Jean-Paul Clébert

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Jean-Paul Clébert, né Pierre Jeannin[1] le à Neuilly-sur-Seine et mort le [2],[3] à Oppède (Vaucluse)[4], est un écrivain français.

Faits en bref Naissance, Décès ...
Jean-Paul Clébert
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Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Pierre Noël Louis Jeannin
Nationalité
Activité
Autres informations
Mouvement
Distinction
Grand prix littéraire de Provence (d) ()
Œuvres principales
  • 1952 : Paris insolite, Denoël, réédition Attila 2009
  • 1962 : Les Tziganes, Arthaud
  • 1966 : Provence antique, 1 : des origines a la conquête romaine, Laffont
  • 1970 : Provence antique, 2 : l'époque gallo-romaine, Laffont
  • 1984 : Mémoire du Luberon, Herscher
  • 1992 : Guide de la Provence mystérieuse, Sand et Tchou
  • 1992 : Provence antique, 3 : Aux temps des premiers chrétiens, Laffont
  • 1993 : Provence, Éditions de La Martinière
  • 1995 : La Durance, Privat
  • 1996 : Dictionnaire du Surréalisme, Seuil
  • 1998 : Vivre en Provence, Éditions de l'Aube
  • 2004 : Histoires et légendes de la Provence mystérieuse, Sand & Tchou
  • 2007 : Marie Madeleine en Provence, Éditions Oxus
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Il a vécu à Bonnieux et à Oppède au pied du massif du Luberon, à partir de 1956.

Biographie

Résumé
Contexte

Après avoir fait ses études dans une institution religieuse, Jean-Paul Clébert rejoint la Résistance française en 1943, il a 16 ans[5]. Après la Libération, il passe six mois en Asie puis revient en France. Il mène alors une vie clandestine dans l´univers des clochards[5], ce qui lui inspire son premier essai, Paris insolite (1952), qu'il dédie à ses compagnons de dérive Robert Giraud et Robert Doisneau. L'ouvrage rate de peu le Prix Goncourt 1952[6], coiffé au poteau par Léon Morin, prêtre de Béatrix Beck. Une édition illustrée de photos de Patrice Molinard et mise en page par Massin paraît en 1954.

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Oppède, résidence de l'écrivain, au cœur du Luberon.

Il passe encore quelque temps dans la capitale où il fréquente les derniers surréalistes[7] et certains des cafés de Saint-Germain-des-Prés où se retrouvaient quelques-uns des participants de l'Internationale lettriste, préfiguration de l'Internationale situationniste[8]. Durant deux ans, il est reporter en Asie pour Paris Match et pour France-Soir[9], avant de se retirer en 1956 dans le Luberon.

Il s'intéresse alors à l'histoire du Midi de la France et de la Provence[5]. Il est enterré au cimetière de Bonnieux.

Prix et distinctions

  • 1988 : grand prix littéraire de Provence pour l'ensemble de son œuvre sur cette région

Publications

Notes et références

Voir aussi

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