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Jean-François Ferlet, né le à Nice, est un militaire français.
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Trouver des sources sur « Jean-François Ferlet » :
Jean-François Ferlet
| Inspecteur général des armées – Air et Espace | |
|---|---|
| - | |
Luc de Rancourt de Mimérand (d) | |
| Directeur du Renseignement militaire | |
| - | |
| Chef du centre de planification et de conduite des opérations | |
| - | |
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activité |
| Grades militaires |
Général de corps d'armée (d) (- Général d'armée (depuis ) |
|---|---|
| Distinction |
Général d'armée aérienne, il est inspecteur général des armées du à juillet 2022, après avoir été directeur du renseignement militaire de 2017 à 2021 et chef du centre de planification et de conduite des opérations de 2015 à 2017.
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Famille et formation
Jean-François Ferlet naît le à Nice[1]. Il est marié et père de deux enfants[2].
Il est diplômé de la promotion 1986 de l'École de l'air et titulaire du brevet de pilote de chasse en 1989[2].
Carrière militaire
Jean-François Ferlet a fait partie des opérations Crécerelle en ex-Yougoslavie, Héraclès en Afghanistan et Licorne en Côte d'Ivoire[3].
Jean-François Ferlet est nommé au grade de général d'armée le . Il avait été nommé précédemment général de corps d'armée le [JO 1], général d'armée le .
En 2015, Jean-François Ferlet est nommé chef du Centre de planification et de conduite des opérations puis directeur du renseignement militaire le [2]. Il est nommé inspecteur général des armées le [4].
En 2017, Jean-François Ferlet est nommé à la Direction du Renseignement militaire pour « calmer l'incendie » des rivalités DRM - DGSE[5],[6]. Durant son mandat à la DRM, il s’attèle à la mutation de cette institution[7] et à sa transformation numérique[8].
Il quitte ses fonctions et entre en deuxième section en [3].
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Le , il est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de commandant[JO 2]. Il est fait chevalier de l'ordre le puis promu au grade d'officier le au titre de « colonel »[JO 3]. Il est fait officier de l'ordre le puis promu au grade de commandeur le au titre de « général de corps aérien »[JO 4].
Le , il est nommé au grade d'officier dans l'ordre national du Mérite au titre de « colonel »[JO 5]. Il est fait officier de l'ordre le puis promu au grade de commandeur le au titre de « général de division aérienne »[JO 6]. Il est fait commandeur de l'ordre le puis élevé à la dignité de grand officier dans l'ordre le au titre de « général d'armée aérienne »[JO 7].
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