Déclaré à l'état civil comme Paul-Marie-Charles-Jacques Faure-Biguet, il reçoit à son baptême le prénom de Napoléon avec l'autorisation du prince Victor Napoléon, dont le père de Jacques, Charles Faure-Biguet, est un fidèle partisan.[réf.nécessaire]
Jacques-Napoléon Faure-Biguet a fait ses études à Paris et fut condisciple de Henry de Montherlant[2] auquel il consacra deux ouvrages.
Après la guerre, il dirige la collection de romans policiersLe Labyrinthe.
Sous le nom de J.-N. Faure-Biguet
Poèmes, 1914-1915, S. Escoffier, Nizza, 1916
La Fiancée morte, Paris, Flammarion, 1925
Les Prisonniers d’Amour, Paris, Flammarion, 1926
Le Prisonnier des Mers, Éditions de la Nouvelle Revue Critique, 1927
Passages de L’Oiseau, Éditions Victor Attinger, 1929
Lettres de Laure Surville de Balzac, 1932
La Colonne de Nuées, Paris, Éditions de Flore, 1948
Maurice Barrès, son œuvre, Paris, Plon, 1924
Montherlant, homme de la Renaissance, Paris, Plon, 1925
Gobineau «Le roman des grandes existences», Paris, Plon, 1930
Je suis partout, 21 août 1942, p.6: "Il y a quelque dix ans que j'ai rencontré Jacques Decrest. Il ne s'appelait pas encore ainsi, il avait écrit des poèmes, des essais très sérieux, il parlait avec humour et une mélancolie charmants de l'autre avant-guerre, où il fut le condisciple de Montherlant." Article de Robert Brasillach annonçant la publication dans Je suis partout du roman Jeunes filles perdues