Montmiral

commune française du département de la Drôme De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Montmiral est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Faits en bref Administration, Pays ...
Montmiral
Montmiral
Le village.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jérôme Pouilly
2020-2026
Code postal 26750
Code commune 26207
Démographie
Gentilé Montmiralois, Montmiraloise
Population
municipale
659 hab. (2022 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 22″ nord, 5° 09′ 02″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 548 m
Superficie 26,69 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Drôme des collines
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Montmiral
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Montmiral
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Montmiral
Liens
Site web http://www.mairie-montmiral.fr
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    Géographie

    Résumé
    Contexte

    Localisation

    Montmiral se situe à 18 kilomètres au nord-est de Romans-sur-Isère.

    Rose des vents Saint-Laurent-d'Onay,
    Saint-Michel-sur-Savasse
    Saint-Bonnet-de-Valclérieux Saint-Antoine-l'Abbaye (Isère) Rose des vents
    Saint-Michel-sur-Savasse N Montagne (Isère)
    O    Montmiral    E
    S
    Saint-Michel-sur-Savasse,
    Parnans
    Parnans Montagne (Isère),
    Parnans

    Relief et géologie

    Sites particuliers[1] :

    • Combe de Bois Burais ;
    • Combe de la Forêt ;
    • Combe du Sabot.

    Géologie

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Joyeuse ;
    • la Savasse ;
    • le Chalon ;
    • Ruisseau de Bagnol ;
    • Ruisseau du Moucherand.

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Christophe-L_sapc »sur la commune de Saint-Christophe-et-le-Laris à km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

    Voies de communication et transports

    Urbanisme

    Résumé
    Contexte

    Typologie

    Au , Montmiral est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), prairies (18,8 %), terres arables (11,3 %), cultures permanentes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Thumb
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Morphologie urbaine

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail[1] :

    • Bigalière
    • Boffard
    • Bois Burais
    • Bois communal de Saint-Bonnet-de-Valclérieux
    • Bois de Fay
    • Bois de Panaray
    • Bois des Barinières
    • Bois Lacour
    • Bois Lambert
    • Chaix
    • Chanrans
    • Châtillonet
    • Chaunet
    • Christave
    • Croze
    • Déruine
    • Fontanger
    • Forêt de Thivolet
    • Francon
    • Javanet
    • la Cloitre
    • Lacour
    • la Forêt
    • la Goutte
    • la Grainerie
    • la Jassaudière
    • la Pelletière
    • la Verrière
    • le Gourrat
    • le Penon
    • le Sabot
    • le Saladot
    • les Allamands
    • les Bayeux
    • les Brudeaux
    • les Brunes
    • les Chevalières
    • les Combes
    • les Paladus
    • Maison Vieille
    • Melin
    • Moucherand
    • Oppidum (Tour de Montmiral)
    • Palagris
    • Pont Baillardon
    • Quartier de Montagne
    • Ratelière
    • Saint-Martin
    • Tôt
    • Voreppe

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

    • Ain est un hameau attesté[13] :
    en 1200 : Ainc (cartulaire hosp. et templ., 23).
    en 1468 : Aysium (archives de la Drôme, E 2512).
    au XVe siècle : Sayls (terrier de Parnans).
    au XVIIIe siècle : Daym (Carte de Cassini).
    en 1775 : Zain-sur-Montmiral (affiches du Dauphiné).
    au XIXe siècle : les Ains (carte d'état-major).
    en 1891 : Ain, hameau.
    • Les Allamands est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Alemands au XVIIIe siècle (Carte de Cassini)[14].

    Logement

    Projets d'aménagement

    Risques naturels et technologiques

    Toponymie

    Résumé
    Contexte

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

    • 950 : mention du village : villa Soduli (cartulaire de Romans, 208).
    • 995 : mention du village : villa quae dicitur Solo (cartulaire de Romans, 255).
    • 1000 : mention de la tour : castrum Montis Mirati (cartulaire de Romans, 266).
    • 1068 : mention de la paroisse Saint-Christophe : ecclesia Sancti Christophori in loco Sole (cartulaire de Romans, 12 bis).
    • XIe siècle : mention de la paroisse Saint-Christophe : parrochia Sancti Xristofori de Sor (cartulaire de Romans, 314) / note : le X est la lettre grecque khi.
    • 1150 : Montmira (cartulaire de Romans, 325).
    • XIIe siècle : de Montemirato (cartulaire des hospitaliers, 19).
    • XIIe siècle : apud Montem Miratum (cartulaire des hospitaliers, 23).
    • 1215 : Monsmira (cartulaire des hospitaliers, 41).
    • 1217 : Montmiraut (cartulaire des hospitaliers, 41).
    • 1467 : Mons Mirandi (archives de la Drôme, E 462).
    • 1521 : mention de la paroisse Saint-Christophe : capella Sancti Christophori Montismirati (rôle de décimes).
    • 1593 : mention du village : le bourg de Saint-Christophe (archives de la Drôme, E 69).
    • 1593 : mention de la paroisse Saint-Christophe : ecclesia Sancti Christophori (archives de la Drôme, E 69).
    • 1788 : mention du village : Saint-Christophe de Montmiral (alman. du Dauphiné).
    • 1891 : Montmiral, commune du canton de Romans.

    Étymologie

    La première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation »[16].
    La deuxième partie vient du latin miratus, participe passé du verbe mirari « être surpris, être en admiration »[17].
    Le toponyme peut donc être interprété de deux façons : « Mont admirable » ou « Mont d'où l'on admire » (mont d'où l'on voit loin : le village se situe à 400 mètres d'altitude et a une vue remarquable sur le Vercors et sur la Drôme des collines)[réf. nécessaire].

    Histoire

    Résumé
    Contexte

    Antiquité : les Gallo-romains

    La commune possède des vestiges gallo-romains (MH)[18].

    Dans le quartier Saladot, de nombreux vestiges d'époque romaine ont été découverts. Une hypothèse a été avancée pour identifier le site avec la ville disparue de Solonium[19].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    En 950[15] ou en 974, Montmiral apparaît pour la première fois dans les textes. Un cartulaire de Saint-Barnard de Romans mentionne la villa Soduli[20].

    Au XIe siècle, le château apparaît dans les textes. Il appartient aux Bressieux[20].

    Au Moyen Âge, le village a connu trois églises[19] :

    • L'église Saint-Martin près du château, au sud de la motte castrale. Près de ses ruines, ont été retrouvées des tombes des environs de l'an 1000.
    • L'église Saint-Michel de Montmiral, probablement construite à l'époque du château en pierre.
    • L'église Saint-Christophe autour de laquelle s'est formé le village actuel. Une charte du XIe siècle l'appelle « église mère au temps de Charlemagne ». Durant ce même siècle, elle est remise à l'abbaye Saint-Barnard de Romans qui y établit une communauté de chanoines réguliers.

    La terre de Montmiral est disputée par les dauphins et les religieux de Romans[18].

    La seigneurie[15] :

    • Au point de vue féodal, Montmiral était une terre du patrimoine des Clermont.
    • 1465 : la terre est confisquée et donnée aux Dusie.
    • 1467 : elle est rendue aux Clermont.
    • 1581 : vendue aux Fléhard.
    • Milieu du XVIIe siècle : cédée aux Mistral.
    • 1710 : les Mistral obtiennent l'érection de Montmiral en marquisat.
    • Peu de temps après : le marquisat passe (par mariage) aux Emé de Marcieu, derniers seigneurs.

    En novembre 1533, François Ier s'arrête à Montmiral. Il aurait chassé dans les bois de la forêt de Thivolet qui couvraient alors les collines. Il a gravé sa signature dans une des bâtisses du village[20]. La cheminée de la ferme Chapotière porte une inscription ainsi que le visage du roi (sculpté en 1539)[réf. nécessaire].

    Avant 1790, Montmiral était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
    Elle formait trois paroisses du diocèse de Vienne : Montmiral, Saint-Martin et Saint-Michel. La paroisse de Montmiral avait saint Christophe pour patron et le chapitre de Romans pour collateur et décimateur (voir Saint-Martin et Saint-Michel)[15].

    Saint-Martin

    Avant 1790, Saint-Martin était une paroisse du diocèse de Vienne et de la communauté de Montmiral, dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[21] :

    • 1050 : parrochia Sancti Martini (cartulaire de Romans, 315).
    • XIVe siècle : capella Sancti Martini Montis Mirati (pouillé de Vienne).
    • 1788 : Saint Martin de Montmiral (alman. du Dauphiné).
    • 1891 : Saint-Martin, village, paroisse et section de la commune de Montmiral.

    Saint-Michel

    Avant 1790, Saint-Michel était une paroisse du diocèse de Vienne et de la communauté de Montmiral, dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure.
    Le 16 avril 1884, cette paroisse est distraite de la commune de Montmiral pour former une commune distincte du canton de Romans[22] :

    • Vers 1150 : ecclesia Sancti Michaelis de Abiais (cartulaire de Romans, 313).
    • 1227 : basilica Sancti Michaelis et capella et cimiterium Sancti Michaelis (cartulaire de Romans, 359 et 360).
    • 1521 : ecclesia Sancti Michaelis Montis Miratis (pouillé de Vienne).
    • 1891 : Saint-Michel, commune du canton de Romans.

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, Montmiral devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Crépol, Montmiral, Miribel et Parnans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans, de laquelle est distraite la commune de Saint-Michel en 1884[15].

    En 1797, la commune compte 1 600 habitants[20].

    Politique et administration

    Tendance politique et résultats

    Administration municipale

    Liste des maires

    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1789 1801 mr Gerin et mr Lody    
    1801 1831 Antoine Massonet    
    1831 1843 Francois Descombes    
    1843 1855 Joseph Lardant    
    1855 1870 Jean Etienne Galland    
    1870 1874 Joseph Morel    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871   Joseph Morel   maire sortant
    1874 1878 Antoine Marion    
    1878 1884 Hector Maurice Ferdinand    
    1884 1888 Jean Antoine Ageron    
    1888 1892 Romain Gerva    
    1892 1893 Jean Antoine Ageron    
    1893
    (élection ?)
    1896 Louis Philippe Morel    
    1896 1900 Louis Philippe Morel   maire sortant
    1900 1904 Louis Philippe Morel   maire sortant
    1904 1908 Louis Philippe Morel   maire sortant
    1908 1910 Louis Philippe Morel   maire sortant
    1910
    (élection ?)
    1912 Camille Paulin Charvin    
    1912 1919 Camille Paulin Charvin   maire sortant
    1919 1925 Camille Paulin Charvin   maire sortant
    1925 1929 Auguste Boissieux    
    1929 1935 Auguste Carra    
    1935 1945 Auguste Carra   maire sortant
    1945 1947 Auguste Carra   maire sortant
    1947 1953 Jean Ageron    
    1953 1959 Jean Ageron   maire sortant
    1959 1965 Jean Delon    
    1965 1971 André Blachon    
    1971 1977 André Blachon   maire sortant
    1977 1983 Hubert Dumoncheau    
    1983 1989 Gabriel Bordier    
    1989 1995 Robert Gilibert    
    1995 2001 Robert Gilibert   maire sortant
    2001 2008 Robert Gilibert   maire sortant
    2008 2014 Daniel Bignon    
    2014 2018 (oct.)[23] Daniel Bignon   maire sortant
    2018 2020 Jérôme Pouilly[24]    
    2020 En cours
    (au 1 janvier 2020)
    Jérôme Pouilly[25][source insuffisante] DVD[26] Ingénieur, maire sortant
    Fermer

    Rattachements administratifs et électoraux

    Politique environnementale

    Finances locales

    Jumelages

    Population et société

    Résumé
    Contexte

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2022, la commune comptait 659 habitants[Note 2], en évolution de −0,15 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Davantage d’informations - ...
    2021 2022 - - - - - - -
    672659-------
    Fermer
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6001 5651 7281 8261 9581 9772 1482 0962 049
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8461 8531 8451 8271 8371 6441 011993964
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    908919856754667652624600615
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    617506458437418441589621660
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services et équipements

    Enseignement

    Le village participe à un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec la commune de Saint-Michel-sur-Savasse pour l'école primaire et maternelle[31]. Ce regroupement comprend l'école de Montmiral allant de la maternelle jusqu'au CP et celle de la commune de Saint-Michel-sur-Savasse qui accueille les CP jusqu'au CM2[32].

    La carte IGN indique une école, un collège et un lycée au hameau la Cloitre[1].

    Santé

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : le dernier dimanche de juillet[18].

    Loisirs

    Associations[réf. nécessaire] :

    • Association de l'Amicale Laïque Les collines (pour les écoles primaires de Montmiral et Saint Michel) ;
    • Association Rando-VTT. Elle organise chaque année au mois de mai des circuits dans les collines du village ;
    • club de chasse ;
    • club des personnes âgées (Club de La Tour).

    Sports

    Médias

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pâturages, céréales, élevage, volailles[18].

    • Produits locaux : tomme de chèvre[18].
    • Foire : les 6 mars et 6 décembre[18].

    L'agriculture locale produit aussi des noix labellisées Noix de Grenoble[réf. nécessaire].

    Tourisme

    Revenus de la population et fiscalité

    Emploi

    Culture locale et monuments

    Résumé
    Contexte

    Lieux et monuments

    • Tour médiévale sur tertre[18].
    La tour féodale du XIIe siècle est un donjon à section carrée situé sur une motte au lieu-dit la Tour. Elle appartenait au château en pierre qui avait remplacé la motte castrale en terre[33].
    Elle fait seize mètres de haut et huit mètres de côté. En 1927, la tour a été classée monument historique. D'après une légende locale, il y aurait un souterrain qui relierait les tours de Montmiral, de Miribel, de Ratières et d'Albon[34].
    Elle comporte un vieux clocher et deux absides de style roman. Les peintures et l'architecture intérieure sont de style art nouveau. L'église est ornée de vitraux 1900, œuvres du peintre verrier Louis Balmet[19].

    Patrimoine culturel

    Patrimoine naturel

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Thumb

    Montmiral possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie

    • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

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