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Jean-Louis Coustillet, né le à Bayel, Aube et mort le à La Rochelle, est un footballeur français reconverti entraîneur.
| Jean-Louis Coustillet | ||
| ||
| Biographie | ||
|---|---|---|
| Nom | Jean-Louis Henri Léon Coustillet | |
| Nationalité |  Français
|
|
| Naissance | Bayel (France) |
|
| Décès | La Rochelle (France) |
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| Taille | 1,83 m (6′ 0″) | |
| Période pro. | 1969 – 1975 | |
| Poste | Milieu de terrain puis entraîneur | |
| Parcours junior | ||
| Années | Club | |
| ES Bar-Bayel |
||
| Parcours senior1 | ||
| Années | Club | M.(B.) |
| ES Bar-Bayel |
||
| 1969-1971 | RC Lens |
27 (13) |
| 1971-1975 | AAJ Blois |
78 (9) |
| 1975-1978 | ES Viry-Châtillon |
|
| Parcours entraîneur | ||
| Années | Équipe | Stats |
| 1974-1975 | AAJ Blois |
4v 6n 13d |
| 1975-1984 | ES Viry-Châtillon |
82v 90n 81d |
| 1984-1988 | FC Saint-Lô |
37v 40n 41d |
| 1988-1992 | ATAC Troyes |
57v 33n 28d |
| 1994-2001 | UFC Pays d'Argentan |
72v 59n 73d |
| 2014 | AS Sainte-Savine |
0v 0n 2d |
| 1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. Dernière mise à jour : 12 mai 2023 |
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Il est le frère d'André Coustillet.
Joueur
Originaire de Bayel, Jean-Louis Coustillet fait les beaux jours du football bayellois, avec ses frères, enquillant les buts de manière régulière en Division d’Honneur jusqu’à ce qu’il décide de suivre l’exemple de son frère André, professionnel à Valenciennes, en partant à 25 ans au RC Lens. Il y joue 2 saisons avant de rejoindre Blois 4 années durant[1].
Entraîneur
Après sa carrière de joueur, il devient entraîneur. Pendant 9 ans, il accomplira un travail énorme à Viry-Chatillon (D3) puis prend en charge, là aussi avec réussite, Saint-Lô (D3)[1].
En 1982-1983, Jean-Louis Coustillet est l'entraîneur de la seule équipe de Viry-Châtillon à avoir évolué en Division 2[2].
En 1988, Jean-Louis Coustillet arrive à l'ESTAC Troyes qui vient de se maintenir difficilement en D4. L'objectif à court terme étant de monter en D3. Il le remplit lors de sa seconde saison avec seulement 11 buts encaissés en 26 matches. Lors des deux premières saison en D3, l'ATAC joue la montée vers le professionnalisme. En Coupe de France 1991-1992, le club atteint pour la première fois les huitièmes de finale, éliminé par St-Omer. Coustillet quitte le club en 1992[3].
Mort
Le , les journaux L'Est-Éclair et Ouest-France annoncent la mort de Coustillet, âgé de 78 ans, des suites de la maladie d'Alzheimer[a],[5],[6].
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