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Jean Paul Louis Gouzy, né le à Giroussens et mort le à Rabastens, est un homme politique français.
| Jean Paul Louis Gouzy | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député du Tarn | |
| – (1 mois et 21 jours) |
|
| Gouvernement | Assemblée législative |
| Député à la Convention nationale | |
| – (3 ans, 1 mois et 20 jours) |
|
| Député au Conseil des Cinq-Cents | |
| – (2 ans, 7 mois et 6 jours) |
|
| Conseiller général du Tarn | |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Giroussens (Tarn) |
| Date de décès | (à 83 ans) |
| Lieu de décès | Rabastens (Tarn) |
| Nationalité |  Française
|
| Parti politique | Plaine Modérés |
| Profession | Homme de loi Inspecteur des contributions |
| députés du Tarn | |
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|
D'une famille bourgeoise, il est le fils de Jean Baptiste Gouzy (1726-1785) et de Catherine Toulza (1745-1820).
Homme de loi à Giroussens, il est élu premier député suppléant du Tarn à l'Assemblée législative le et est admis à siéger le , en remplacement de Pierre Audoÿ (1755-1840)[1], démissionnaire. Il vote avec la majorité et est élu membre de la Convention le suivant. En , à la question sur la peine à infliger à Louis XVI, il vote pour la mort avec sursis.
Il entre au Conseil des Cinq-Cents, le 22 vendémiaire an IV. Il est élu jusqu'en . Il est alors nommé maire de Rabastens. Sous le premier Empire, il est inspecteur des contributions directes à Albi et conseiller général du Tarn.
Frappé par la loi du 12 janvier 1816, qui condamne à l'exil les régicides ayant soutenu les Cent-Jours, il s'installe à Constance. Il est autorisé à rentrer en France le .
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