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essayiste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Pierre Virion, né le à Paris et mort le à Courbevoie[1], est un journaliste et essayiste français.
Président Association universelle des amis de Jeanne d'Arc (d) | |
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René Olivier (d) | |
Maître Militia Sanctae Mariae | |
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Gérard Lafond (d) Jehan de Penfentenyo (d) |
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Association universelle des amis de Jeanne d'Arc (d) Militia Sanctae Mariae |
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Licencié en droit et diplômé d'études supérieures en histoire, il enseigne quelques années pour ensuite travailler dans la banque et les transports. Spécialisé dans l'occultisme, il collabore à la Revue internationale des sociétés secrètes de Mgr Jouin sous les pseudonymes de J. Boicherot et Lefrançois. De sensibilité traditionaliste, il fait également des conférences dans les milieux nationalistes, en particulier à l'Action française.
Après la Deuxième Guerre mondiale, il participe à la fondation de l'Association Universelle des Amis de Jeanne d'Arc avec le général Weygand[2]. Auteur de nombreux ouvrages, il dénonce notamment l'avènement d'un « Nouvel ordre mondial[3] ». Virion avait également collaboré à plusieurs périodiques dont Le Corporatisme, Aspects de la France, La Pensée Catholique, Écrits de Paris et Les Amis de Jeanne d'Arc.
Il est par ailleurs le maître de l'ordre des chevaliers de Notre-Dame de 1948 à 1965.
Dans son livre, L'Europe après sa dernière chance, son destin, il explore différentes théories concernant le refus par la France d'une paix séparée avec l'Autriche en 1917[4].
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