembre 2011 - Janvier 2012) a rassemblé des artistes de renom: Günther Becker, Joseph Beuys, Thomas Demand, Esra Ersen, Michael Fieseler, Candida Höfer, Anselm Kiefer, Simone Lucas, David Nash, Erwin Olaf, Justine Otto, de Jaume Plensa, Sigmar Polke, Andrea Robbins et Max Becher, Johannes Stüttgen, Ulrike Theusner, Jack Vanarsky, Joel-Peter Witkin et Heinrich Zille. Éducation, école, développement personnel: l'exposition présente des concepts toujours liés et parfois contradictoires. Ulrike Theusner y présente «underaged superheroes» (encre sur papier, 210 x 300 cm).
BAM Berlin Art Magazine, 4 Nov. 2015, Web:
My work ranges between painting, etching and drawing. I´m focused on large sized ink drawing and Drawing series. Ink on paper is radical – it forces me to decide quickly and allows me to use vivid expressive lines without the possibility of return.
Ana Finel Honigman, Artslant, Web:
Her luscious watercolors, ink drawings and oil paintings are juicy with pictorial depth and detail while her characters burst and bubble with energy. Yet, despite these surface delights, her content is serious, dark and timely. Theusner's images recall Goya's grotesqueries and Otto Dix's brutally seductive social caricature. Many of her characters wear historical costume, like ghosts staging a play, but she also directs sharp attention towards today's political and social inequalities. Using wit and beauty, her work highlights contemporary culture's poisonous absurdity and underlying moments of horror.
Dans une interview pour le site , soul-kitchen.fr le 6 janvier 2015 et interrogé sur le choix de la pochette Barði Jóhannsson, chanteur de Bang Gang, raconte: «mon amie Ulrike Theusner m’a envoyé un dessin qui pouvait être utilisé pour une pochette. … je voulais quelque chose d'artistique. Je voulais quelque chose que l’on puisse accrocher au mur. L’édition vinyle est magnifique».
Julia Schmitt, brikada, Web: Ausgehend vom Schicksal unserer sieben Powerfrauen der Saison, von Manon Lescaut über Lulu, Melisande zur wienerisch brüchigen Arabella, suchten wir eine Künstlerin, die die Sehnsüchte, Obsessionen und Ängste der Protagonistinnen aus heutiger Sicht visualisiert und in die Stadt tragen kann. Ulrike lebte kurzzeitig mit all den verletzlichen Diven und gab ihnen diese Serie von magischen Gesichtern
Ostthüringer Zeitung, 22 mai 2017, Weimars ACC Galerie dient Ulrike Theusner als Spielfläche – Die hiesige Künstlerin zählt zu den fantasiemächtigsten ihrer Generation
Ulrike Theusner - A Rake Progres , 15 octobre - 19 novembre 2016 à Lütjenburg. Les œuvres exposées à la galerie Richter proviennent de diverses séries de la période 2013 – 2016:
A Rake´s Progress – La carrière d'un libertin, inspirée par les estampes de Hogarth,
Hey! The tragic life of desperate artbitches, décrit les difficultés de jeunes artistes s’épuisant en quête de reconnaissance.
Gasping Society, montre les contradictions d’une société où chacun risque de perdre son humanité.
Land of Plenty du 9 juillet au 8 septembre 2016 à Leipzig, est la première exposition personnelle d'Ulrike Theusner à la Galerie Dukan Leipzig. Des jeunes gens progressant dans une jungle abondante enjambent sans s'en étonner des bouquets de crabes et crevettes: représentés comme des figurines de porcelaine de style Rococo, ils apparaissent très naïfs et aussi très fragiles.
Offen Vol. 2 - Galerie Eigen + Art Berlin. Pendant les mois d'été, du 11 juillet au 25 aout 2018, la galerie présente des positions plus jeunes ou déjà établies d'artistes qui nous ont impressionnés et accompagnés au cours des derniers mois
Sonderpräsentation zum Gallery Weekend 2018 du 25 avril au 29 avril 2018 la Galerie Eigenheim expose Konstantin Bayer (Objets et installations), Enrico Freitag (Dessin, Peinture), Nina Röder (Photographie) et Ulrike Theusner (Gravures, Peinture)
Ruth Habermehl & Ulrike Theusner. La huitième exposition ff15, du 3 novembre au 15 décembre 2017 propose des scènes improbabales, grotesques et mystiques, tant pour les séries de gravures, de peintures mixed media, d'Ulrike Theusner que pour les collages Ruth Habermehl qui dit «peindre avec des ciseaux».
Welcome to Paradise. L'exposition Welcome to Paradise à la Galerie Rothamel Francfort/Main du 29 avril au 11 juin 2016 présente, avec les sculptures de Dana Meyer, des œuvres de chacune des trois séries American Landscapes, The hard life of desperate Artbitches und Welcome to Paradise et des procédés allant de l'encre sur papier pour le grand tableau Hortus Conclusus (300 x 250 cm) à la gravure sur bois pour les paysages d'American Landscapes en passant par l'encre et acrylique sur toile pour The hard life of desperate Artbitches
The Lodge Gallery New York, Les Fleurs du Mal, Ulrike Theusner & Paul Brainard, 6 novembre – 14 décembre 2014: Comme Baudelaire dans ses poèmes en vers (publiés en 1857 dans le recueil Les Fleurs du Mal), Ulrike Theusner et Paul Brainard explorent les méandres de l'esprit humain, l'immoralité, le manque d'empathie qui pourrissent notre société. Corruption, perversion sexuelle, maladie - mentale et physique, sont les thèmes des poèmes de Baudelaire et sont revisités dans les dessins de Theusner et Brainard. L'exposition présente 25 dessins, dont trois sont des œuvres de collaboration.
, Chroma Web: Couleurs d'un monde en effervescence: Ulrike Theusner voyage beaucoup et utilise la peinture pour consigner en un grand nombre de séries les impressions et réflexions que lui inspirent ces rencontres, ces situations, scènes urbaines et paysages. L'exposition présente des portraits des séries fashion people et Brooklyn Sunday
musees-mediterranee.org, 35 ans d'atelier de gravure à la Villa Arson. Cette rétrospective réunit autour des œuvres personnelles de Moo Chew Wong, artiste et enseignant, un choix de gravures réalisées au fil des années. La scénographie évoque l'atelier de gravure de l'Ecole nationale supérieure d'art de la Villa Arson avec ses gravures épinglées au mur, comme si elles sortaient tout juste de la presse.
Éditions Jalara. Contradictions permanentes entre besoins factices et urgences réelles, entre ambition et nonchalance, soif de liberté absolue mais besoin de sécurité, flot d’information et ignorance, l’envie et le dégoût, créent inexorablement des déchirements. Toujours mieux assistés dans un espace de plus en plus restreint, - Gasping Society, société à bout de souffle: La réanimation en derniers recours.
New Positions, Art Cologne 2019 (11-14 avril). Un jury d'experts composé de Susanne Titz, Stefan Kobel, Bogomir Ecker, Andreas Schleicher-Lange et Thomas Weber, ont choisi quatorze jeunes artistes dont Yann Annicchiarico, Nadja Bournonville, Joëlle Dubois, Tobias Hoffknecht, Paul Hutchinson, Thilo Jenssen, Felix Kiessling, Lone Haugaard, Linda Matalon, Márton Nemes, Laura Schawelka, Fiona Valentine Thomann, Eleanor Wright et Ulrike Theusner
Site de l'association estampadura. Ulrike Theusner lauréate en 2010 de la première Triennale Européenne de l’Estampe Contemporaine a présenté son travail au Majorat à Villeneuve Tolosane de 6 avril au 12 mai 2012.