Janine Jennky victorieuse à la côte de Gaillon en septembre 1927.Janine Jennky victorieuse de classe à la côte de Gaillon 1928, sur Bugatti 2,0l.Janine Jennky victorieuse de la côte de Gometz-le-Châtel sous la pluie, en octobre 1928.Janine Jennky victorieuse de la Coupe de Bourgogne 1928, sur Bugatti Type 35C (ici devant Lucy Schell).
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Construisant ses victoires sur une Bugatti Type 35C2,0l achetée neuve en 1927, elle est la seule femme à avoir remporté un Grand Prix automobile mixte (Elisabeth Junek, sur le même type de véhicule et à la même période, gagnant quant à elle le Grand Prix des Dames en 1927 sur l'autodrome de Linas-Montlhéry et terminant quatrième la même année du Grand Prix d'Allemagne).
Elle fut la compagne d'Albert Divo, lui-même conducteur Bugatti comblé par ses succès en 1928 et 1929 avec la marque[2].
Un (une) dénommé(e) Camille Jennky participe aussi au Grand Prix automobile de France 1928 avec une Type 35 (abandon), ce prénom n'étant pas sans rappeler celui, plutôt "neutre", de mademoiselle Du Gast.
Un an plus tard, en 1929, Marie Depret remportera les 4 Heures de Dijon, sur Bugatti (quatrième "Albertine" (Marie) Derancourt)[4], terminant la même saison septième du Grand Prix dijonnais[5], cette conductrice participant également aux 24 Heures du Mans 1933 aux côtés de Pierre Brussienne en Bugatti Type 50S[6].
«Mme Janine Jennky roule sur un bolide à 204 km/h par amour du danger», Le Petit Journal, no24 004,
(en) H. G. Conway et Raffaëlli, Grand Prix Bugatti, Bentley Publishers, (ISBN978-0-8376-0018-5), p.117 et 203
(en) David Venable, Bugatti Racing History, J H Haynes & Co Ltd, , 256p. (ISBN978-1-85960-834-0), p.97
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