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club de basket-ball français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Le Metropolitans 92 (anciennement Paris-Levallois puis Levallois Metropolitans) est un club français de basket-ball basé à Levallois-Perret dans la proche banlieue de Paris. Il est issu de la fusion entre le Paris Basket Racing et le Levallois Sporting Club Basket en 2007. Le club évolue actuellement en première division du troisième division (NM1) du championnat de France. Depuis la saison 2019-2020, le club évolue sous le nom de Metropolitans 92 à la suite du rachat du club par la ville de Boulogne-Billancourt. À l'issue de la saison 2023-2024, l'équipe professionnelle qui évolue en première division cesse son activité et la principale équipe engagée joue en troisième division.
Nom complet | Metropolitans 92 |
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Noms précédents |
2007-2017 : Paris-Levallois 2017-2019 : Levallois Metropolitans |
Fondation | 2007 |
Disparition | 2024 (Sommeil) |
Couleurs | Bleu |
Salle |
Palais des sports Marcel-Cerdan (2 800 places) |
Siège |
141 rue Danton 92300 Levallois-Perret |
Site web | metropolitans92.com |
National[1] |
Championnat de France (4) Match des champions (1) Coupe de France (1) Championnat de 2e division (6) Championnat de France Espoirs (1) |
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Maillots
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Metropolitans 92 est la dénomination commerciale du Paris-Levallois qui est né de la fusion en 2007 du Levallois SCB et du Paris Basket Racing. Le club est présidé depuis 2013 par Jean-Pierre Aubry.
La composition du capital a évolué en faveur du 'Pool Levallois' (Association Paris Levallois et SCRIM Ile-de-France) qui devient majoritaire (52 %) au sein de la SASP Paris Levallois, devant la holding Panames (32%) et la Paris Basket Holding (16 %).
Le logo du club rappelle l'abeille et les couleurs de la Ville de Levallois-Perret.
Le Paris Levallois Association, hébergé au Palais des sports Marcel-Cerdan de Levallois depuis sa création demeure, avec ses près de 900 licenciés, le deuxième plus important club de basket français.[réf. souhaitée]
Le Paris Basket Racing est issu de la création en 1922 de la section basket du Racing Club de France (RCF), créé en 1882 et doyen des clubs omnisports de France.
Après de nombreuses années au niveau régional, le RCF monte en puissance avec l’arrivée de grandes pointures du basket français, comme Jacques Freimuller, Robert Busnel ou encore Robert Monclar.
Les années 1950 sont l’apogée du club : le RCF est champion de France 3 fois en 4 ans, en 1951, 1953 et 1954. Malheureusement, cette période ne durera pas, et le club descend rapidement dans les catégories, jusqu’à se retrouver en Nationale 2 en 1963. Ont suivi de nombreuses années d’oscillations entre la Nationale 1 et la Nationale 2, avec plusieurs titres de Champion de France de Nationale 2.
Il aura fallu attendre 1989 pour que les investisseurs s’intéressent au basket parisien. Cet été là, Adia, le leader mondial du travail temporaire, rachète le club qui devient le Racing Paris Basket. Ce premier essai fut un échec, ce qui n’a pas empêché Charles Biétry, alors président du Paris Saint Germain, de tenter lui aussi sa chance et de rebaptiser le club PSG Basket Racing en 1992. Ce fut une bonne opération pour le club, qui redevient Champion de France en 1997.
Mais cette période ne dura pas longtemps non plus, et ce fut au tour de Louis Nicollin de reprendre le club en 2002, qui devint Paris Basket Racing. Il n’y trouvera pas non plus son compte et vendra ses parts à un groupe américain dirigé par Marc Fleisher, un des plus importants agents de joueurs. De gros problèmes financiers entraînent un nouveau changement en 2006, le PBR étant repris par un groupe formé principalement d’Essar Gabriel, Solly Azar et Antoine Rigaudeau. Un an plus tard, ces dirigeants pensent à une nouvelle fusion qui permettrait d’augmenter les moyens financiers…
En 1941 naît le club omnisports Asnières Sports. Mais ce n’est qu’en 1956 qu’une section basket est ouverte.
Après des années modestes au niveau départemental puis régional, Asnières Sports accède en 1969 en Nationale 2. Une saison de Nationale 1 plus tard, en 1971-1972, le club reste un pilier de Nationale 2. Il y restera une dizaine d’années.
En 1980, Asnières Sports fusionne avec Bois-Colombes pour devenir le Bois-Colombes Asnières Basket Club. 5 ans plus tard, nouvelle fusion, cette fois-ci avec Levallois. Le club prend alors le nom de Levallois Asnières Bois-Colombes. Suivent ensuite de très belles saisons avec notamment le phénomène américain Terence Stansbury.
Le club devient le Levallois Sporting Club Basket en 1990 puis monte en première division en 1992, dans son Palais des sports Marcel-Cerdan flambant neuf. Les belles années continuent jusqu’en 1996, où le club termine 6e de Pro A, avec une finale de Coupe de France perdue de 3 petits points face à Villeurbanne.
En 1997, le Levallois Sporting Club Basket descend en Pro B après réduction de son budget mais remporte ce championnat dès l’année suivante en 1998. Malheureusement, le club perd alors tous ses joueurs et jouera la saison suivante en Nationale 2.
En 2000, Francis Flamme devient le nouveau président. Le club remonte doucement la pente jusqu’à l’accession en Pro B en 2005. Deux ans plus tard, le club allait de nouveau fusionner avec un nouveau club pour devenir le Paris Levallois.
La volonté de créer un grand club de basket en région parisienne était pressentie depuis plusieurs années, et ne pouvait passer que par la fusion du Levallois SCB et du PBR. Le un communiqué de presse annonce que la fusion va s’opérer entre les deux clubs de la région parisienne. Le samedi 9 juin les deux clubs annoncent que cette fusion est effective en accord avec les maires de Levallois, Patrick Balkany, et de Paris, Bertrand Delanoë, relayée par la Ligue nationale[2], le club récupérant les droits sportifs du Paris Basket Racing afin d’évoluer en Pro A dès sa première année d’existence.
La première saison du Paris-Levallois se solde par une 14e place. Au terme d'une saison 2008 où il n'obtiendra que la quinzième place du championnat synonyme de relégation en Pro B et de multiples déboires à la suite de l'affaire Koné[3], le vice-président des sports, Antoine Rigaudeau démissionne de ses fonctions le [4]. En , Francis Flamme reprend la présidence du club à la place de Essar Gabriel[5]. Certains ont alors critiqué les conditions de la fusion qui a amené le club à jouer dans deux enceintes différentes pour ses matchs à domicile, entraînant de nombreux aller-retour et rendant plus difficile la fidélisation du public[6].
Durant la saison 2008-2009, l'équipe effectue une saison sérieuse qui la verra terminer première de la saison régulière synonyme de remontée en Pro A après une seule saison de purgatoire. Elle sera éliminée en demi-finale des play offs par le CSP Limoges par deux matchs à zéro. Jimmal Ball est MVP français.
S'appuyant sur des piliers de l'équipe de la remontée (Jimmal Ball, Joachim Ekanga, Rodney Elliot, Wilfried Aka et Michel Jean-Baptiste Adolphe), les dirigeants recrutent plusieurs joueurs afin de former un groupe solide. Le début de saison est satisfaisant avec un bilan équilibré (6 victoires 6 défaites) après 12 matchs et est symbolisé par la présence de trois de ses joueurs au All Star Game de Bercy : LaQuan Prowell (concours de dunk), Andrew Albicy (concours de meneur) et AD Vassalo (remplaçant pour l'équipe étrangère). Ce dernier finira meilleur marqueur du match avec 22 points.
Après avoir raté de peu la Semaine des As après une défaite en prolongations à Orléans, le PL repart de plus belle en battant notamment Le Mans, l'ASVEL et Orléans et ainsi se qualifier pour les playoffs, seulement un an après sa remontée. Face au Mans, la marche est trop grande pour les Franciliens. Battus deux fois, 76-62 puis 80-70, ils quittent plus qu'honorablement la scène nationale.
L'été 2010 voit AD Vassallo, Prosper Karangwa, Rodney Elliot, Michel Jean-Baptiste Adolphe et LaQuan Prowell quitter la capitale pour d'autres horizons. Ils sont respectivement remplacés par David Noel, Bracey Wright, Guillaume Yango, Marcellus Sommerville et Nigel Wyatte. Dès le 1er match de la saison, le PL bat l'ASVEL à Coubertin lors d'un match maitrisé. Les hommes de Dupraz se font éliminer de l'Eurochallenge dès le 1er tour par le Maccabi Haifa mais se reprennent 3 jours plus tard en allant battre Poitiers. Étrillés pour la première fois de la saison à Coubertin face au Havre, le PL rebondit instantanément en s'imposant à Roanne, chez qui le PL est la seule équipe à s'y être imposé depuis 2 saisons.
Et alors qu'ils occupent la première place du classement à égalité avec un bilan de 4-1 à la suite d'une victoire face au Mans à Levallois, le PL va connaitre une incroyable dégringolade qui le verra enchaîner 8 défaites consécutives dont 5 avec un écart minimum de 20 points. Jean-Marc Dupraz quitte le club après un accord trouvé avec la direction. Bracey Wright et Nigel Wyatte quittent eux aussi le navire. Adjoint de nombreux entraîneurs parisiens, Christophe Denis prend le relais de Dupraz au milieu de la saison.
Alternant le bon à domicile et le mauvais à l'extérieur lors de la phase retour, le PL assure son maintien lors de la 30e et ultime journée avec une précieuse victoire acquise au buzzer sur le parquet de l'ASVEL.
L'inter saison 2011 voit l'arrivée de Jawad Williams, ex-coéquipier de LeBron James à Cleveland, Trenton Meacham, Philippe da Silva et Vincent Masingue. Le trio US Chatfield-Williams-Hamilton fait des merveilles et le PL participe à la Semaine des As pour la première fois depuis 2005 et celle du PBR. La deuxième partie de saison sera beaucoup plus laborieuse et l'équipe dégringole du classement pour, finalement, lutter lors de la dernière journée pour accrocher la 6e place et affronter Orléans sans l'avantage du parquet. Ce sera chose faite grâce à une victoire au Havre et les défaites conjuguées de Cholet et Roanne. Cela reste néanmoins la saison du renouveau pour l'équipe francilienne avec un bilan de 17-13, qui finira 3e meilleur attaque de la saison régulière et se distinguera aux cérémonies de fin de parcours avec le titre de meilleur marqueur pour Eric Chatfield (19,9 points/match), la 3e place au classement du MVP étranger pour Lamont Hamilton et donc une participation aux play off, après avoir sauvé sa tête lors de la dernière seconde du dernier match de la saison précédente. Sans l'avantage du parquet, le PL commence la série à l'extérieur et perd de peu (70-68) avec notamment une tentative de buzzer beater d'Eric Chatfield à 3 points. Le match retour à Paris est aussi serré mais Orléans y tire son épingle du jeu et l'emporte également (79-73). Le PL est donc éliminé.
Lors de la saison 2012-2013, le Paris-Levallois engage le pivot américain Sean May (ancien joueur de NBA). Andrew Albicy revient au club après un an passé à Gravelines-Dunkerque. Le PL enregistre aussi les arrivées de John Cox, Maleye N'Doye, Antoine Diot et Jonathan Aka. Le début du championnat est bien lancé avec un bilan de 10 victoires et 5 défaites en phase aller. La phase retour sera très complexe et Paris Levallois ne remporte que 3 matchs[7]. Les franciliens terminent à la 12e place de Pro A[8] malgré un Sean May qui se classe meilleur marqueur du championnat (avec 18,4 points/match). En EuroChallenge, le PL réalise une belle performance en finissant à la 1re place du groupe E des qualifications pour le top 16. Lors du Top 16, ils retrouvent un autre club Français : Gravelines-Dunkerque. Les joueurs du Paris Levallois se qualifient pour les quarts de finale en se classant 2e du groupe J. Face à Pınar Karşıyaka, Paris-Levallois s'impose lors du premier match mais Pınar Karşıyaka remporte le deuxième et gagne 2-1 sur l'ensemble des trois matchs. Le , Paris Levallois remporte, à Bercy, la coupe de France face à Nanterre sur le score de 77 à 74 et sauve ainsi sa saison. C'est le premier titre depuis la fusion entre Paris et Levallois[9].
Le , Jacques Monclar est nommé manager sportif du PL[10]. Le , c'est Gregor Beugnot qui est nommé au poste d’entraîneur[11]. Paris levallois remporte le match des champions face au champion de France en titre Nanterre. En 2014 léquipe est classée 5e de Pro A mais est éliminé par le SLUC Nancy dès les quarts de finale de play-off.
La saison régulière de Pro A 2015 est manquée pour le PL qui termine à la 11e place. Cette saison est illustrée par un beau parcours en Eurocoupe. Après avoir passé les deux premiers tours, le club accède aux quarts de finale après une victoire face au Turów Zgorzelec. Face à Bandirma, Paris Levallois gagne le match aller à Paris (65-67) mais est éliminé lors du match retour en Turquie après une courte défaite (71-75).
En , les Espoirs du Paris Levallois, qui avaient atteint la finale à 3 reprises lors des 6 dernières années, remportent enfin le Trophée du Futur, tournoi de fin de saison réunissant les 8 meilleures équipes Espoirs de la saison, récompensant ainsi le travail du Centre de Formation du Paris Levallois.
En , le Conseil de Paris vote l'arrêt de sa subvention au Paris-Levallois dès la saison 2016-2017[12], qui entame la saison 2016/17 avec le 14e budget de la Pro A. La ville de Levallois renouvelle quant à elle son soutien au club qui conserve son nom et disputera toutes ses rencontres à domicile au Palais des sports Marcel-Cerdan de Levallois, qui héberge déjà les locaux et le centre de formation. Le club de Paris-Levallois change alors de nom pour s'appeler les Levallois Metropolitans[13].
Le , le conseil municipal de Boulogne-Billancourt acte le rapprochement avec le club de Levallois. Concrètement, en juin, la société coopérative d'intérêt collectif (SCIC) Boulogne-Billancourt 2024, dont la ville de Boulogne-Billancourt est actionnaire, rachète 84 % de la société Paris-Levallois, devenant propriétaire du club.
Les droits sportifs de Levallois sont également transférés à l'ACBB, club omnisports de Boulogne[14]. Ainsi, dès la saison 2019-2020, le club des Hauts-de-Seine change donc de nom pour les Metropolitans 92. Il continue toutefois à évoluer au Palais des sports Marcel-Cerdan de Levallois, en attendant la construction du futur Palais des Sports de Boulogne, à l'horizon 2023[15]. Boris Diaw devient par ailleurs président du « nouveau club » Metropolitans 92[16].
En poste depuis la saison 2015-2016, Frédéric Fauthoux reste l'entraîneur du club et l'équipe répond aux ambitions sportives données, c'est-à-dire, concurrencer les plus gros clubs nationaux comme l'ASVEL, l'AS Monaco ou encore la SIG Strasbourg.
Avec des joueurs talentueux comme Vitalis Chikoko, David Michineau et Jamel Artis, le club se positionne très rapidement en haut du classement en saison régulière.
En avril 2020, Boris Diaw démissionne de la présidence[17]. Et en mai 2020, Frédéric Fauthoux quitte son poste d'entraîneur[18].
Vincent Collet, entraîneur de Strasbourg IG pendant de nombreuses années et entraîneur de l'équipe de France est nommé entraîneur des Metropolitans en . Les Metropolitans terminent à la troisième place de la saison régulière en 2021-2022 mais sont éliminés dès les quarts-de-finale du championnat. En EuroCoupe, le club est aussi éliminé en quart-de-finale. Malgré son bon résultat au niveau national, l'EuroCoupe choisit de ne pas attribuer de place aux Metropolitans, lui préférant le Paris Basketball, club ayant fini à la 15e place du championnat[19].
Au printemps, la mairie de Boulogne-Billancourt et celle de Nanterre envisagent de nouer un partenariat entre les Metropolitans et Nanterre 92, autre club du département. Mais début juin, cette opération est annulée[20].
Lors de la saison 2022-2023, l'espoir français Victor Wembanyama et le meneur américano-portoricain Tremont Waters arrivent au club. Les deux joueurs réussissent une très bonne saison individuelle et collective (les Metropolitans restent longtemps dans le trio de tête du classement). En , Waters se bat avec son coéquipier Steeve Ho You Fat. Une procédure disciplinaire est engagée par le club à l'encontre des deux joueurs et Waters décide de quitter le club peu après et retourne aux Gigantes de Carolina (en), à Porto Rico[21],[22]. Le club atteint la finale du championnat de France, battu en trois manches par l'AS Monaco.
Le 9 septembre 2022, la National Basketball Association (NBA) a annoncé deux matchs d'exhibition entre la NBA G League Ignite, une équipe de développement de la NBA G League, et Metropolitans 92.
Victor Wembanyama quitte ensuite le club pour les Spurs de San Antonio après sa sélection lors de la draft 2023 de la NBA. Vincent Collet ne resigne pas de nouveau contrat avec le club[23]. Bien qu'il ait fini deuxième du championnat, le club n'est pas retenu en Eurocup qui préfère retenir le Paris Basketball seulement 9e du championnat de France. En , des doutes ressurgissent quant à la solidité financière du club. Les Metropolitans tardent à confirmer leur engagement en première division pour la saison 2023-2024. Après cette confirmation, le budget prévisionnel passe de 6,5 à 5 millions d'euros[24].
Laurent Foirest est nommé entraîneur en juillet mais est démis de ses fonctions en en raison des résultats catastrophiques des Metropolitans (1 victoire sur les 12 premiers matches de la saison)[25],[23]. Il est remplacé à titre intérimaire par Jean-Paul Besson qui est ensuite titularisé[26],[27].
Au terme d'une saison catastrophique (4 victoires pour 30 défaites), le club décide de ne pas se réengager en Pro B et disparait sans toutefois déposer le bilan[28],[29].
Le club est repris par un groupe mené par Luc Dayan et dont l'actionnariat comprend aussi Antoine Kombouaré[30].
L'ancienne équipe seconde, le Levallois Sporting Club, évolue lors de la saison 2024-2025, en troisième division.
Paris (Racing Club de France : 1922-1989 et PSG-Racing : 1992-2000)
Levallois (Levallois SC)
Paris-Levallois
4. Sean May, 6. Maleye N'Doye, 7. Louis Labeyrie, 8. John Cox, 9. Antoine Diot, 10. Giovan Oniangue, 12. Julius Hodge, 13. Jonathan Aka, 15. Jawad Williams, 16. Alexandre Jallier, 20. Andrew Albicy - Entraîneur : Christophe Denis (Assistant : Thomas Drouot)
4. Sean May, 5. Daniel Ewing, 6. Maleye N'Doye, 7. Louis Labeyrie, 8. Aloysius Anagonye, 9. Nicolas Lang, 10. Giovan Oniangue, 15. Jawad Williams, 16. Vincent Poirier, 18. Jordan Aboki, 19. Landing Sané, 20. Andrew Albicy - Entraîneur : Gregor Beugnot (Assistant : Thomas Drouot)
Metropolitans 92
Metropolitans 92 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Joueurs | Entraîneurs | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Mise à jour le
Le Paris-Levallois compte deux groupes de supporters :
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