Le plus souvent, l'équipe de rédaction changea et les moyens d'imprimerie furent donnés à des résistants. Parfois le titre, souvent très ancien, s'arrêta.
Toutefois, l'État se réserve le droit d'autoriser un titre de manière unilatérale. Une liste (à retrouver) fut publiée par décret.
Les journaux scientifiques, techniques, professionnels ne sont pas saisis.
Les biens matériels (imprimerie) et immatériels (titre) sont en pratique transférés à l'État par l'intermédiaire de la Société nationale des entreprises de presse (voir plus bas), supprimée le par l'article 63 de la loi de finances rectificative pour 1991[2].