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magazine japonais De Wikipédia, l'encyclopédie libre
LaLa est un magazine de prépublication de mangas mensuel de type shōjo publié par Hakusensha depuis 1976. Il sort le 24 de chaque mois.
Type | Magazine de prépublication |
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Éditeur | Hakusensha |
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Publié depuis | 1976 |
Cible éditoriale |
Adolescent féminin |
Jour de parution |
le 24 du mois |
Site Internet | http://www.hakusensha.co.jp/lala/ |
LaLa paraît pour la première fois en 1976 et sort alors une fois tous les deux mois en supplément du magazine Hana to Yume. Il est ensuite publié seul une fois par mois et se consacre à des œuvres jugées plus matures que celles publiées dans le Hana to Yume.
Des dessinateurs comme Yasuko Aoike, auteur de Eroika Ai Yori kometer débuté en 1976, Suzue Miuchi, qui travaille sur Glass no Kamen, Mineko Yamada et Keiko Takemiya, auteur de Kaze to Ki no Uta, ont commencé à travailler pour LaLa à la fin des années 1970 et ont créé de nombreuses séries pour le magazine.
LaLa devient populaire au Japon grâce à la publication entre 1978 et 1987 du manga Wata no kuni hoshi de Yumiko Ōshima, récompensé par le Prix du manga Kōdansha. Toshie Kihara y publie entre 1977 à 1984, l'un de ses mangas, Mari to Shingo (elle y décrit l'amitié entre deux jeunes bishōnen en Europe qui en raison de la première guerre mondiale, fuient en Suisse et vont ensuite être séparés à cause du tremblement de terre de Kantō de 1923). Entre 1979 et 1985, LaLa publie Basil-uji no yūga na seikatsu de Yasuko Sakata qui raconte avec humour la vie quotidienne d'un noble au XIXe siècle. De 1980 à 1984, Ryōko Yamagishi y publie son manga récompensé par le Prix du manga Kōdansha en 1983, Hi izuru Tokoro no Tenshi, qui traite du bouddhisme, du salut et de l'amour avec comme personnage le prince Shōtoku (574–622). En 1983, le magazine atteint les 400 000 exemplaires vendus[1].
Jusqu'en 1993, Cipher de Minako Narita, Mikan Enikki de Miwa Abiko et So What ? de Megumi Wakatsuki sont les plus grands succès du magazine, assurant les 350 000 à 400 000 exemplaires vendus par an. Comme la plupart des magazines de mangas, le tirage chute ensuite au cours des années 1990[1].
En 2000, 200 000 exemplaires sont vendus. Dans le même temps, le magazine Hana to Yume dépasse les 300 000 exemplaires. Les plus gros succès de LaLa au début des années 2000 sont Kare Kano, une romance de Masami Tsuda et Princesse Kaguya, un manga de science fiction de Reiko Shimizu. Les mangas Vampire Knight de Matsuri Hino et Ouran High School Host Club de Bisco Hatori en cours de prépublication dans le magazine sont de grands succès commerciaux au Japon.
Un sondage effectué par Oricon en 2006 place le magazine en 6e position des magazines préférés des jeunes adolescentes derrière le Weekly Shōnen Jump, Cookie, Bessatsu Margaret, Hana to yume et Weekly Shōnen Magazine[2].
Les thèmes et styles des œuvres publiés dans LaLa sont variés. Ainsi, dans Mekakushi no Kuni de Sakura Tsukuba qui parait de 2000 à 2004, il est question d'une fille avec des pouvoirs de voyance ; Venus in Love de Yuki Nakaji est une comédie romantique ; dans Fun fun factory de Yoshitomo Watanabe publié de 2000 à 2002, une jeune fille est possédée par une méchante sorcière et cherche à s'en débarrasser ; Harukanaru toki no naka de de Tooko Mizuno publié de 2000 à 2006 est un manga de fantasy qui raconte l'histoire d'une jeune fille qui voyage dans un monde parallèle ressemblant à l'époque de Heian ; Vampire Knight de Matsuri Hino, des humains et des vampires se côtoient dans une école.
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