Dans La cuisine de la sorcière, elle étudie la présence du couple Faust et Méphistophélès dans les textes de Freud, notamment L'Interprétation du rêve. Elle publie un ouvrage intitulé La psychanalyse excentrée[3]. Dans Le Sexe prescrit, elle interroge la différence des sexes[4]. En 2017, elle publie Au bon plaisir des «docteurs graves», qui constitue une lecture critique des travaux de Judith Butler[5]. Elle tient une chronique dans Libération[6] jusqu’en [7],[8].
Jeanne Favret-Saada, «Au bon plaisir des ‘docteurs graves’. À propos de Judith Butler» de Sabine Prokhoris, 4 février 2017, sur www.mezetulle.fr, [lire en ligne].
[entretien] Jean-Marie Durand, «Sabine Prokhoris: “Il manque un peu d’audace et d’acuité dans la réflexion des psys aujourd’hui”», Les Inrockuptibles, (lire en ligne, consulté le ).
[compte rendu] Laurent Olivier, «Un travail de désaliénation de la pensée: le «cas Judith Butler»», La Quinzaine littéraire, no1167, (lire en ligne, consulté le ).
Catherine Kintzler, «Sabine Prokhoris, Le Mirage #MeToo. Réflexions à partir du cas français», Humanisme, 2022/1 no334, p.118-120, [lire en ligne]
Fabio Landa, dans «Lectures: Le mirage #MeToo. Réflexions à propos du cas français de Sabine Prokhoris», Le Coq-héron, 2022/2 no249, p.166-172, [lire en ligne]