[4],[13],[14] (la): Mansionis Templi de Florentia, ecclesia sancti Jacobi inter vineas ?-1252: Santa Maria Vergine della Croce al Tempio(it)[N 5] 1252-1307: San Jacopo delle Vigne(it), 43° 46′ 35″ N, 11° 15′ 06″ E
(en) Elena Bellomo, «The Temple, the Hospital and the Towns of North and Central Italy.», dans éd. Damien Carraz, Les ordres militaires dans la ville médiévale(1100-1350), Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise-Pascal, , 314p. (ISBN978-2-8451-6558-8, présentation en ligne)
(it) Telesforo Bini, Dei tempieri e del loro processo in Toscana, Penne & Papiri, (1reéd. 1845), 58p. (présentation en ligne)
Édition originale: (it) Telesforo Bini, «Dei tempieri e del loro processo in Toscana», dans Atti dell'Accademia lucchese di scienze, lettere ed arti, vol.13, Accademia lucchese di scienze, lettere ed arti, , 509p. (lire en ligne), p.396-506
(it) Fulvio Bramato, Storia dell'Ordine dei Templari in Italia, vol.1, Atanòr, , 236p. (présentation en ligne)
(it) Bianca Capone, Loredana Imperio et Enzo Valentini, Guida all'Italia dei Templari: gli insediamenti templari in Italia, Edizioni Mediterranee, , 327p. (ISBN978-88-272-1201-1, lire en ligne), p.133-154
(it) E. Cotturi, «Templari in Valdinievole: la Mansio Templi del Colle di Buggiano», dans Giovanni Minnucci, Franca Sardi, Templari: mito e storia: atti del Convegno internazionale di studi alla Magione Templare di Poggibonsi, Siena, 29-31 maggio 1987, A.G. Viti-Riccucci, , 346p.
(en) Anthony Luttrell (rédacteur de l'article), Victor Mallia-Milanes (Directeur) et Malcom Barber (contributeur), The Military Orders: History and Heritage, vol.3, Aldershot, Ashgate Publishing, , 306p. (ISBN978-0-7546-6290-7, lire en ligne), «Hospitaller historiography: Heritages and Heresy»
Anne Gilmour-Bryson, «A look through the keyhole», dans The Military Orders: History and heritage, Ashgate Publishing, Ltd., , 306p. (présentation en ligne), p.128-129; Bini 1845, p.478-485, lire sur Google Livres.
Bini 1845, p.402-405, + docs en annexe exple p. 479, voir index nominatif p. 503-506; Telesforo Bini, Dei Tempieri in Lucca: Ragionamento storico dell' Accademico ordinario, (lire en ligne), p.29-44, + docs 4-9 (p. 61-83).
28 avr. 1224, cf. (it) Mario Borracelli, «La Magione Templare di Frosini e l'importanza delle strade che vi convergevano», dans I Templari: mito e storia: Atti del Convegno internazionale di studi alla Magione templare di Poggibonsi - Siena, 29-31 maggio 1987, (présentation en ligne).
Le toponyme n'existe plus à moins qu'il s'agisse de Montorsoli comme le suggère Bianca Capone. Cette maison se trouvait assurément dans le district de Florence et le diocèse de Fiesole. Mentionnée au cours du procès lorsque son commandeur, Guido de Cietica est interrogé à Florence en octobre 1311[6]. Apparait également dans l'enquête sur les biens templiers confisqués en 1308 mais sous le nom de «Caporsi»[7]. À noter que Luttrell penche également pour Montorsoli mais sans être affirmatif.
Pas d'informations précises si ce n'est dans le diocèse de Lucques. Pourrait correspondre à «Castiglioncello», hameau de Lucques, Castiglione di Garfagnana ou encore la frazione de Castiglioni, Montespertoli?
Cette maison a appartenu aux hospitaliers, mentionnée comme «maison du Temple» dans les chartes de cet ordre qui s'y rapportent, ce qui laisse penser que son origine est templière. Aucun ouvrage récent ne contredit cette hypothèse.
Une commanderie hospitalière est attestée avant la disparition de l'ordre du Temple: «Dominus frater Corradus preceptor hospitalis Sancti Sepulcri de Florentia sub mansione Sancti Joannis Hierosolimitani» (1292)[12].
Initialement installés à l'extérieur des fortifications de Florence (Santa Croce, Sud-Est sur les rives du Fiume d'Arno, 43° 46′ 05″ N, 11° 15′ 54″ E), les templiers ont vendu leurs biens en 1252 à l'Ordre des frères mineurs (franciscains) pour s'installer au Nord-Ouest (San Jacopo delle Vigne appelée aujourd'hui San Jacopo in Campo Corbolini, 43° 46′ 35″ N, 11° 15′ 06″ E)[14].
Peut-être l'église San Salvatore (Istia d'Ombrone)(it) compte tenu du vocable mais ce n'est pas formellement attesté et cette église se trouve à plus de six kilomètres au nord-est de Grosseto.
Anthony Luttrell ne se prononce pas sur l'authenticité de cette information que l'on trouve chez Bianca Capone et Fulvio Bramato (Luttrell 1999, p.374 (note 158)); (Bramato 1991, p.73). Concernant la fiabilité des informations relatives aux templiers en Italie, Anne Gilmour-Bryson indique que l'on trouve certaines erreurs chez Capone et qu'il faut utiliser l'ouvrage de Bramato avec précaution mais que celui-ci est assez fiable (Gilmour-Bryson 2008, p.123).