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musicien américain De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Oliver Chesler, né le à New York, est un producteur et DJ de musique électronique américain. Il est connu pour son style musical novateur dans le domaine des musiques techno hardcore et gabber, notamment sous les noms de The Horrorist ou DJ Skinhead. Il est le fondateur du label Things to Come Records.
Surnom | The Horrorist, DJ Cybersnuff, DJ Silence, DJ Skinhead, Narcanosis |
---|---|
Naissance |
New York, États-Unis |
Activité principale | Producteur |
Genre musical | Musique électronique, electronic body music, techno hardcore, gabber, electropunk, synthpunk, new wave |
Années actives | Depuis 1996 |
Labels | Out of Line Music, Things to Come Records, Aufnahme + Wiedergabe |
Site officiel | www.thehorrorist.com |
Il a joué dans le monde entier, et notamment en Allemagne. Le critique de musique britannique Simon Reynolds a déclaré : « mon chanteur et producteur de musique contemporain préféré est Oliver Chesler, alias The Horrorist »[1].
Chesler est initialement repéré en 1989, habillé en punk, pendant la tournée américaine de Depeche Mode. Ce moment sera filmé pour un documentaire intitulé Depeche Mode: 101 (1989), réalisé par D.A. Pennebaker[2],[3]. Dès 1994, ses premiers EP sortent sous le nom de DJ Skinhead et sont orientés techno hardcore et gabber[2].
L'album Manic Panic (sous The Horrorist), publié en 2001, contient certaines compositions qui reflètent certains aspects de la vie à New York, ou certaines métropoles de l'ouest. L'album regroupe ce qui semblerait être des compositions d'Oliver Chesler (sous le nom The Horrorist), menant presque à un album autobiographique. Le , l'album est réédité par Out of Line Music avec un disque bonus contenant neuf pistes additionnelles. La réédition de l'album atteint le Deutsche Alternative Chart le [4]. Il comprend quatre singles : One Night in NYC, Flesh is the Fever, The Virus et Mission Ecstasy.
One Night in NYC (1996) décrit les expériences vécues par une innocente fille des banlieues lors d'une nuit à New York. Il s'agit d'un morceau downbeat oppressant, et ce qui est décrit dans les paroles, peut arriver à tout moment. Le single est classé premier des Deutsche Dance Charts la première semaine de [5]. Le magazine britannique MixMag décrit One Night in NYC en ces termes : « Les grosses productions demandent votre attention... détestez ou aimez, mais il n'y a qu'en écoutant qu'on le sait. » Plusieurs singles remixes du morceau sont publiés comme chez Warner Music, Sony Music Entertainment, Superstar Recordings, CLR Recordings, A1 Records, et Captivating Sounds. Certains remixeurs sont Chris Liebing, Pascal FEOS, Ricardo Villalobos et Orlando Voorn. Warner Music fera appel aux services de la société Oktonet pour produire le clip[6], qui est réalisé par Nils Tim et tourné à New York au club Limelight, et avec des performances filmées à Francfort , en Allemagne, au nightclub U60311. Pour plusieurs semaines, le clip est diffusé sur MTV et VIVA en Allemagne et aux Pays-Bas. Le The New Zealand Herald explique la manière dont la Broadcasting Standards Authority a banni le clip qui devait être diffusé sur TVNZ (Television New Zealand). Dans l'histoire, un homme nommé Rod Valenta dira que « c'est complètement inacceptable de voir ça à la télévision, en particulier pendant les weekends où les enfants peuvent voir ces horreurs[7]. »
Le , Chesler revient sous le nom de The Horrorist avec un single intitulé Here Comes the Whip[2]. En début septembre 2017, il est annoncé en Allemagne le , aux Pays-Bas le , et en Belgique le pour le Darkmind Fest[8].
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