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Les records du monde du 200 mètres sont actuellement détenus par le Jamaïcain Usain Bolt avec le temps de 19 s 19, établi le en finale des championnats du monde, à Berlin en Allemagne, et par l'Américaine Florence Griffith-Joyner, créditée de 21 s 34 le en finale des Jeux olympiques, à Séoul, en Corée du Sud[1].
Record du monde du 200 m | |
Usain Bolt en 2009 à Berlin lors de son record du monde du 200 m. | |
Caractéristiques du record | |
---|---|
Discipline | 200 mètres athlétisme |
Instance homologatrice |
World Athletics |
Genre | Hommes / Femmes |
Portée | Monde |
Record actuel masculin | |
Valeur | 19 s 19 |
Vent | - 0,3 m/s |
Titulaire(s) | Usain Bolt Jamaïque |
Date du record | |
Circonstance | Championnats du monde |
Site | Stade olympique Berlin Allemagne |
Record actuel féminin | |
Valeur | 21 s 34 |
Vent | + 1,3 m/s |
Titulaire(s) | Florence Griffith-Joyner États-Unis |
Date du record | |
Circonstance | Jeux olympiques |
Site | Stade olympique Séoul Corée du Sud |
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Le premier record du monde du 200 m homologué par World Athletics est celui de l'Américain Andy Stanfield en 1951 avec le temps de 20 s 6. L'Américain Tommie Smith, qui est le premier athlète à franchir la barrière des vingt secondes, est le premier détenteur du record du monde mesuré au chronométrage électronique avec 19 s 83, en 1968. Trois athlètes seulement lui succèdent, l'Italien Pietro Mennea, détenteur du record de 1979 à 1996, l'Américain Michael Johnson, détenteur du record de 1996 à 2008, et Usain Bolt.
Le premier record mondial féminin, régi alors par la Fédération sportive féminine internationale, est établi dès 1922 par la Britannique Alice Cast avec 27 s 8. L'Américaine Wilma Rudolph est la première athlète à descendre sous les 23 secondes (en 1960), l'allemande Marita Koch étant la première à courir en moins de 22 secondes (en 1979).
Les records du monde en salle du 200 m appartiennent au Namibien Frank Fredericks (19 s 92 le à Liévin) et à la Jamaïcaine Merlene Ottey (21 s 87 le à Liévin).
Le premier record du monde du 200 mètres officiellement reconnu par l'Association internationale des fédérations d'athlétisme (IAAF) est celui de l'Américain Andy Stanfield qui établit le temps de 20 s 6 sur 200 m dans une course disputée sur la distance de 220 yards (201,168 m), le à Philadelphie au cours des Championnats IC4A[2], performance qu'il égale un an plus tard, le à Los Angeles durant les sélections olympiques américaines[2]. Des courses de 220 Verges en ligne droite sont disputés plus fréquemment aux États-Unis, mais les records établis ne donneront jamais lieu à une homologation par la Fédération internationale[3].
Le record du monde d'Andy Stanfield est égalé durant la saison 1956 par deux de ses compatriotes : Thane Baker tout d'abord, le à Bakersfield en Californie au cours des Championnats de l'AAU[2], Bobby Joe Morrow ensuite, le lors de sa victoire en finale des Jeux olympiques de 1956, à Melbourne[4].
Trois autres athlètes égalent ce record du monde dans les années suivantes : l'Allemand Manfred Germar le à Wuppertal, et l'Américain Ray Norton par deux fois, le lors d'une rencontre universitaire à Berkeley, dans une course disputée sur 220 yards, et une seconde fois le à Philadelphie au cours des Penn Relays[2].
Le , à Wolverhampton lors des Championnats de Staffordshire County, le Britannique Peter Radford améliore d'un dixième de seconde le record du monde en étant chronométré à 20 s 5 au 200 m sur une course couru sur 220 yards[2]. Le , à Abilene au Texas, l'Américain Charles Tidwell établit le temps de 20 s 2, toujours sur 220 yards, mais le record du monde n'est finalement pas homologué par les officiels après avoir constaté que la distance parcourue était d'1 s 50 trop courte[5]. Le , à Stanford au cours des Sélections olympiques américaines, Ray Norton et son compatriote Stone Johnson réalisent lors d'une même course le temps de 20 s 5, égalant tous les deux le record mondial de Peter Radford. Le , lors des Jeux olympiques de 1960, à Rome, l'Italien Livio Berruti égale à deux reprises le record du monde de 20 s 5, une première fois en demi-finale[6], puis de nouveau lors de sa victoire en finale[7],[2].
Le , à Walnut lors des Championnats de l'AAU, l'Américain Paul Drayton égale lui aussi le record du monde de 20 s 5 dans le cadre d'une course disputée sur 220 yards[2].
Le , lors d'une rencontre universitaire à Tempe en Arizona, l'Américain Henry Carr améliore de 2/10e de seconde le record du monde en établissant le temps de 20 s 3 sur 200 m dans une course disputée sur 220 yards. Le , de nouveau à Tempe, Henry Carr porte le record du monde à 20 s 2[2].
L'Américain Tommie Smith, qui vient d'établir quelques jours plus tôt à San José le temps de 19 s 5 sur 220 yards en ligne droite, établit le temps de 20 s 0 juste le à Sacramento, sur 220 yards en virage, améliorant à cette occasion de 2/10e de seconde le record du monde d'Henry Carr[2].
Lors des sélections olympiques américaines de 1968, à Echo Summit en altitude, Tommie Smith est battu par son compatriote John Carlos — 19 s 9 pour Smith contre 19 s 7 pour Carlos — mais le record du monde n'est pas homologué car les deux athlètes portent des chaussures à pointes spéciales, interdites par le règlement[8]. Le , en finale des Jeux olympiques de Mexico, situé également en altitude, Tommie Smith devient le premier athlète à descendre sous les vingt secondes sur 200 m en remportant le titre olympique dans le temps officiel de 19 s 83[2], performance constituant à partir de 1977 le premier record du monde mesuré électroniquement[8].
Le Jamaïcain Don Quarrie égale à deux reprises les 19 s 8 de Tommie Smith, une première fois le au cours des Jeux panaméricains, à Cali en altitude[2], et une seconde fois le à Eugene au cours du meeting de la Prefontaine Classic. Dans cet intervalle, deux athlètes se rapprochent du record du monde : le Soviétique Valeriy Borzov, qui remporte les Jeux olympiques de 1972 en 20 s 00, et l'Américain Steve Williams, qui réalise 19 s 9 en [2].
Le , lors de la finale du 200 m des Universiades d'été de Mexico, l'Italien Pietro Mennea, champion d'Europe l'année précédente, améliore de 11/100e de seconde le record du monde de Tommie Smith en le portant à 19 s 72 (+ 1,8 m/s)[2].
L'américain Carl Lewis se rapproche à plusieurs reprises du record du monde de Pietro Mennea, réalisant notamment 19 s 75 le à Indianapolis et 19 s 80 le à Los Angeles. Son compatriote Joe DeLoach établit la marque de 19 s 75 le lors de sa victoire aux Jeux olympiques de Séoul. Le , l'autre américain Michael Marsh frôle le record du monde de l'Italien lors des demi-finales des Jeux de Barcelone en établissant le temps de 19 s 73[9].
Le record du monde de Pietro Mennea n'est finalement battu que dix-sept ans plus tard, le , au cours des sélections olympiques américaines d'Atlanta, par l'Américain Michael Johnson qui améliore de 6/100e de seconde le temps de l'Italien en 19 s 66 (+ 0,4 m/s). Un an plus tôt, le lors de sa victoire aux mondiaux de Göteborg, Johnson s'était approché de 7/100e de seconde de la marque de Mennea en courant en 19 s 79.
Le , en finale des Jeux olympiques, toujours à Atlanta, Michael Johnson bat de 34/100e de seconde son propre record du monde en établissant le temps de 19 s 32[2]. Il effectue son premier 100 m en 10 s 12 et son second 100 m en 9 s 20[10]. Il est à noter qu'à cette date, le record du monde du 100 m, de Donovan Bailey, étant de 9 s 84 (36,58 km/h), Michael Johnson est officiellement l'homme le plus rapide au monde (37,27 km/h), malgré la croyance populaire qui attache ce titre au détenteur du record du monde du 100 m. Il faudra attendre le record d'Usain Bolt en 9 s 58 (37,58 km/h) à Berlin en 2009 pour que cette croyance redevienne vraie.
Le lors des Jeux olympiques de Pékin, et quatre jours après avoir établi un nouveau record du monde sur 100 m, le Jamaïcain Usain Bolt bat le record du monde du 200 m en établissant en finale le temps de 19 s 30, et ce malgré un vent défavorable de 0,9 m/s[11]. Il abaisse de deux centièmes de secondes le temps de Michael Johnson établi 12 ans plus tôt, également en finale olympique[12].
Le , lors des championnats du monde de Berlin, un an jour pour jour après sa performance de Pékin, Usain Bolt améliore de 11/100e de seconde son propre record du monde en établissant le temps de 19 s 19 (- 0,3 m/s)[13]. Le Jamaïcain réalise le meilleur départ de sa carrière avec un temps de réaction de 0 s 133, il franchit les premiers 100 mètres en 9 s 92 et possède une dizaine de mètres d'avance sur ses adversaires à l'entrée dans la ligne droite. Il effectue sa deuxième partie en 9 s 27 et l'emporte en 19 s 19 dans une course très rapide où 4 athlètes passent sous les 19 s 90 et 5 sous les 20 secondes[14]. Le détail par intervalle de course du record du monde d'Usain Bolt est le suivant[15] :
Vent | Réaction | 100 m | 200 m | 0–50 m | 50–100 m | 100–150 m | 150–200 m |
---|---|---|---|---|---|---|---|
- 0,3 m/s | 0 s 133 | 9 s 92 | 19 s 19 | 5 s 60 | 4 s 32 | 4 s 52 | 4 s 75 |
Depuis 2009, plusieurs athlètes se sont rapprochés de ce record en descendant sous les 19 s 40 : Usain Bolt (19 s 32 le à Londres au cours des Jeux olympiques), son compatriote Yohan Blake (19 s 26 le à Bruxelles), et l'Américain Noah Lyles (19 s 31 le à Eugene au cours des championnats du monde).
24 records du monde masculins ont été homologués par World Athletics.
À partir du , l'IAAF ne valide que les records du monde établis à l'aide du chronométrage électronique. La performance de 19 s 83 établit par Tommie Smith le à Mexico constitue néanmoins la première mesure homologuée.
Temps | Vent (m/s) |
Athlète | Lieu | Circonstance | Date | |
---|---|---|---|---|---|---|
19 s 83 | A[22] | +0,9 | Tommie Smith | Mexico | Jeux olympiques | |
19 s 72 | A[22] | +1,8 | Pietro Mennea | Mexico | Universiades d'été | |
19 s 66 | +0,4 | Michael Johnson | Atlanta | Sélections olympiques américaines | ||
19 s 32 | +0,4 | Michael Johnson | Atlanta | Jeux olympiques | ||
19 s 30 | -0,9 | Usain Bolt | Pékin | Jeux olympiques | ||
19 s 19 | -0,3 | Usain Bolt | Berlin | Championnats du monde |
Le premier record du monde féminin du 200 mètres homologué par l'IAAF est celui de la Britannique Alice Cast avec le temps de 27 s 8, établi le à Paris[2]. Ce record est amélioré par deux de ses compatriotes durant les années 1920 : par Mary Lines qui établit le temps de 26 s 8 sur 220 yards le à Waddon, puis par Eileen Edwards qui l'améliore à trois reprises en réalisant successivement 26 s 2 le , 26 s 0 le et 25 s 4 le , performance qu'égale la Néerlandaise Tollien Schuurman, le , à Bruxelles[2].
Le , la Polonaise Stanisława Walasiewicz améliore de plus de deux secondes le record du monde en établissant le temps de 23 s 6 à Varsovie[24].
Le record du monde de Stanisława Walasiewicz n'est amélioré que dix-sept ans plus tard, le au cours des Jeux olympiques de 1952, à Helsinki, par l'Australienne Marjorie Jackson qui réalise le temps de 23 s 4 en demi-finale après avoir égalé le record de 23 s 6 de la Polonaise lors des séries[2].
Le , à Sydney, l'autre australienne Betty Cuthbert, âgée de dix-huit ans seulement, porte le record mondial à 23 s 2, avant de l'égaler le à Hobart, sur 220 yards[2].
Le à Corpus Christi, l'Américaine Wilma Rudolph, qui deviendra championne olympique du 200 m quelques semaines plus tard aux Jeux de Rome, devient la première athlète féminine à descendre officiellement sous les vingt-trois secondes en établissant la marque de 22 s 9[25].
Le record de Rudolph est égalé par l'Australienne Margaret Burvill, sur 220 yards, le à Perth[2].
Le , à Varsovie, la Polonaise Irena Szewińska, sous son nom de jeune fille Irena Kirszenstein, retranche 2/10e de seconde au record du monde co-détenu par Wilma Rudolph et Margaret Burvill en le portant à 22 s 7[2].
Elle l'améliore de 2/10e de seconde son propre record du monde, le à l'occasion de sa victoire aux Jeux olympiques de 1968, à Mexico en altitude, en 22 s 5 avec un vent favorable de 2 m/s.
Le , à Munich, la Taïwanaise Chi Cheng porte le record du monde du 200 m à 22 s 4.
Le à Munich en finale des Jeux olympiques l'Est-allemande Renate Stecher égale le record du monde de 22 s 4 de Chi Cheng. Elle améliore ce record d'un dixième de seconde le à Dresde.
Le à Potsdam, la Polonaise Irena Szewińska égale le record de Renate Stecher de 22 s 1 (+ 1,9 m/s), le temps au centième de seconde de 22 s 21 constitue le premier record du monde mesuré électroniquement[26].
L'Est-allemande Marita Koch améliore de 15/100e le record du monde du 200 m d'Irena Szewińska en parcourant la distance en 22 s 06 le à Erfurt, record qu'elle porte à 22 s 02 le à Leipzig[2], puis à 21 s 71 le à Chemnitz, retranchant près de 3/10e de seconde à son propre record du monde, et devenant officiellement la première athlète féminine à descendre sous les vingt-deux secondes[2],[27].
Marita Koch égale son propre record du monde de 21 s 71 le à Potsdam[2], tout comme sa compatriote Heike Drechsler qui réalise à deux reprises lors de la saison 1986 le temps de 21 s 71, une première fois le à Iéna[2], et une seconde fois le à Stuttgart en finale des championnats d'Europe[27].
Le , lors des Jeux olympiques de Séoul, l'Américaine Florence Griffith-Joyner, déjà détentrice du record du monde du 100 m, établit le nouveau record mondial du 200 m en remportant sa demi-finale dans le temps de 21 s 56 (+ 1,7 m/s). Plus tard dans la soirée, lors de la finale, elle améliore ce record de 22/100e en devenant championne olympique en 21 s 34 (+ 1,3 m/s)[28].
Le , en finale des championnats du monde à Eugene, la Jamaïcaine Shericka Jackson réalise la deuxième performance mondiale de tous les temps en 21 s 45, à 11/100e de seconde du record du monde de Florence Griffith-Joyner.
28 records du monde féminins ont été homologués par la FSFI et World Athletics.
Temps | Vent (m/s) |
Athlète | Lieu | Circonstance | Date | |
---|---|---|---|---|---|---|
Chronométrage manuel | ||||||
27 s 8+ | Alice Cast | Paris | ||||
26 s 8 | y[17] | Mary Lines | Waddon | |||
26 s 2 | y[17] | Eileen Edwards | Londres | |||
26 s 0 | Eileen Edwards | Paris | ||||
25 s 4 | Eileen Edwards | Berlin | ||||
25 s 4 | Tollien Schuurman | Bruxelles | ||||
23 s 6 | Stanisława Walasiewicz | Varsovie | ||||
23 s 6[30] | Marjorie Jackson | Helsinki | Jeux olympiques | |||
23 s 4[31] | Marjorie Jackson | Helsinki | Jeux olympiques | |||
23 s 2 | Betty Cuthbert | Sydney | ||||
23 s 2 | y[17] | Betty Cuthbert | Hobart | |||
22 s 9 | +1,4 | Wilma Rudolph | Corpus Christi | |||
22 s 9 | y[17] | 0,0 | Margaret Burvill | Perth | ||
22 s 7 | +0,8 | Irena Szewińska | Varsovie | |||
22 s 5[32] | +2,0 | Irena Szewińska | Mexico | Jeux olympiques | ||
22 s 4[33] | +0,8 | Chi Cheng | Munich | |||
22 s 4[34] | +1,1 | Renate Stecher | Munich | Jeux olympiques | ||
22 s 1[35] | +1,6 | Renate Stecher | Dresde | |||
22 s 1[36] | +1,9 | Irena Szewińska | Potsdam |
Temps | Vent (m/s) |
Athlète | Lieu | Circonstance | Date |
---|---|---|---|---|---|
22 s 21 | +1,9 | Irena Szewińska | Potsdam | ||
22 s 06 | +1,2 | Marita Koch | Erfurt | Coupe d'Allemagne de l'Est | |
22 s 02 | -1,4 | Marita Koch | Leipzig | ||
21 s 71 | +0,7 | Marita Koch | Chemnitz | Match Canada-Allemagne de l'Est | |
21 s 71 | +0,3 | Marita Koch | Potsdam | Journée olympique | |
21 s 71 | +1,9 | Heike Drechsler | Iéna | Championnats d'Allemagne de l'Est | |
21 s 71 | -0,8 | Heike Drechsler | Stuttgart | Championnats d'Europe | |
21 s 56 | +1,7 | Florence Griffith-Joyner | Séoul | Jeux olympiques | |
21 s 34 | +1,3 | Florence Griffith-Joyner | Séoul | Jeux olympiques |
Record du monde du 200 m piste courte | |
Merlene Ottey détient le record du monde féminin du 200 m sur piste courte. | |
Caractéristiques du record | |
---|---|
Discipline | 200 mètres (piste courte) athlétisme |
Instance homologatrice |
World Athletics |
Genre | Hommes / Femmes |
Portée | Monde |
Record actuel masculin | |
Valeur | 19 s 92 |
Titulaire(s) | Frank Fredericks Namibie |
Date du record | |
Circonstance | Meeting Hauts-de-France Pas-de-Calais |
Site | Arena stade couvert Liévin France |
Record actuel féminin | |
Valeur | 21 s 87 |
Titulaire(s) | Merlene Ottey Jamaïque |
Date du record | |
Circonstance | Meeting Hauts-de-France Pas-de-Calais |
Site | Arena stade couvert Liévin France |
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A partir du , World Athletics introduit le nouveau terme « piste courte » (« short track » en anglais) en remplacement du terme « en salle » (« indoor ») pour décrire les compétitions et les performances dont les courses se déroulent sur une piste de 200 m, traditionnellement dans une salle mais également en extérieur[37].
3 records du monde en salle masculin du 200 m ont été homologués par l'IAAF.
Temps | Athlète | Date | Lieu |
---|---|---|---|
20 s 36 | Bruno Marie-Rose | Liévin | |
20 s 25 | Linford Christie | Liévin | |
19 s 92 | Frank Fredericks | Liévin |
4 records du monde en salle féminin du 200 m ont été homologués par l'IAAF.
Temps | Athlète | Date | Lieu |
---|---|---|---|
22 s 27 | Heike Drechsler | Indianapolis | |
22 s 24 | Merlene Ottey | Sindelfingen | |
22 s 24 | Merlene Ottey | Séville | |
21 s 87 | Merlene Ottey | Liévin |
Les records du monde juniors du 200 m sont actuellement détenus par l'Américain Erriyon Knighton, auteur de 19 s 69 le à Eugene lors des sélections olympiques américaines, et par la Namibienne Christine Mboma, créditée de 21 s 81 le à Tokyo en finale des Jeux olympiques. Les records du monde juniors en salle sont détenus par les Américains Walter Dix chez les hommes en 20 s 37 (2005) et Bianca Knight chez les femmes en 22 s 40 (2008).
Les meilleures performances mondiales cadets sont la propriété de Erriyon Knighton (19 s 84 le à Eugene) et de l'Américaine Candace Hill (22 s 43 le à Cali)[40].
Record | Athlète | Temps | Date | Lieu |
---|---|---|---|---|
Record du monde junior | Erriyon Knighton | 19 s 69 | Eugene | |
Record du monde junior en salle | Walter Dix | 20 s 37 | Fayetteville | |
Meilleure performance mondiale cadet | Erriyon Knighton | 19 s 84 | Eugene |
Record | Athlète | Temps | Date | Lieu |
---|---|---|---|---|
Record du monde junior | Christine Mboma | 21 s 81 | Tokyo | |
Record du monde junior en salle | Bianca Knight | 22 s 40 | Fayetteville | |
Meilleure performance mondiale cadet | Candace Hill | 22 s 43 | Cali |
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