Basse-Terre: La Nation Victorieuse, monument aux morts inauguré le place centrale sur le Champ d'Arbaud, l'allégorie tient un drapeau et passe un bras protecteur autour d'un soldat, l'ouvrage est surplombé par le Coq.
Corbigny: Monument aux morts, inauguré le . avec le Coq surplombant la colonne.
Montluçon: Monument aux morts, 1922, pierre, variante de celui de Guingamp. Monument élevé par souscription publique, mère éploré offrant un sein nu à l'enfant perdu, symbolisé par un casque, elle retient de son autre main une couronne de fleurs. sous la sculpture est inscrit: «mons lucens inter montes» («La montagne lumineuse parmi les montagnes»), situé sur le vaste mail devant la gare.
Pointe-à-Pitre, place de la Victoire: La Douloureuse de la Pointe-à-Pitre, monument aux morts, marbre de Carrare, inauguré le [5]. Sur le piédestal est inscrit « Karukera », nom amérindien de l'île.
Vieux-Habitants: Monument aux morts, obélisque avec médaillon d'un poilu et un coq au sommet du monument[6].
Séverine Laborie, « Éléments remarquables de la commémoration des morts de la Guerre 1914-1918: les monuments aux morts de Guadeloupe », Bulletin de la Société d'histoire de la Guadeloupe, no168, mai-, pp.173-175, note 13 de la p.173.
Ruth Fiori, Dépouillement du «Bulletin de la Société des Amis des monuments parisiens» en vue d'une thèse d'histoire de l'art, université de Paris, 2009.