Loading AI tools
pianiste, compositeur et critique musical belge De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Max Vandermaesbrugge est un musicien belge, pianiste, compositeur, pédagogue et critique musical, né à Couillet le et décédé à Knokke-Heist le .
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 86 ans) Knokke-Heist |
Nationalité |
Belge |
Formation | Conservatoire royal de Bruxelles Institut pour journalistes de Belgique |
Activité |
Professeur de Conservatoire royal de Bruxelles Inspecteur de l'enseignement musical (Communauté française) Directeur d'académie de musique Pianiste et compositeur Critique musical |
A travaillé pour | Conservatoire royal de Bruxelles Ministère de la Communauté française de Belgique (inspection) Académie de Musique d'Etterbeek Périodique belge La Dernière Heure |
---|---|
Instrument |
Piano |
Maître | Jean Absil Fernand Quinet |
Genre artistique |
Musique classique |
Distinction |
Chevalier de l'ordre de la Couronne |
Étude – Son et Rythme (piano) Solfège systématique |
Après avoir achevé ses Humanités gréco-latines, Max Vandermaesbrugge bénéficie en privé de l'enseignement de Raymond Moulaert.
Il entre au Conservatoire Royal de Bruxelles où il fait de brillantes études couronnées par de nombreuses récompenses. Il y est l'élève de Charles Scharrès (piano), André Souris (harmonie), Jacques Stehman (harmonie pratique), Jean Louël (contrepoint) et Jean Absil (fugue). Ensuite, il se perfectionne en piano avec Jenny Solheid et en composition avec Fernand Quinet.
Au cours des années 1950-1960, Max Vandermaesbrugge fréquente les cours d'été de l'Internationale Ferienkurse für Neue Musik à Darmstadt (RFA) où il reçoit les conseils d'Olivier Messiaen, et de l'Accademia musicale Chigiana Siena où il travaille la composition auprès de Virgilio Mortati.
Au plan pédagogique, Max Vandermasbrugge est également récipiendaire des trois degrés de Capacité du Jury spécial de l'Etat pour l'enseignement de l'éducation musicale.
Enfin, il est diplômé de l'Institut pour Journalistes de Belgique.
Max Vandermaesbrugge entame sa carrière pédagogique en 1955, enseignant le solfège et le piano dans diverses académies de musique de la région bruxelloise (Anderlecht, Saint-Josse-ten-Noode, Forest, Etterbeek). En 1963, il succède à son maître Jean Absil comme directeur de l'Académie d'Etterbeek, fonction qu'il conserve jusqu'en 1971.
En 1971, il devient professeur de solfège, puis d'harmonie au Conservatoire Royal de Bruxelles.
En 1973, il devient inspecteur de l'enseignement artistique (instrument, chant, danse, art dramatique et art lyrique, diction et déclamation), charge qu'il exercera durant 27 ans et dans laquelle il succède à René Defossez.
Outre la composition de nombreuses épreuves pour examens d'aptitude, il compose des ouvrages à caractère didactique. Ainsi, son Solfège Systématique (1960), utilisé dans les académies et Conservatoires royaux de Belgique.
Outre les jurys Conservatoires Royaux et d'Examens d'Aptitudes des Académies où sa qualité d'inspecteur l'invite à siéger, Max Vandermasbrugge est régulièrement invité comme membre du jury dans d'autres manifestations. Ainsi le Concours du Crédit Communal (réservé aux élèves ayant terminé leurs études en académie de musique); le Concours Bösendorfer et le Concours International Léopold Bellan (Paris); le Torneo internazionale di musica (Rome).
Très actif — tant comme inspecteur que journaliste pour la promotion de la musique belge –, Max Vandermaesbrugge est président de l'Union des Compositeurs Belges (1981-1985), membre des Jeunesses Musicales de Bruxelles, vice-président de la section belge de l'Association Live Music Now de Yehudi Menuhin, membre fondateur de de l'Association de l'Enseignement Musical Subventionné (AEMS).
En 1954, Max Vandermaesbrugge est engagé par le périodique belge La dernière heure en qualité de critique musical (au début de sa carrière, il seconde le journaliste Pierre Moulaert)[1].
Parallalèlement, Max Vandermaesbrugge publie des articles pour diverses revues, en particulier en Italie pour le Symposium di Verona.
Avec son épouse, Antonyne Lecocq, artiste polyvalente (récitante, artiste dramatique, metteur en scène, poétesse, pianiste, critique musical, pédagogue), il fonde, en 1989, le Duo Antonymax, à l'origine du Tanz-Oper-Theater Antonymax[2]. Cette compagnie a été fondée en 2001. La 1ère représentation s'est déroulée à Paris.
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.