La Femme de la montagne (La donna della montagna) est un film italien réalisé en 1943 par Renato Castellani et sorti en 1944.
Titre original | La donna della montagna |
---|---|
Réalisation | Renato Castellani |
Scénario |
Renato Castellani d'après Salvator Gotta |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Lux Film |
Pays de production | Italie |
Genre | Drame social |
Durée | 93 minutes |
Sortie | 1944 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Synopsis
Une station dans les Alpes. L'amour fou et idéalisé d'une jeune femme pour un ingénieur de chantier, lui-même veuf d'une femme qu'il vénérait. Les deux êtres finissent par se marier et essaient de vivre à Rome. Mais l'homme, ne supportant pas de vivre sans le souvenir de son ancienne épouse, retourne dans la montagne...
Fiche technique
- Titre français : La Femme de la montagne[1],[2]
- Titre original : La donna della montagna
- Réalisation et scénario : Renato Castellani d'après le roman de Salvator Gotta, I giganti innamorati (Immensément aimés)
- Photographie : Massimo Terzano (it) - Noir et blanc, 1,37 : 1
- Montage : Mario Serandrei
- Musique : Nino Rota
- Décors : Gastone Medin
- Direction artistique : Gino Brosio
- Costumes : Maria De Matteis
- Production : Dino De Laurentiis, Armando Franci pour Lux Film
- Pays d'origine : Italie
- Durée : 93 minutes
- Sortie :
Distribution
- Marina Berti : Zosi
- Amedeo Nazzari : Rodolfo Morigi, l'ingénieur
- Maurizio D'Ancora : Luca
- Corrado Racca : le père de Zosi
- Fanny Marchiò : Diana
- Maria Jacobini : Maria, la sœur de Rodolfo
- Carlo Mengoli : Luciano
- Oscar Andriani : Bertoni
- Pietro Meynet : le guide alpin
- Carlo Giustini
Commentaires
- La Femme de la montagne est l'ultime volet - le plus méconnu également - de ce qu'il faut considérer comme la trilogie calligraphique de Renato Castellani, inaugurée avec Un coup de pistolet (1942) et Zazà.
- Une partie importante du film n'a pu être tournée, à cause des évènements politiques intervenus alors en Italie en septembre 1943. Ce qui porte préjudice à l'intelligibilité du récit. Toutefois, le film demeure fascinant et fidèle à l'essence du calligraphisme : « la description de l'obsession morbide de Rodolfo (Amedeo Nazzari) est poussée assez loin [...] et, surtout, la fidélité amoureuse de l'héroïne prend la forme [...] d'un avilissement volontaire, d'une sorte d'ascèse masochiste », prétexte à des scènes d'une force et d'une singularité exceptionnelles, si l'on en croit Jacques Lourcelles[3].
Notes et références
Liens externes
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