Pornogrind

Données clés
Origines stylistiques	Grindcore, death metal
Instruments typiques	Guitare électrique, basse, batterie
Popularité	Underground
Voir aussi	Deathgrind, goregrind

Le pornogrind (porno grind, porno-grind ou porn grind) est un sous-genre musical du grindcore et du death metal^[1]^,^[2] dont les paroles se centrent sur la sexualité^[3]^,^[4].

Faits en bref Origines stylistiques, Instruments typiques ...

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Le genre, en plus du deathgrind, est associé au sous-genre goregrind, et décrit par le magazine Zero Tolerance comme « le plus pervers de tous, accompagné d'une gorgée de groove et de chants pipi-caca dégueulasses^[5]. » Natalie Purcell, cependant, dans son ouvrage intitulé Death Metal Music: The Passion and Politics of a Subculture, explique que le pornogrind se définit uniquement de par son contenu lyrique et son imagerie unique centrés sur la pornographie^[2]. Purcell note que des groupes tels que Gut composent « les chansons les plus simplistes, lentes, et plus axées rock. » Les couvertures d'albums des groupes pornogrind sont notées comme étant extrêmes et potentiellement choquantes, « un bon moyen pour ne pas les mettre en rayon^[3]. »

D'autres groupes notables du genre impliquent Meat Shits, Cock and Ball Torture, Dead, Lividity, et Waco Jesus^[2]^,^[5]^,^[6]^,^[7].

[1]
(en) Brown, Jonathon, « Everything you ever wanted to know about pop (but were too old to ask) », The Independent, Londres, 6 septembre 2007 (consulté le 16 juin 2009).
[2]
(en) Natalie J. Purcell, Death Metal Music : The Passion and Politics of a Subculture, McFarland, 2003, 242 p. (ISBN 0-7864-1585-1, lire en ligne), p. 24.
[3]
(en) Hess, Amanda, « Brick and Mordor: A record store heavy on the metal spins its last gloom and doom », Washington City Paper (consulté le 16 juin 2009).
[4]
(en) Anderson, Vicki, « Running the musical gauntlet », The Press (consulté le 16 juin 2009).
[5]
(en) Grind Prix (2005). Zero Tolerance #004, p. 46.
[6]
(en) Mincemoyer, John. Gore International (2002). Terrorizer #98, pages 19-20.
[7]
(en) Sharpe-Young, Garry, « Deaden biography », MusicMight (consulté le 17 juillet 2009).

[independent-1] [1]
(en) Brown, Jonathon, « Everything you ever wanted to know about pop (but were too old to ask) », The Independent, Londres, 6 septembre 2007 (consulté le 16 juin 2009).

[passion_book-2] [2]
(en) Natalie J. Purcell, Death Metal Music : The Passion and Politics of a Subculture, McFarland, 2003, 242 p. (ISBN 0-7864-1585-1, lire en ligne), p. 24.

[washingtoncity-3] [3]
(en) Hess, Amanda, « Brick and Mordor: A record store heavy on the metal spins its last gloom and doom », Washington City Paper (consulté le 16 juin 2009).

[4] [4]
(en) Anderson, Vicki, « Running the musical gauntlet », The Press (consulté le 16 juin 2009).

[zerotolerance-5] [5]
(en) Grind Prix (2005). Zero Tolerance #004, p. 46.

[terrorizergore-6] [6]
(en) Mincemoyer, John. Gore International (2002). Terrorizer #98, pages 19-20.

[deaden-7] [7]
(en) Sharpe-Young, Garry, « Deaden biography », MusicMight (consulté le 17 juillet 2009).

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Caractéristiques

Notes et références