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La sonate K. 290 (F.238/L.85) en sol majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
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Sonate K. 290 sol majeur —   , Allegro, 128 mes.
⋅ K.289 ← K.290 → K.291 ⋅ L.84 ← L.85 → L.86 ⋅ P.395 ← P.396 → P.397 ⋅ F.237 ← F.238 → F.239 —
⋅ V 24 ← Venise V 25 → V 26
⋅ VII 19 ← Parme VII 20 → VII 21 |
La sonate K. 290, en sol majeur, notée Allegro, forme un couple avec la sonate précédente. Passée l'ouverture, Scarlatti se concentre sur une cellule rythmique qui traverse toute la sonate[1] avec de fréquents changements d'humeur[2].
Le manuscrit principal est le numéro 25 du volume V de Venise (1753), copié pour Maria Barbara ; l'autre est Parme VII 20[3].
Parme VII 20.
Venise V 25.
Venise V 25 (fin de la première section).
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La sonate K. 290 est défendue au piano, notamment par Christian Zacharias (1979, EMI), Carlo Grante (2012, Music & Arts, vol. 3) et Soyeon Lee (2017, Naxos, vol. 21) ; au clavecin par Luciano Sgrizzi (1964, Accord), Scott Ross (1985, Erato)[4], Richard Lester (2002, Nimbus, vol. 2) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics).
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