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Raymond II de Toulouse, est un noble du royaume de Francie occidentale, comte d'Albi dès 878, comte de Nîmes en 890, comte de Toulouse de 918 à 923 ou 924, marquis de Gothie[1],[2],[3],[4].
Raymond II de Toulouse | |
Titre | |
---|---|
Comte de Toulouse, marquis de Gothie | |
– (6 ans) |
|
Prédécesseur | Eudes de Rouergue |
Successeur | Raymond Pons de Toulouse Ermengaud de Rouergue |
comte d'Albi 878, comte de Nîmes 890 | |
Biographie | |
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Il est fils d'Eudes, comte de Rouergue, de Quercy, comte de Toulouse et de Gersende d'Albi[3].
Une charte datée d’ mentionne une audience tenue à Albi par le comte Raymond dans l'Histoire générale de Languedoc.
En 890, le roi Eudes est à Compiègne en compagnie du comte Raymond déjà possessionné à Nîmes[4].
Les raimondins semblent être fidèles au nouveau Robertien puis à Charles Le simple en 898[4].
La branche toulousaine est largement représentée en Quercy et vers le Narbonnais en bas Languedoc, son frère Ermengaud en Rouergue et vers Rodez, le Carcassès et les terres de Carcassonne- Razès restant indépendantes sous la gouvernance des fils d'Oliba[4].
Il est fait mention dans la vie de Géraud d'Aurillac du comte Raymond, fils d'Odon ou Eudes, qui mit en prison vers l'an 900 Benoit vicomte de Toulouse, neveu de Géraud, et qui étendait sa domination jusqu'à l'Aveyron, à la limite du Rouergue et de l' Albigeois, conflit qui se termina en 909[1].
Lui ou son fils Raymond Pons en 923, s'allie avec Guillaume II d'Aquitaine dans la lutte contre les normands puis contre les hongrois[1].
Il meurt en 923 ou en 924 et son fils Raymond Pons III de Toulouse lui succède.
Son épouse pourrait être Guinidilde, probablement fille de Guifred le Velu, comte de Barcelone[1],[3],[5] ; ceci repose sur la présence d'une comtesse de ce nom à Narbonne en 926, il existe des liens à différents degrés entre les comtes de Barcelone et les comtes de Toulouse à cette époque.
Son fils est Raymond III Pons (900-944), comte de Toulouse.
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