Après des études de droit et de journalisme, il commence sa carrière à La Voix du Sancerrois et au Berry Républicain en 1996.
Entre 2000 et 2004, il est communicant (Information Corporate et Publications) au sein du groupe DaimlerChrysler France. Depuis 2009, il est le rédacteur en chef adjoint du magazine Mercedes pour la France et travaille pour MB Talks (Benelux),
Il est membre du Prix littéraire du Cercle K2[3] et du Prix littéraire Denis Tillinac à partir de 2024.
En 2022, il est, pour son roman Et maintenant, voici venir un long hiver..., le premier lauréat du prix Denis Tillinac[4].
En 2023, il publie Monsieur Nostalgie 1[5],[6],[7],[8],[9] et défend le maintien des bouquinistes à Paris durant les Jeux Olympiques 2024 dans les colonnes du Figaro[10],[11].
En 2024, il publie deux livres, Les Bouquinistes[12] et Tendre est la province[13],[14],[15].
Lors de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde de rugby 2023 au Stade de France, critiquée selon la presse de télévision[16],[17],[18] sur les réseaux sociaux français «ou même à l’étranger», en raison d'un «certain désordre et même ennui»[19], il affirme avoir lui vu «dans les tribunes, un air de concorde», dont «il faudrait se réjouir» plutôt que critiquer. Dans une chronique au Figaro, qui dénonce «un torrent de boue de la part de tous les salisseurs de mémoire réunis», et montre du doigt «les promoteurs du vivre ensemble» oeuvrant dans «certains médias», dans les rangs desquels selon lui «on ricane et on complote gaiement», pour «taper sur son pays», en étant «immunisés contre la mauvaise foi»[20] car reprochant au rugby son «peu d'ancrage dans les banlieues». Selon lui, «les accusations de racisme ne sont jamais loin», dans les critiques de cette cérémonie, qui d'après lui «déversent alors leur haine sur le cinéma de Pagnol et de Renoir» et accusent de le rugby de «véhiculer» des valeurs «rances», en raison du jeu de mots "allez la Rance!" dans le titre d'un compte rendu de Libération, qui ne dit pourtant pas un mot sur les valeurs du rugby, ni sur le cinéma de Pagnol et de Renoir, car uniquement consacré à la "carte postale sépia" de cette cérémonie[21].
Alexandre Fillon, «Le duo d’auteurs met en scène une détective qui aime Lamartine et les chansons des années 1970. Fantaisiste et savoureux.», Le Figaro Culture, (lire en ligne)