Pour la municipalité du Témiscouata, voir Saint-Jean-de-la-Lande.
Saint-Jean-de-la-Lande est une ancienne municipalité du Québec (Canada) qui forme maintenant un secteur de la ville de Saint-Georges.
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L'arrondissement compte moins de 1 000 habitants et se situe au sud-ouest du centre-ville de Saint-Georges.
Histoire
Dès 1860, le rang Saint-Jean est ouvert dans la seigneurie d'Aubert-Gallion[1]. Cependant, ce n'est pas avant 1925 que des colons commencent à défricher le territoire qui deviendra Saint-Jean-de-la Lande. La paroisse est fondée en 1932, et la municipalité l'année suivante. Leur territoire a été détaché d'Aubert-Gallion, de Saint-Martin, de Saint-Benoît-Labre et du canton de Shenley. L'abbé Donat Tanguay, premier curé, a été le principal instigateur de la fondation de la localité. Un parc public honore maintenant sa mémoire[2].
Le , la municipalité de Saint-Jean-de-la-Lande est fusionnée avec Aubert-Gallion, Saint-Georges et Saint-Georges-Est pour former la nouvelle ville de Saint-Georges.
Administration
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| 1933 | 1935 | Édouard Poulin | ||
| 1935 | 1949 | Odilon Rodrigue | ||
| 1949 | 1952 | Gérard Caron | ||
| 1952 | 1955 | Conrad Veilleux | ||
| 1955 | 1958 | Lionel Thibodeau | ||
| 1958 | 1971 | Lucien Cloutier | ||
| 1971 | 1973 | Louis-Philippe Dallaire | ||
| 1973 | 1977 | Normand Rodrigue | ||
| 1977 | 1996 | Fernand Bégin | ||
| 1996 | 2001 | Serge Veilleux | ||
Notes et références
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