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femme politique suisse De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Susanne Vincenz-Stauffacher, née le à Wattwil (originaire de Trun et Glaris Sud), est une personnalité politique suisse du canton de Saint-Gall, membre du Parti libéral-radical (PLR).
| Susanne Vincenz-Stauffacher | |
.jpg) Portrait officiel, 2023. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Conseillère nationale | |
| En fonction depuis le | |
| Législature | 51e et 52e |
| Groupe politique | libéral-radical (RL) |
| Députée au Conseil cantonal de Saint-Gall | |
| – | |
| Législature | 2016-2020 |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Susanne Stauffacher |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Wattwil |
| Nationalité | suisse |
| Parti politique | Parti libéral-radical |
| Diplômée de | HSG |
| Profession | Avocate |
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|
Elle est conseillère nationale depuis 2019.
Susanne Vincenz-Stauffacher naît Susanne Stauffacher le à Wattwil, dans le district saint-gallois du Toggenburg. Elle est originaire de Trun, dans le canton des Grisons, et de Glaris Sud[1].
Susanne Stauffacher étudie le droit à l'Université de Saint-Gall et obtient une licence en 1990. Après son brevet, elle ouvre sa propre étude à Saint-Gall à l'âge de 25 ans seulement[2] et exerce comme avocate et notaire[3]. Elle est également expert en assurance sociale au Tribunal cantonal saint-gallois de 2003 à 2016 et elle officie depuis 2003 comme Ombudsfrau pour les personnes âgées et handicapées de son canton. Elle a présidé pendant neuf ans la centrale des femmes du canton de Saint-Gall[2].
Elle est mariée, a deux filles et habite à Abtwil. Son assistante parlementaire est sa fille aînée, également juriste[2].
Fille d'une famille PLR[2], Susanne Vincenz-Stauffacher est élue en 2018 au Grand Conseil du canton de Saint-Gall ; elle en démissionne en . Elle est candidate au Conseil des États, lors de l'élection complémentaire pour le remplacement de Karin Keller-Sutter ; elle est battue par le démocrate-chrétien Benedikt Würth. En 2019, elle est élue conseillère nationale, et réélue en 2023[4].
Elle est également membre du comité du PLR saint-gallois de 1997 à 2005, vice-présidente à partir de 2000. Elle préside depuis les Femmes PLR Suisse.
Elle est candidate début 2023 à la succession de Paul Rechsteiner au Conseil des États, mais se retire au terme du premier tour, où elle termine deuxième avec 21,7 % des suffrages derrière la future élue UDC Esther Friedli, qui en récolte 48,2 %[5],[6].
Féministe, légèrement à gauche de son groupe parlementaire, elle croit à un libéralisme teinté d'une touche de social et d'écologie[2].
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