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Teina Maraeura, né le à Rangiroa et mort le [1] à Pirae[2], est un homme politique de la Polynésie française.
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| Teina Maraeura | |
| |
| Fonctions | |
|---|---|
| Membre de l'Assemblée de la Polynésie française | |
| En fonction depuis le (6 ans, 5 mois et 16 jours) |
|
| Groupe politique | Tapura huiraatira |
| – (27 ans, 1 mois et 18 jours) |
|
| Réélection | |
| Groupe politique | Te Ara (2004-2008) Te mana o te mau motu (2008-2013) |
| Maire de Rangiroa | |
| – (32 ans) |
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| Successeur | Tahuhu Maraeura |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Rangiroa |
| Date de décès | (à 72 ans) |
| Lieu de décès | Pirae |
| Nationalité |  Française
|
| Parti politique | Te niu hau manahune Tapura huiraatira |
| Père | Tahuhunuitehiva Tahuhuatama |
| Mère | Heiura Huri |
| Enfants | Marie-Jo Maraeura, Valérie Maraeura, Tahuhu Maraeura, Moetua Maraeura, Hiria Maraeura, Heiteina Maraeura, Heitiare Maraeura |
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Il commence sa carrière politique en 1986 par une présence en seconde position sur la liste « Tapura Napo des Tuamotu-Gambier » lors des élections territoriales et fait son entrée à l'Assemblée de la Polynésie française. Trois ans plus tard, il devient maire de Rangiroa.
Constamment réélu à la tête de sa commune et à l'Assemblée, il a été ministre de la Culture, chargé de la promotion des langues polynésiennes, du [3] au .
Président-fondateur du Te niu hau manahune, il disposa entre 2008 et 2013 d'un groupe parlementaire (Te Mana o te Mau Motu). Il n'est pas réélu au scrutin suivant mais retrouve son siège en 2018 et intègre le groupe Tapura, majoritaire. Il devient par ailleurs 2e vice-président de l'Assemblée.
Pêcheur de profession, il est veuf et a quatre enfants.
Le 14 avril 2021, il est condamné pour favoritisme et de détournement de fonds publics par le tribunal correctionnel de Papeete à un an de prison ferme et un an avec sursis, cinq millions de francs Pacifique d'amende et cinq ans d'inéligibilité dans l'affaire du Fonds de développement des archipels (FDA)[4]. Ainsi, il est démissionné d'office de ses fonctions de maire de Rangiroa mais conserve son mandat de représentant à l'Assemblée, sa condamnation n'étant pas définitive.
Son fils Tahuhu lui succède le 30 avril 2021[5].
- Mandats locaux
- - en cours : membre de l'Assemblée de la Polynésie française
- - : maire de Rangiroa
- - : membre de l'Assemblée de la Polynésie française
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