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Joaquín Sorolla y Bastida (en catalan : Joaquim Sorolla i Bastida), né le à Valence et mort le à Cercedilla, est un peintre espagnol.
Joaquín Sorolla
Joaquín Sorolla photographié par Gertrude Käsebier en 1908.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Sépulture |
Cimetière général de Valence (d) |
| Nom de naissance |
Joaquín Sorolla y Bastida |
| Pseudonyme |
Sorolla, Joaquin |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Formation |
académie royale des beaux-arts de San Carlos |
| Maître | |
| Élève |
Vicente Santaolaria |
| Lieux de travail | |
| Mouvement | |
| Influencé par | |
| Conjoint | |
| Enfants | |
| Distinction |
Grand-croix de l'ordre d' Alphonse 12 |
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Signature
Sorolla est connu pour ses scènes de genre alliant réalisme et lyrisme ainsi que pour ses scènes de plage et sa maîtrise de la couleur blanche dont il use avec brio dans de nombreux tableaux. Son style a été qualifié d'impressionniste, de post-impressionniste ou encore de luministe.
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Origines familiales et formation
Sorolla est né à Valence, en Espagne. Il est l'aîné d'un marchand, également nommé Joaquín Sorolla et de son épouse Concepción Bastida. Sa sœur Concha naît un an plus tard. En , leurs deux parents meurent lors d'une épidémie de choléra ; les enfants sont pris en charge par leur tante maternelle et leur oncle, serrurier de profession. Pendant quelque temps, son oncle tente en vain d'enseigner la serrurerie à son neveu, très rapidement convaincu que sa voie est la peinture.
Joaquin fait connaître tôt sa volonté d'étudier la peinture. Il apprend le dessin à l'école des artisans de Valence[1]. Durant ses études au 12, rue Avellanas, il a comme compagnons José Vilar y Torres, les frères Benlliure et Pinazo[2].
Débuts dans le monde de l'art
À la fin de ses études, il envoie des œuvres pour participer à des concours en province et à des expositions nationales des beaux-arts, notamment celle de Madrid en 1881, où il présente trois marines de Valence, qui sont ignorées car ne correspondant pas à la peinture officielle, qui demande des thèmes historiques et dramatiques. L'année suivante, il étudie l'œuvre de Vélasquez et d'autres artistes au Musée du Prado. Après ces visites, Sorolla peint en 1883 une toile inédite Étude du Christ, redécouverte récemment, où se remarque l'influence de Christ crucifié de Vélasquez[3],[4]. C'est avec cette toile que commence son étape « réaliste » où il a Gonzalo Salva pour professeur. Finalement, en 1883, il obtient la médaille de l'Exposition régionale de Valence et en 1884 celle de deuxième classe de l'Exposition nationale grâce à son tableau Défense du Parc d'artillerie de Montéléon, œuvre mélodramatique et obscure, réalisée expressément. Il confie alors à un de ses collègues : « Ici, pour se faire connaître et gagner des médailles, il faut qu'il y ait des morts »[5].
Il obtient un grand succès à Valence avec son tableau El Crit del Palleter (« Le Cri du marchand de paille ») sur la guerre d'indépendance espagnole, qui lui vaut en 1885 une bourse de la Députation Provinciale de Valence pour aller à Rome. Là, en parallèle de son travail, il découvre l'art classique et renaissance, visite les grands musées et noue des liens avec les autres artistes. Il y développe son style et sa technique.
Avec son ami le peintre Pedro Gil, il se rend à Paris durant le premier semestre 1885, pour y observer de près la peinture impressionniste. Ce voyage produit un changement de thèmes et de style : il se lance dans des toiles à motifs religieux, notamment L'Enterrement du Christ, avec lequel il n'eut pas le succès espéré. Il se rapproche ainsi des avant-gardes européennes. Parmi les peintres qui l'influencent, figurent John Singer Sargent, Giovanni Boldini et Anders Leonard Zorn.
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En 1888, il se marie avec Clotilde García del Castillo à Valence, puis ils vivent une année en Italie, à Assise. Il réalise à cette époque quelques tableaux importants comme La Vente des melons (Malaga, musée Carmen Thyssen) ainsi que plusieurs autres sur des thèmes costumbristes qu'il pouvait vendre facilement. C'étaient en général de petites aquarelles commercialisées par son marchand Francisco Jover.
Ascension
En 1889, le peintre et sa famille s'installèrent à Madrid. En à peine cinq années, Sorolla jouit d'un grand renom comme peintre. Avec le retour en Espagne, sa palette s'éclaircit, illustrant les plages méditerranéennes, les ébats d'enfants, les nus, les pêcheurs valenciens. Il obtint son premier succès important avec Une autre Marguerite, qui lui valut la médaille d'or à Madrid et fut vendu à la galerie Saint-Louis. Il devient vite très connu, meneur incontesté de l'école moderne espagnole de peinture.
En 1894, il voyagea de nouveau à Paris, où il développa le style appelé luminisme qui devient dès lors caractéristique de son œuvre. Il commença à peindre à l'air libre, maîtrisant et utilisant la lumière pour des scènes quotidiennes et des paysages du bord de la Méditerranée. Joaquin Sorolla exposa au Salon des artistes français en 1893, où il fut régulièrement admis entre cette date et 1909, obtenant un 3e prix pour le Baiser à la Relique, puis un 2e prix pour Retour de la pêche : halage de la barque (1894), œuvre très admirée au salon de Paris[6] et acquis par l'État pour le musée du Luxembourg.
Consécration
Dans ses tableaux, le Retour de la pêche : halage de la barque, La Plage de Valence, ou Triste héritage, il communique sa vision de la Méditerranée, la splendeur d'une matinée à la plage dans des coloris vibrants, un style léger, vigoureux. Avec Triste héritage, il reçoit en 1900 le « Grand Prix » du concours international de Paris. Il continue à traiter des thèmes sociaux qui lui avaient valu son succès, avec notamment Et en plus elles disent que le poisson est cher ! (1894)[7].
En , à Valence, son ami sculpteur Ricardo Causarás Casaña lui rend visite. Il pose pour une statue de terre et de plâtre finalement exposée à l'exposition générale des beaux-arts de Madrid. Elle se trouve actuellement dans les jardins royaux de Los Viveros à Valence. À cette époque, la ville de Valence lui fait l'honneur d'une rue à son nom, le nommant fils émérite de la ville. Après avoir beaucoup voyagé en Europe - en Angleterre et en France - il remporte une médaille d'honneur l'exposition universelle de Paris en 1900 et en 1901, est nommé chevalier de la Légion d'honneur[8]. Ce succès lui donne des moyens financiers et une reconnaissance internationale nouvelle, aidant à la diffusion de son œuvre dans toute l'Europe et aux États-Unis.
À l'été 1905, il se rend à Jávea pour réaliser une série de peinture d'enfants nus, dont l'une de ses plus célèbres lui vaut une commande de l'Hispanic Society of America et parmi lesquelles figure notamment Le Bain (Musée Métropolitain, New York). Une exposition de ses œuvres — paysages, portraits — à la galerie Georges Petit à Paris en 1906 lui apporte une gloire encore plus grande : il est fait officier de la Légion d'honneur[8]. Son succès social comme économique est complet.
En 1905, le peintre acquiert un terrain sur le paseo del Obelisco à Madrid (Actuellement rue General Martínez Campos), à côté de la résidence de l'actrice María Guerrero. Peu après il achète le terrain contigu qu'il transforme en trois jardins. Sorolla inaugure en 1911 sa nouvelle résidence madrilène[9].
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Il expose à New York en 1909, où il obtient un succès sans précédent, avec notamment les tableaux Soleil du soir et Les Nageurs et triomphe également en 1911 au musée d'Art de Saint-Louis et à l'Art Institute of Chicago.
Vision d'Espagne
En , il signe une commande pour l'Hispanic Society of America de New York. En conséquence, entre 1913 et 1919, il réalise quatorze panneaux de très grandes dimensions pour décorer les salles de l'institution. Chacune est dédiée à une région d'Espagne.
Chaque tableau mesure 3,5 mètres de haut ; mis bout à bout, ils mesurent 70 m de long, ce qui en fait un monument magistral d'Espagne. En 1912, Sorolla consacre l'année à voyager dans toute l'Espagne, faisant des croquis des scènes populaires ou coutumières auxquelles il assiste. Chaque tableau décrit des détails caractéristiques des diverses provinces espagnoles et portugaises[11].
Portraitiste
Une facette importante de l'art de Sorolla est son activité de portraitiste. Il réalise de nombreux portraits de célébrités Santiago Ramón y Cajal, Galdós, Machado, Vicente Blasco Ibáñez, des politiques comme Emilio Castelar, le roi Alphonse XIII, le président William Howard Taft, ainsi qu'une collection de portraits de famille et autoportraits[12].
En 1914 il est nommé universitaire. Après ses travaux pour l'Hispanic Society il travaille comme professeur de composition et de couleurs à l'école des beaux arts de Madrid.
En , il se rend à Majorque, aux Baléares, près de Pollença. Il puise plusieurs tableaux dans la lumière majorquine[13], dont Elena en la cala de San Vicente[14]. Le voici à Ibiza en . Ce sont bientôt ses derniers tableaux.
Le , alors qu'il peignait le portrait de l'épouse de l'écrivain Ramón Pérez de Ayala, dans le jardin de sa maison madrilène, il est victime d'un accident vasculaire cérébral qui le laisse hémiplégique[15]. Diminué dans ses facultés physiques il ne peut plus peindre. Il mourut trois années après dans sa résidence d'été à Cercedilla, le [16].
- Portraits
Portrait de William Howard Taft, Président des États-Unis (1909), Taft Museum of Art
Autoportrait de Joaquín Sorolla, (1909), musée Sorolla, Madrid
Portrait de Raquel Meller (1918), musée Sorolla, Madrid
Portrait de Ramón Pérez de Ayala (1920), Hispanic Society of America, New York
Postérité
Après sa mort, sa veuve fait don de nombre de ses tableaux à l'État espagnol. Ces peintures forment le fonds du musée Sorolla situé depuis 1932 dans la maison de l'artiste à Madrid.
En 1933, Paul Getty achète dix de ses tableaux représentant des scènes de plages impressionnistes.
Son principal disciple est Théodore Andreu (es).
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En plus de la maison-musée Sorolla, on trouve ses tableaux à la Alte Nationalgalerie de Berlin, au musée national d'Art de Catalogne de Barcelone, dans les musées de Venise et Madrid et dans de nombreuses collections privées en Europe et en Amérique, en particulier à Buenos Aires. Il peignit des portraits du roi Alphonse et de la reine Victoria Eugénie d'Espagne.
Collections publiques
La liste est non exhaustive. Le musée Sorolla à Madrid rassemble plusieurs centaines d'œuvres. Le classement par pays, villes et institutions est fait selon l'ordre alphabétique. Celui des œuvres est chronologique.
Allemagne
Remagen, Arp Museum Bahnhof Rolandseck
- Terrasse avec fleurs (1906) huile sur toile (54,5 × 75,5 cm)[17]
Argentine
Buenos Aires, Musée des Beaux-Arts
- Dans la Sacristie (1893) huile sur toile (39,5 × 58 cm)[18]
- Loup de mer (1894) aquarelle (35,5 × 48,5 cm)[19]
- Le Retour de la pêche (1898) huile sur toile (50 × 98 cm)[20]
- Sur la Côte de Valence (1898) huile sur toile (57 × 88,5 cm)[21]
- Nuage d'été (1899) aquarelle (48,5 × 77,5 cm)[22]
- Assemblage du filet de pêche (1902) huile sur toile (48 × 59,5 cm)[23]
- Portrait de José Prudencio de Guerrico (1907) huile sur toile (148,5 × 103 cm)[24]
- La Prière (1907) aquarelle (59 × 36 cm)[25]
- Paysage avec personnage (1912) huile sur toile (68 × 97,5 cm)[26]
- La última copla (non daté) huile sur toile (100 × 156 cm)[27]
- Mucha alegria (non daté) aquarelle (49 × 96,5 cm)[28]
Chili
Musée national des Beaux-Arts (Chili)
- Fille avec fleurs (non daté) huile sur toile (72,2 x 71,3 cm)[29]
Cuba
La Havane, Musée National des Beaux-Arts
- Parmi les Orangers (1903) huile sur toile (100 × 150 cm)[30]
- Été (1904) (149 × 252 cm)[31]
- Idylle (1904) huile sur toile (96 × 130,5 cm)[32]
- María au port de Jávea (1905) huile sur toile (64,5 × 95,5 cm)[33]
- Elena parmi les roses (1907) huile sur toile (76 × 118 cm)[34]
- Étude de bateaux (1908) huile sur toile (52,2 × 86 cm)[35]
- Pescadoras valenciennes (1908) (126 × 123 cm)[36]
- Régates (1908) huile sur toile (121 × 201 cm)[37]
- Aller en mer (vers 1908) (82,5 × 107,5 cm)[38]
- Bœufs amenant des bateaux (1909) huile sur toile (117 × 90 cm)[39]
- Portrait d'une amie de M. Ryan (1913) huile sur toile (117 × 90 cm)[40]
- Enfant mangeant de la pastèque (1920) huile sur toile (99,5 × 75 cm)[41]
- Clotilde marchant dans les jardins de La Granja (170 × 100 cm)[42]
Espagne
Barcelone, Musée National d'Art de Catalogne
- Autoportrait (1897) huile sur toile (58 × 47 cm)[43]
- Elena et Maria à cheval en valenciennes (1908) huile sur toile (253,5 × 188 cm)[44]
- Table de pétition (vers 1892) huile sur toile (86 × 107 cm)[45]
- Le Baiser de la relique (1893) huile sur toile (103,5 × 122,5 cm)[46]
- Portrait du peintre Mañanos (1903) huile sur toile (112 × 72 cm)[47]
- Portrait d'Unamuno (vers 1912) huile sur toile (143 × 105 cm)[48]
- Tête de femme à la mantille blanche (vers 1882) huile sur toile (48 × 33 cm)[49]
- Dos de mayo (Défense du Parc d'artillerie de Monteleón) (1884) huile sur toile (400 × 580 cm)[50]
- Rafael Altamira y Crevea (1886) huile sur toile (55,5 × 41 cm)[51]
- Sainte Clotilde (1888-1889) huile sur toile (78 × 61 cm)[52]
- Le Peintre Juan Espina y Capo (1892) huile sur toile (69,5 × 54,5 cm)[53]
- Jaime García Banús (1892) huile sur toile (85,5 × 110 cm)[54]
- Ils disent toujours que le poisson coûte cher! (1894) huile sur toile (151,5 × 204 cm)[55]
- María Teresa Moret (1901) huile sur toile (111 × 88 cm)[56]
- María Figueroa vêtue en ménine (1901) huile sur toile (151,5 × 121 cm)[57]
- Le Peintre Aureliano de Beruete (1902) huile sur toile (115,5 × 110,5 cm)[58]
- Aureliano de Beruete y Moret, fils (1902) huile sur toile (140 × 82 cm)[59]
- Jacinto Felipe Picón y Pardiñas (1904) huile sur toile (65 × 98 cm)[60]
- María de los Ángeles Beruete y Moret, comtesse douairière de Muguiro (1904) huile sur toile (180 × 132,5 cm)[61]
- Le Docteur Francisco Rodríguez de Sandoval (1906) huile sur toile (104,5 × 104,5 cm)[62]
- L'Actrice Maria Guerrero en Dama boba (1906) huile sur toile (131 × 120,5 cm)[63]
- Mercedes Mendeville, comtesse de San Félix (1906) huile sur toile (198 × 99 cm)[64]
- Le Peintre Antonio Gomar (1906) huile sur toile (59 × 100 cm)[65]
- Le Docteur Joaquín Decref y Ruiz (1907) huile sur toile (67 × 91,7 cm)[66]
- Enfants sur la plage (1909) huile sur toile (118 × 185 cm)[67]
- Don Ramón Piña y Millet (1909) huile sur toile (80 × 62 cm)[68]
- Ella J. Seligman (1913) huile sur toile (151 × 108 cm)[69]
Madrid, Musée de l'Académie royale des Beaux-Arts de San Fernando
- Roma (1884-1889) huile sur panneau (14 × 19 cm)[70]
- Huerta de Valence (1895-1910) huile sur panneau (14 × 19 cm)[71]
- Repas sur le bateau (1898) huile sur toile (180 × 250 cm)[72]
- Le Bain à la Plage (1909) huile sur toile (77 × 105 cm)[73]
- Scène de port; marine (1880) huile sur toile (44,5 × 78 cm)[74]
- Amandier en fleurs (1888-1889) huile sur panneau (15,5 × 25,3 cm)[75]
- Traite de blanches (1894) huile sur toile (166,5 × 195 cm)[76]
- Mère (vers 1895-1910) huile sur toile (125 × 169 cm)[77]
- Mes enfants (1904) huile sur toile (160,5 × 230,5 cm)[78]
- Autoportrait (1904) huile sur toile (66 × 105,5 cm)[79]
- Le Bateau blanc, Jávea (1905) huile sur toile (105 × 150 cm)[80]
- Ombre du pont d'Alcántara, Tolède (1906) huile sur toile (66 × 93,5 cm)[81]
- Plage de Valence (1908) huile sur toile (66 × 96 cm)[82]
- Promenade au bord de la mer (1909) huile sur toile (205 × 200 cm)[83]
- Elena à la plage (1909) huile sur toile (200 × 120 cm)[84]
- Autoportrait (1909) huile sur toile (70 × 50,5 cm)[85]
- Clotilde assise sur un canapé (1910) huile sur toile (180 × 110 cm)[86]
- Le Vieux Pont d'Ávila (1910) huile sur toile (82 × 105 cm)[87]
- Lagarterans typiques ou Mariée Lagarterane (1912) huile sur toile (200 × 206,5 cm)[88]
- Vue sur le Tage, Tolède (1912) huile sur toile (49,5 × 65,5 cm)[89]
- Andalouse (1914) huile sur toile (72 × 54,5 cm)[90]
- Joaquina la gitane (1914) huile sur toile (125,5 × 81 cm)[91]
- Sortie de baignade (1915) huile sur toile (130 × 150,5 cm)[92]
- Les Voiles (1915) huile sur toile (75 × 90 cm)[93]
- Jardin de la maison Sorolla (1920) huile sur toile (104 × 87,5 cm)[94]
- La Vente de melons (1890) huile sur toile (52 × 79 cm)[95]
Oviedo, Musée des Beaux-Arts des Asturies
- En Courant sur la Plage. Valence (1908) huile sur toile (90 × 166,5 cm)[96]
Valence, Musée des Beaux-Arts
États-Unis
Buffalo, Albright-Knox Art Gallery
- Mrs. William H. Gratwick (1909) huile sur toile (152 × 99 cm)[97]
- Portrait of Charles M. Kurtz, Founding Director, Albright Art Gallery (1909) huile sur toile (102 × 76 cm)
- Rochers près du phare, Biarritz (1906) huile sur toile (61,5 × 103 cm)[98]
- Deux sœurs, Valence (1909) huile sur toile (176 × 112 cm)[99]
Los Angeles, The J.Paul Getty Museum
- Le Pied blessé (1909) huile sur toile (109 × 100 cm)[100]
- La Salle des Ambassadeurs, Alhambra, Grenade (1909) huile sur toile (104 × 82 cm)[101]
- Pepilla la Gitane et sa fille (1910) huile sur toile (182 × 110,5 cm)[102]
- Cour des Danses, Alcazar, Séville (1910) huile sur toile (95 × 63,5 cm)[103]
- Coin du jardin, Alcazar, Séville (1910) huile sur toile (95 × 63,5 cm)[104]
- Paysage asturien (1903-1904) huile sur toile (62 × 94,5 cm)[105]
- Plage à Valence (vers 1908) huile sur panneau (13 × 27 cm)[106]
New York, The Hispanic Society of America
- Juan del Castillo (vers 1885) huile sur toile (47,2 × 37 cm)[107]
- Un Membre de la famille Garcia-Castillo (vers 1885) huile sur toile (45,8 × 37,8 cm)[108]
- Deux Bateaux à quai (vers 1900) huile sur carton (18 × 14,3 cm)[109]
- Señora de Sorolla en blanc (1902) huile sur toile (150 × 121 cm)[110]
- Señora de Sorolla avec une mantille espagnole (1902) huile sur toile (184,5 × 95 cm)[111]
- Échouage de bateau (Lumière d'après-midi) (1903) huile sur toile (298,3 × 440,6 cm)[112]
- Le Sentier de l'orangeraie, Alcira (1903) huile sur toile (65 × 97,4 cm)[113]
- Les Poivrons (1903) huile sur toile (97 × 130,5 cm)[114]
- José Ramón Mélida y Alinari (1904) huile sur toile (95 × 59 cm)[115]
- María et sa grand-mère (1905) huile sur toile (65,2 × 75,6 cm)[116]
- Rochers du cap, Jávea (1905) huile sur toile (63,4 × 92,5 cm)[117]
- William E.B. Starkweather pêchant (1905) huile sur carton (19 × 24 cm)[118]
- Maison du Greco, Tolède (1906) huile sur toile (62,5 × 93 cm)[119]
- La Plage, Biarritz (Dames en promenade) (1906) huile sur carton (16 × 22 cm)[120]
- Raimundo de Madrazo y Garreta (1906) huile sur toile (97,5 × 114,5 cm)[121]
- Vicente Blasco Ibáñez (1906) huile sur toile (127 × 90 cm)[122]
- Benigno de la Vega Inclán y Flaquer, Marqués de la Vega Inclán (1907) huile sur toile (63,3 × 50,8 cm)[123]
- Marché, León (Arcade) (1907) huile sur carton (10,2 × 16,9 cm)[124]
- Marché, León (Auvents) (1907) huile sur carton (10,1 × 16,9 cm)[125]
- Paysans léonais (1907) huile sur toile (198,6 × 253,6 cm)[126]
- Autoportrait (1907) huile sur toile (62 × 50 cm)[127]
- Antonio García (1908) huile sur toile (91 × 111,5 cm)[128]
- Aureliano de Beruete (1908) huile sur toile (114 × 77,6 cm)[129]
- Enfants sur la plage (1908) huile sur toile (94 × 117,5 cm)[130]
- Idylle à la mer (1908) huile sur toile (151 × 199,3 cm)[131]
- Après le Bain (1908) huile sur toile (176 × 111,5 cm)[132]
- Manuel Bartolomé Cossío (1908) huile sur toile (99 × 60 cm)[133]
- Marcelino Menéndez y Pelayo (1908) huile sur toile (114 × 77,3 cm)[134]
- Plage de Valence à la lumière du matin (1908) huile sur toile (76 × 105,6 cm)[135]
- La Plage, Valence (Bœufs tirant un bateau) (avant 1909) huile sur carton (13,4 × 21,2 cm)[136]
- La Plage, Valence (Pêcheur) (avant 1909) huile sur toile montée sur carton (17 × 26 cm)[137]
- La Plage, Valence (Deux hommes assis) (1909) huile sur toile (8,6 × 12,1 cm)[138]
- Alejandro Pidal y Mon (1909) huile sur toile (107 × 75 cm)[139]
- Autoportrait (1909) huile sur toile (64 × 53,8 cm)[140]
- Chandler Robbins (1909) huile sur toile (95 × 59 cm)[141]
- Jardin, Valence (1909) huile sur carton (8,5 × 12,2 cm)[142]
- William E.B. Starkweather (1909) huile sur toile (68,8 × 56 cm)[143]
- Colomb quittant Palos (Au bastingage, avec fauconneau) (1909-1910) huile sur toile (104,5 × 53,5 cm)[144]
- Colomb quittant Palos (Au blason) (1909-1910) huile sur toile (150 × 106,8 cm)[145]
- Colomb quittant Palos (À la dunette) (1909-1910) huile sur toile (150 × 104,5 cm)[146]
- Colomb quittant Palos (À la lanterne) (1909-1910) huile sur toile (137,5 × 120 cm)[147]
- Colomb quittant Palos (De l'arrière, avec fauconneau) (1909-1910) huile sur toile (137,5 × 120 cm)[148]
- Colomb quittant Palos (De nuit, profil droit) (1909-1910) huile sur toile (115 × 62,5 cm)[149]
- Colomb quittant Palos (En mi-ombre) (1909-1910) huile sur toile (150 × 92,5 cm)[150]
- Colomb quittant Palos (Profil droit, face à la poupe) (1909-1910) huile sur toile (109,5 × 73,8 cm)[151]
- Colomb quittant Palos (Profil gauche) (1909-1910) huile sur toile (123,3 × 79,8 cm)[152]
- Alphonse XIII, roi d'Espagne (1910) huile sur toile (89,2 × 69 cm)[153]
- Cathédrale et porte de Santa María, Burgos (1910) huile sur toile (104 × 81,5 cm)[154]
- Jeunes Paysannes ségoviennes (1910) huile sur toile (251,6 × 207,5 cm)
- José Echegaray y Eizaguirre (1910) huile sur toile (114,2 × 109,1 cm)[155]
- José Gestoso y Pérez (1910) huile sur toile (60 × 54 cm)[156]
- Joseph Florimond, duc de Loubat (1910) huile sur toile (61 × 48,5 cm)[157]
- Benito Pérez Galdós (1911) huile sur toile (115 × 109,5 cm)[158]
- La Circulation sur Grand Army Plaza, vue depuis une fenêtre du Savoy (1911) gouache sur carton (21,6 × 43 cm)[159]
- Louis Comfort Tiffany (1911) huile sur toile (150,5 × 225,5 cm)[160]
- Mrs. Ira Nelson Morris et ses enfants (1911) huile sur toile (221,5 × 169,3 cm)[161]
- New York depuis une fenêtre d'un hôtel (Grand Army Plaza, New York, vue depuis une fenêtre du Savoy) (1911) gouache sur carton (44,5 × 21,7 cm)[162]
- Porfirio Díaz (1911) huile sur toile (146,5 × 114,4 cm)[163]
- Victoire-Eugénie, reine d'Espagne (1911) huile sur toile (109,5 × 94,6 cm)[164]
- Le Comité de Patronage de la maison-musée du Greco, Tolède (1912-1920) huile sur toile (293,5 × 251 cm)[165]
- Benigno de la Vega Inclán y Flaquer, Marqués de la Vega Inclán (1913) huile sur toile (114,5 × 110 cm)[166]
- Don Rafael Altamira y Crevea (1913) huile sur toile (115 × 91,5 cm)[167]
- Emilia Pardo Bazán, Condesa de Pardo Bazán (1913) huile sur toile (110 × 82 cm)[168]
- Francisco Rodríguez Marín (1913) huile sur toile (114,5 × 85,2 cm)[169]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Castille (1913) huile sur toile (355,5 × 1 392 cm)[170]
- Don Pio Baroja y Nessi (1914) huile sur toile (128 × 107,8 cm)[171]
- Manuel Pérez de Guzmán y Boza Liaño Aubarede, Marqués de Jerez de los Caballeros (1914) huile sur toile (98 × 103 cm)[172]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Andalousie, l'Encierro (1914) huile sur toile (351 × 752 cm)[173]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Aragón (1914) huile sur toile (351 × 301 cm)[174]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Guipúzcoa (1914) huile sur toile (350 × 231,5 cm)[175]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Navarre (1914) huile sur toile (349 × 230 cm)[176]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Séville, Semaine Sainte. Pénitents (1914) huile sur toile (351 × 300,5 cm)[177]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Catalogne (1915) huile sur toile (351 × 485 cm)[178]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Galice (1915) huile sur toile (351 × 300 cm)[179]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Séville, la danse (1915) huile sur toile (351 × 302,5 cm)[180]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Séville, les toreros (1915) huile sur toile (350 × 231 cm)[181]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Valence (1916) huile sur toile (351 × 301 cm)[182]
- José Benlliure y Gil (vers 1916) huile sur toile (79,8 × 105,2 cm)[183]
- Juan Ramón Jiménez (1916) huile sur toile (110,4 × 79,9 cm)[184]
- Antonio Muñoz Degrain (1917) huile sur toile (121 × 103 cm)[185]
- Gumersindo de Azcárate (1917) huile sur toile (109,5 × 90 cm)[186]
- Jacinto Benavente y Martínez (1917) huile sur toile (120,2 × 92,5 cm)[187]
- José Martínez Ruiz (Azorín) (1917) huile sur toile (120 × 102 cm)[188]
- Le Sculpteur Mariano Benlliure y Gil (1917) huile sur toile (140,8 × 115 cm)[189]
- Leonardo Torres Quevedo (1917) huile sur toile (124,5 × 99,5 cm)[190]
- Ramón Menéndez Pidal (1917) huile sur toile (110 × 80 cm)[191]
- Ricardo de Léon y Román (1917) huile sur toile (110,5 × 83 cm)[192]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Estrémadure (1917) huile sur toile (351 × 302 cm)
- Tomás Bretón y Hernández (vers 1917) huile sur toile (104 × 81 cm)[193]
- Antonio Machado y Ruiz (1918) huile sur toile (103 × 80,8 cm)[194]
- José Ortega y Gasset (1918) huile sur toile (82 × 124,7 cm)[195]
- Miguel Blay y Fábregas (vers 1918) huile sur toile (81 × 105 cm)[196]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Elche (1918-1919) huile sur toile (350 × 321 cm)[197]
- Vision d'Espagne (auparavant: Les Provinces d'Espagne): Ayamonte (1919) huile sur toile (349 × 485 cm)[198]
- Doctor Francisco Sandoval (1920) huile sur toile (109,4 × 90 cm)[199]
- Doctor Gregorio Marañón y Posadillo (1920) huile sur toile (106,2 × 89,4 cm)[200]
- Manuel Benedito Vives (1920) huile sur toile (105,5 × 81,5 cm)[201]
- Ramón Perez de Ayala (1920) huile sur toile (140,8 × 115 cm)[202]
New York, The Metropolitan Museum of Art
- Le Bain, Jàvea (1905) huile sur toile (90 × 128 cm)[203]
- Señora de Sorolla en noir (1906) huile sur toile (187 × 119 cm)[204]
- Chateau de San Servando, Tolède (1906) huile sur toile (67 × 93 cm)[205]
- Mrs. Winthrop W. Aldrich (1909) huile sur toile (102 × 77 cm)[206]
- Enfants au bord de la mer (1903) huile sur toile (96 × 130,5 cm)[207]
Providence, Rhode Island School of Design Museum
- Fontaine dans la forêt, La Granja (1907) huile sur toile (81,3 × 106,5 cm)[208]
- Sous l'auvent, Zarautz (1910) huile sur toile (99 × 114 cm)[209]
- Au bord de la mer, Valence (1908) huile sur toile (129,5 × 104 cm)[210]
San Francisco, Fine Arts Museums
- Sur le plage (1908) huile sur toile (83 × 105 cm)[211]
France
- Enfant au bord de la mer (1905) huile sur toile (35 × 37 cm)[212]
- Les Rochers du cap, Jávea (1905) huile sur toile (65 × 91 cm)[213]
Bordeaux, Musée des Beaux-Arts
- Portrait de madame Dequis (1913) huile sur toile (73 × 93 cm)[214]
- Portrait de Jacques Seligmann (1911) huile sur toile (151 × 108 cm)[215]
Limoges, Palais de Justice
- Barques et groupes de pêcheurs à Valence (1894) huile sur toile (47 × 67 cm)[216]
- Retour de la pêche: halage de la barque (1894) huile sur toile (265 × 403,5 cm)[217]
Pau, Musée des Beaux-Arts
- La Préparation des raisins secs (1901) huile sur toile (195 × 139 cm)[218]
Italie
Gênes, Galerie d'Art moderne
- Retour de la Pêche (1904) huile sur toile (45 × 75 cm)[219]
Pise, Musée National du Palais Royal
- Le Port de Valence (1908) huile sur toile (52,5 × 66 cm)[220]
Royaume-Uni
Leeds Museums and Galleries
- Une Dame et un Chien à la Plage (1906) huile sur toile (15,9 × 22,2 cm)[221]
- Dames sur la Plage (1906) huile sur toile (15,9 × 22,2 cm)[222]
- Le Pont (1906) huile sur toile (15,9 × 22,2 cm)[223]
- Personnes assises sur la plage (1906) huile sur toile (15,9 × 22,2 cm)[224]
- La Plage (1906) huile sur toile (15,9 × 22,2 cm)[225]
Londres, National Portrait Gallery
- La Princesse Beatrice de Battenberg (1908) huile sur toile (129 × 97 cm)[226]
Southampton City Art Gallery
- L'Estuaire du Nalón (date non indiquée) huile sur toile (62 × 93 cm)[227]
Collections privées
Espagne
- Voltaire raconte une de ses histoires (1905) huile sur toile (40 × 28 cm)[228]
Galerie
- Œuvres de Joaquín Sorolla
Académie d'homme (1887), musée des beaux-arts de Valence.
Jardins de l'Alcazar (Seville) (1910), Los Angeles, Getty Center.
Clotilde assise sur un canapé (1910), Madrid, musée Sorolla.
Lagarterans typiques ou Mariée Lagarterane (1912), Madrid, musée Sorolla.
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- Álvaro Alcalá Galiano y Vildósola (1873-1936)[230].
- Vicente Santaolaria (1886-1967)[231].
- Sorolla, un peintre espagnol à Paris, Musée des impressionnismes, Giverny, 14.07 - 06.11.2016
- Sorolla, Maître espagnol de la Lumière "Spanish Master of Light", National Gallery, Londres, – [232],[233]
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