James Glover fait ses études de médecine à Glasgow, puis exerce quelques années au Brésil. Il rentre en Grande-Bretagne et se spécialise en ORL. En 1918, il commence à exercer à la Medico-Psychological Clinic de Brunswick Square, premier établissement de soin liée à la psychanalyse, avant d’entreprendre une analyse didactique avec Karl Abraham, à l'Institut psychanalytique de Berlin. Son frère Edward Glover reprendra ses travaux après sa mort prématurée du fait du diabète, à 44 ans.
(en) «The Significance of the Mouth in Psycho-Analysis», British Journal of Medical Psychology, vol.4, no2, avril 1924, p.134-155, [lire en ligne]
Ernest Jones (dir.), Social aspects of psycho-analysis: Lectures delivered under the auspices of the Sociological Society (contributions de Ernest Jones, James Glover, J. C. Flügel, M. D. Eder, Barbara Low & Ella Freeman Sharpe), Londres, Williams & Norgate, 1924, 240p. (OCLC903877435)[1]
(en) «The Conception of Sexuality», British Journal of Medical Psychology, vol.5, no3, août 1925, p.175-188, [lire en ligne].
(en) «Divergent tendencies in psychotherapy», British Journal of Medical Psychology, vol.6, no2, 1926, p.93-109[lire en ligne] (republié en mars 1962, vol.35, no1, p.3-14, [lire en ligne]
(en) «Notes on an unusual form of perversion», International Journal of Psychoanalysis, vol.8, p.10-24, 1927 (trad. fr. «Notes sur une forme rare de perversion», in Denise Bouchet-Kervella, Jacques Bouhsira et Martine Janin-Oudinot (dir.), Le Fétichisme, PUF, coll.«Monographies et débats de psychanalyse», 2012, p.187-204, [lire en ligne]).
Bibliographie
Malcolm Pines, «Glover, James», p.180-181, in Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse 1. A/L. Calmann-Lévy, 2002, (ISBN2-7021-2530-1).
D. Essertier, «Social aspects of Psycho-analysis. Lectures delivered under the auspices of the Sociological Society by Ernest Jones, James Glover, J.-C. Flügel, B. Low, Ella Sharpe», L'Année sociologique, no1, nouvelle série 1923-1924, p.241-244 (lire en ligne, consulté le ).