En créant le personnage de Picsou en 1947 dans l'histoire Noël sur le mont ours (Christmas on Bear Mountain)[1], Barks l'imaginait déjà en tant que écossais. En effet, il lui donne le nom de Scrooge McDuck avec le préfixe «Mac» typique des langues gaéliques signifiant «Fils de» et lui fait porter également un béret en tartan[2].
Par la suite, Carl Barks détaille le passé d'écossais de Picsou dès sa deuxième apparition dans une bande dessinée publiée en , Le Secret du vieux château (The Old Castle's Secret)[3]. Une véritable identité au personnage de Picsou est donnée: sa famille prend racine dans les Highlands, en Écosse, où se trouve le château seigneurial dans les marais de Dismal Downs[2].
Par la suite, différents auteurs vont offrir à Picsou des ancêtres écossais et offrir à Picsou différents châteaux familiaux, ce qui donne un tout incohérent. Ce dernier point sera corrigé en 1992 par Don Rosa avec sa série de bandes dessinées La Jeunesse de Picsou[4] (The Life and Times of Scrooge McDuck) où il va établir un «canon» sur les origines écossaises du milliardaire. Dans le premier épisode, Le Dernier du Clan McPicsou (The Last Of The Clan McDuck)[5], il clarifie un point important: comment «Picsou peut provenir d'une famille pauvre mais être l'héritier d'un immense château?». C'est Fergus McPicsou, le père de Picsou, qui répond à cette question en racontant l'histoire du clan et leurs heures glorieuses puis le fait qu'ils furent chassés de leurs terres par un clan rival, les Biskervilles. Pour cet élément, Rosa s'appuie sur une autre histoire de Carl Barks Le chien des Whiskerville (Hound of the Whiskervilles) de 1960[6]. Les McPicsou refusent de vendre leurs domaines et finissent ruinés à cause d'une trop grande charge d'impôts[7],[8].
Dans une histoire préliminaire de Le Dernier du Clan McPicsou[9], Don Rosa avait donné plus de détails sur le clan et en l'associant avec l'histoire de l'Écosse. Il y donne au clan un nom d'origine McDuich (version gaélique de McDuck) et commence son histoire à partir de la construction du mur d'Hadrien en l'an 122 dont les pierres auraient été vendues par un McDuich et qui aurait participé en l'an 400, à la déroute des Romains et à la création de l'Écosse[10]. Un McDuich a même faillit être proclamé premier roi d'Écosse en 843, mais un défaut de prononciation le disqualifia au profit de Kenneth Macalpin. Par la suite, les McDuich aidèrent les Vikings à battre leurs ennemis jurés, les Pictes et deviennent par la suite alliés avec les Scandinaves en 899[11]. Le clan adopte le nom de McDuck qu’après l’invasion de l’Écosse par Guillaume le Conquérant en 1071. À partir de la seconde moitié du XIXesiècle, le clan se résume seulement à une dizaine d’individus dont le père de Picsou et ses deux oncles, qui vivent dans une relative pauvreté à Glasgow. L’apparition ponctuelle des fantômes des ancêtres, dotés d’un caractère d’avarice particulièrement prononcé, le confirme comme l’un des clans les plus pingres d’Écosse.
Dès Le Secret du vieux château, Carl Barks cite plusieurs ancêtres de Picsou que Don Rosa va utiliser par la suite pour la série La Jeunesse de Picsou en y ajoutant quelques uns. D'autres ancêtres sont également créés par d'autres ancêtres en racontant leur vision du clan. En voici certains ci-dessous:
Sire William McPicsou
Sire William McPicsou (Sir Eider McDuich en VO)[12] est un ancêtre de Picsou cité dans l'histoire Le Secret du vieux château[3] (Carl Barks,1948) puis détaillé dans le cinquième épisode de la série La jeunesse de Picsou (Keno Don Rosa,1993). C'est un chevalier né en 880 et mort en 946 lors d'un assaut du château par les Saxons contre lesquels il se retrouva seul, puni par son avarice. En effet, étant donné qu'ils étaient mal payés (30 pièces en cuivre), ses soldats ont préféré fuir[13].
Sir Slye McPicsou
Sir Slye McPicsou[Note 1](Sire Slye McDuich en VO) est un personnage tiré du brouillon de l'histoire Le Dernier du Clan McPicsou de Don Rosa[9] et qui n'a jamais été traduit en France. Il vécut vers 1018 où il aida le roi Malcolm II, dont il fut l'espion, à combattre les Anglais[11].
Sire Duncan McPicsou
Sire Duncan McPicsou (Sir Quackly McDuich en VO)[14] est un ancêtre de Picsou cité dans l'histoire Le Secret du vieux château[3] de Barks puis détaillé dans la série La jeunesse de Picsou de Rosa. Dans cette série, il apparaît physiquement auprès de Picsou et a un rôle majeur. Il y a peu d'information sur sa jeunesse, sa date de naissance est approximative et tournerait autour de 1010 dans le château familial en Écosse. En revanche, la cause de sa mort est révélée plus en détail. En 1057, le chevalier Duncan reçoit une cassette pleine d'or et de bijoux pour avoir défendu le roi Macbeth Ier d'Écosse durant la guerre civile. Selon la légende, il serait mort la même année en s'emmurant accidentellement avec de peur qu'on le lui vole. C'est en 1877 que le jeune Picsou le rencontre dans le château sans savoir qu'il s'agit en réalité de son fantôme. Ce dernier ne lui révèle pas l'emplacement de son trésor car il souhaite que son descendant arrive à reconstituer par lui même, la fortune du clan. En 1885, en combattant les Biskervilles pour les chasser de leur terre, Picsou se trouve expédier dans l'au-delà où il rencontre de nouveau son ancêtre occupant son temps éternel à jouer au golf avec les autres McPicsou[15].
Sire Murdoch McPicsou
Sire Murdoch McPicsou (Sir Murdoch McDuich en VO). Il fit fortune en 1066 en vendant aux Anglais des arcs pour se défendre contre l'invasion normande; il avait omis de leur préciser que les flèches étaient en supplément. C'est à son époque que le clan adopta le patronyme de "McDuck" (version anglaise du gaélique "McDuich").
Sire Wilfried McPicsou
Sire Wilfried McPicsou (Sir Stuft McDuck en VO)[16] est un ancêtre de Picsou cité dans l'histoire Le Secret du vieux château[3] de Barks. Sur sa pierre tombale proche du château, il est indiqué qu'il est né en 1110 et mort en 1175[15]. Banquier de profession, on lui doit l'indépendance de l'Écosse qu'il racheta 10 000marks aux Normands mais vida de ce fait les caisses du clan.
Sire Emeric McPicsou
Sire Emeric McPicsou (Sir Roast McDuck en VO)[17] est un ancêtre de Picsou cité dans l'histoire Le Secret du vieux château[3] de Barks puis détaillé dans la série La jeunesse de Picsou de Rosa. Il est né en 1159, mort en 1205 d'indigestion après avoir pillé le garde-manger du roi Guillaume Ier d'Écosse[13].
Sire Edward McPicsou
Sire Edward McPicsou (Sir Swamphole McDuck en VO)[18] est un ancêtre de Picsou cité dans l'histoire Le Secret du vieux château[3]. D'après cette histoire, son squelette repose dans son armure présentée dans le hall du château alors que sa tombe à l’extérieur se retrouve vide. En effet, cette dernière est en réalité une entrée secrète des cachots[13]. De son vivant, c'était un chevalier né en 1190 et qui finit ses jours en 1260. D'après l'histoire Une lettre de la maison (A Letter From Home)[19] de Don Rosa, c'est lui qui condamna les donjons du château familial, prétextant ne plus pouvoir entretenir une salle de torture digne de ce nom.
Sir Donald McDuck
Sir Donald McDuck, surnommé "Black Donald", est un personnage tiré du brouillon de l'histoire Le Dernier du Clan McPicsou de Don Rosa[9] et qui n'a jamais été traduit en France et donc n'a pas de nom français. Ayant vécu vers 1440, il serait descendant de Sire Emeric McPicsou. On lui doit l'invention du golf et du lancer de tronc d'arbre (Caber). Il mourut au cours d'une partie de ce dernier en recevant un coup de tronc sur le crâne. Il a un très mauvais caractère semblable à son lointain descendant, Donald Duck[11].
Sire Francis McPicsou (Malcolm "Matey" McDuck en VO)[20] apparaît pour la première fois en 1956 dans l'histoire Trésor temporel (Back To Long Ago!)[21] de Carl Barks. Il est né aux alentours de 1530 à Glasgow. C'est un lieutenant et navigateur qui naviguera sur le vaisseau Golden Hind aux côtés de l'amiral Francis Drake. Il est le premier McPicsou a posé un pied aux États-Unis et précisément au Calisota en 1579. Sir Francis Drake va sur place, fonder un fort du nom de Drake Borough et fera de Francis McPicsou son commandant. Ce dernier mourut lors de son siège la même année et le nom du fort sera changé par Cornélius Écoutum devenant le fort Donaldville (Duckburg en VO). C'est sur les ruines de ce fort que sera bien plus tard érigé le coffre de Picsou[22].
Laird Locksley Duck
Laird Locksley Duck. Il vécut vers 1707. Compagnon du hors-la-loiRob Roy, ils se brouillèrent lorsque Rob Roy lui annonça que l'argent volé aux riches devait être redistribué.
Kenneth McPicsou
Kenneth McPicsou (Hugh «Seafoam»[Note 2] McDuck en VO)[23] apparaît pour la première fois en 1953 dans l'histoire Arnach McChicane (The Horseradish Story)[24] de Carl Barks. Il est né en 1710 et fit fortune dans le commerce avec les Indes et acheta son propre bateau, le Golden Goose[Note 3]. Mais celui-ci fut saboté en 1753 par un certain S. Croc McChicane (Swindle McSue en VO) avec lequel Kenneth avait signé un contrat, stipulant en toutes petites lettres qu'il devrait leur céder tous les biens des McPicsou si la livraison n'était pas honorée[25]. Il ne conserva de la mésaventure que la montre de ses ancêtres et ses dents en or. Il disparut en 1776 au cours de la guerre d'indépendance des États-Unis[26].
Potcrack McDuck
Potcrack McDuck[Note 4] est un personnage tiré du brouillon de l'histoire Le Dernier du Clan McPicsou de Don Rosa[9] et qui n'a jamais été traduit en France et donc n'a pas de nom français. Il est l'inventeur de la cornemuse datant de 1767[11].
Willie McPicsou
Willie McPicsou ("Dirty" Dingus McDuck en VO). Grand-père de Picsou. Mineur de fond, il épousa Molly Mallard dont il eut trois garçons: Fergus, John et Jack.
Quinquagésime McPicsou
Quinquagésime McPicsou (Quagmire McDuck en VO). Frère du précédent et grand-oncle de Picsou. Il hérita de la montre de son ancêtre Kenneth McPicsou qu'il transmit à son neveu Fergus. Il serait le grand-père d'Adhémar Padsou (Moocher McDuck en VO), cousin désargenté de Balthazar Picsou[27], ainsi que de Pokerface McDuck, légataire de Donald Duck et Gontran Bonheur.
John McPicsou
John McPicsou (Angus "Pothole" McDuck en VO). Fils de Willie Mc Picsou. Né en 1829 à Glasgow et mort en 1901 à La Nouvelle-Orléans, il s'exila aux États-Unis dans les années 1840. Il commanda plusieurs bateaux à vapeur sur le Mississippi et prit sa retraite en 1882.
Fergus McPicsou
Fergus McPicsou (Fergus McDuck en VO). Frère du précédent et père de Picsou. Né en 1835 à Glasgow et mort en 1902 à Dismal Downs. Meunier de profession, il épousa une jeune irlandaise, Édith O'Drake (Downy O'Drake en VO), en 1867, qui donna naissance à Balthazar, Matilda et Hortense. On lui prête d'autres unions dont furent issus d'autres enfants.
Jack McPicsou
Jack McPicsou (Jake McDuck en VO)[28] est un personnage créé par Carl Barks. Ce dernier fait référence au personnage dans l'histoire Un Noël à Pauvreville (A Christmas For Shacktown)[29] en 1951. Il apparaît pour la première fois physiquement à partir de 1992 dans la série La jeunesse de Picsou de Rosa. Il est le frère de Fergus et John et donc l'oncle de Picsou. Il est né à Glasgow en 1832 et mort après 1952.
Matilda Picsou (Matilda McDuck en VO). Fille de Fergus McPicsou et sœur de Picsou. Née en 1871 à Glasgow, elle rejoignit son frère aîné aux États-Unis en 1902 en compagnie de sa jeune sœur Hortense, et travailla pour lui. Elle aurait épousé Donald Dingue. On perd sa trace après 1955.
Hortense Picsou
Hortense Picsou (Hortense McDuck en VO). Fille de Fergus McPicsou et sœur de Picsou. Née en 1876 à Glasgow, elle suivit le reste de la famille dans leur exil aux États-Unis. Elle s'éprit de Rodolphe Duck, le benjamin de Elvire et Joseph Duck, qu'elle épousa après 1910. De leur union naquirent Donald Duck et sa sœur jumelle Della en 1920.
Gédéon Picsou
Gédéon Picsou (Gedeone de' Paperoni en VO)[31] apparaît pour la première fois en 1953 dans l'histoire Mystère en sauce (Paperino e i gamberi in salmì)[32] scénarisée et dessinée par Romano Scarpa en 1956. Frère cadet de Balthazar Picsou, il est le directeur du journal donaldvillois Le Grillon qui parle. Par la suite, il dirigera les quotidiens Le Grillon du soir et La Trompette de Donaldville jusqu'en 1990 où il récupère Le Grillon qui parle pour pouvoir le maintenir à la page. Pour créer son personnage, Scarpa a déclaré s'être inspiré de Mario Gentilini, rédacteur en chef de Topolino de 1945 à 1980[33].
Léon Sanzun
Léon Sanzun (Rumpus McFowl en VO)[34]. Demi-frère de Picsou, fils issu du court mariage entre Fergus McPicsou et une sœur de Véra O'Drake et Édith O'Drake, mère de Picsou.
Enfin, il arrive que Grand-Mère Donald soit présentée comme la sœur de Balthazar et Gédéon Picsou[35], en contradiction avec la généalogie établie par Don Rosa.
Don Rosa a développé en 1993 un arbre généalogique dont Carl Barks avait jeté les bases dans les années 1950 pour expliquer les liens entre le clan McPicsou et la famille Duck dont est issu Donald Duck.
Don Rosa réalisa pour le clan plusieurs versions de leur blason. Pour La Jeunesse de Picsou, il en avait réalisé un premier, visible dans Le Dernier du clan McPicsou, qui ne l'avait pas satisfait. Celui-ci était composé d'une barre d'argent avec trois têtes de canard de sable, sur fond d'or, avec des pièces. Alors il se mit à potasser l'héraldique afin d'en réaliser un autre qui lui convienne mieux. Le nouveau se compose de:
Un canton de gueules chargé d'une tête de canard de sable: cette tête symbolise le clan;
Une barre crénelée de gueules, chargée de trois besants d'or: elle signifie la féroce protection du clan d'un trésor.
Le bédéiste explique donc le sens de son blason, indiquant que le clan des McPicsou est composé de guerriers courageux et ambitieux, défendant férocement un grand trésor. Ce qui définit ce clan à ses yeux[36].
Ce blason est largement fautif (enquerre): le champ "tanné" est d'émail et donc n'accepte pas de charge également d'émail, ce qui est le cas de la barre de gueules (qui est un émail), et du canton de gueules aussi. De plus le canard est de sable (encore un émail) qui charge le gueules du canton. Triplement fautif, Don Rosa n'a pas bien assimilé les règles de l'héraldique. Le précédent lui aussi était fautif avec un métal sur métal (barre d'argent sur fond d'or).
(en)Base INDUCKS:W OS 178-02 → Christmas on Bear Mountain. Publiée pour la première fois en France en 1948 sous le nom Le Noël de Donald puis sous les titres Qui craint le grand méchant ours? (1970), Onc' Picsou n'est pas si ours que ça (1974) et Noël sur la montagne (1987).
(en)Base INDUCKS:W OS 189-02 → The Old Castle's Secret. Publiée pour la première fois en France en 1949 sous le nom Donald et le Secret du donjon puis sous les titres Le Fantôme écossais! (1970), Onc’ Picsou et le Secret du fantôme (1974) et Séjour mouvementé au château (1990).
(en)Base INDUCKS:D 91308 → The Life and Times of Scrooge McDuck. Publié une première fois en France en 1994 sous le titre Les Affaires de Picsou ne sont pas les affaires des autres…
(en)Base INDUCKS:W US 29-04 → Hound of the Whiskervilles. Publié une première fois en France en 1991 sous le titre Oncle Picsou et le chien des Basketville!
(en)Base INDUCKS:W US 16-02 → Back To Long Ago!. Publiée pour la première fois en France en 1958 sous le nom La course au trésor! puis sous les titres La plage du chevalier Picsou (1983) et Voyage dans le temps (1997).
(en)Base INDUCKS:W OS 495-02 → The Horseradish Story. Publiée pour la première fois en France en 1957 sous le nom Oncle Harpagon et les clous de girofle puis sous les titres Onc Picsou et l'affaire de la moutarde (1968) et Course contre le temps! (1988).
(en)Base INDUCKS:W OS 367-02 → A Christmas For Shacktown. Publiée pour la première fois en France en 1957 sous le nom Oncle Picsou généreux malgré lui! puis sous le titre Donald et le p'tit sou en 1976.
Dans sa volonté de continuité avec les histoires de Carl Barks, Don Rosa utilise les deux sœurs car elles apparaissent dans une ébauche d'arbre généalogique que Barks compose dans les années 1950 comme outil de travail. Il est reproduit dans La Jeunesse de Picsou, hors-série no1 de Picsou Magazine, été 2004, page 8.
(en)Base INDUCKS:I TL 132-AP → Paperino e i gamberi in salmì. Publiée pour la première fois en France en 1980 sous le nom Le mystère des écrevisses en civet puis sous le titre Le mystère des crevettes en sauce en 1999.
Créé par William Van Horn le 9 août 1994 dans Signé Léon Sanzun! (It's All Relative) (en)Base INDUCKS:D 91377. Première publication en France en 2005. D'abord présenté comme un cousin de Picsou, ses véritables origines sont révélées en 2000 dans La Fortune vient en bossant (Travail) (en)Base INDUCKS:D 99053.
Elvire, Balthazar et Gédéon sont ainsi présentés comme frères et sœur ayant grandi en Écosse dans Picsou fait les gros titres (Zio Paperone e le notizie... fraterne) (en)Base INDUCKS:I PM 187-2. Première publication en France en 1996.
Intégrale Don Rosa, La grande épopée de Picsou, Tome VII - Le Retour du Chevalier noir et autres histoires, Glénat
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «Aux racines de la fortune: Barks et l'Écosse», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.6 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «Aux racines de la fortune: Un travail d'unification», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.7 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «La saga des McPicsou: Les indices barksiens», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.12 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «La famille s'agrandit: Les indices barksiens», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.12-13 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «La saga des McPicsou: Don Rosa entre dans le bal», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.13-14 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Adrien Miqueu et Jérémie Noyer, «La saga des McPicsou: McDuck ou McDuich?», Mickey, Donald & Cie: la grande galerie des personnages, Vanves, Hachette Collections, no42 «Picsou, le milliardaire des Highlands», , p.14 (ISSN2681-7586, présentation en ligne).
Luca Boschi, «Les personnages: Sir Francis McPicsou», dans La Dynastie Donald Duck, Tome 6 - 1955/1956 - Rencontre avec les Cracs-badaboums et autres histoires, Grenoble, Glénat, , 384p. (ISBN978-2-7234-8786-3), p.382-383.
Luca Boschi, «Les personnages: Jack McPicsou», dans La Dynastie Donald Duck, Tome 9 - 1958/1959 - Le trésor du Hollandais volant et autres histoires, Grenoble, Glénat, , 384p. (ISBN978-2-7234-8901-0), p.382-383.
Luca Boschi, «Les personnages: Sir Quackly McDuck», dans La Dynastie Donald Duck, Tome 22 - 1947/1948 - Noël sur le Mont Ours et autres histoires, Grenoble, Glénat, , 384p. (ISBN978-2-3440-1049-5), p.382-383.
Alberto Becattini, «Le personnage: Arnach McChicane», dans La Dynastie Donald Duck, Tome 24 - 1949 - La Lettre au père Noël et autres histoires, Grenoble, Glénat, , 384p. (ISBN978-2-3440-1051-8), p.372-373.
Don Rosa, «Vues d'auteur - Le Dernier du clan McPicsou», dans Don Rosa, La Grande épopée de Picsou, Tome 1 - La Jeunesse de Picsou 1/2, Grenoble, Glénat, , 287p. (ISBN978-2-7234-9165-5), p.26-28.
Alberto Becattini, «Le personnage: Gédéon McDuck», dans Les Grandes aventures de Romano Scarpa, Tome 1 - 1953/1956 - Le Double secret du Fantôme Noir et autres histoires, Grenoble, Glénat, , 364p. (ISBN978-2-3440-2313-6), p.358-359.