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officier de l'armée néerlandaise, résistant en France pendant la Seconde Guerre mondiale De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jan Louis-Guilleaume Doornik est un résistant, Compagnon de la Libération, né le à Paris et mort le , tué au fort du Mont-Valérien, de nationalité néerlandaise.
| Jan Doornik | ||
 Jan Doornik vers 1940. | ||
| Naissance | 16e arrondissement de Paris |
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| Décès | (à 36 ans) Mont-Valérien |
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| Origine |  Pays-Bas
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| Allégeance | .svg){kind=small} France libre
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| Unité | BCRA | |
| Grade | Lieutenant | |
| Années de service | 1940 – 1941 | |
| Conflits | Seconde Guerre mondiale | |
| Distinctions | Compagnon de la LibérationCroix de la Résistance (P-B) | |
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| Liste des Compagnons de la Libération | ||
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Néerlandais, Jan Doornik effectue ses études en France puis en Suisse[1].
En lors de l'invasion allemande, il est en Belgique pour affaires et ne peut rejoindre les Pays-Bas pour s'engager. Il passe en France, arrive à Paris à marche forcée, les pieds en sang, et se rend aussitôt auprès de l'attaché militaire néerlandais qui lui conseille de patienter. Mais voulant combattre sans attendre, Doornik rejoint Cardiff le et s'engage comme volontaire dans la formation de choc d'un corps hollandais[1].
Il passe ensuite dans les Forces françaises libres[1].
Il participa à la mise en place du réseau Nemrod[1].
Il est exécuté le au Mont-Valérien, en compagnie d'Honoré d'Estienne d'Orves et de Maurice Barlier[1]. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (61e division) à Paris[2].
Il est fait Compagnon de la Libération à titre posthume, par le décret du [1].
Compagnon de la Libération à titre posthume par décret du 7 mars 1945.Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
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