En 1887, Crémieux a cessé d’écrire et il est devenu secrétaire général de la Société des dépôts et comptes courants. Cinq ans plus tard, la Société s’est effondrée[2] et il s’est suicidé par balle[3].
Théâtre
Qui perd gagne, comédie en un acte et en prose, avec Émile Lame, théâtre de l'Odéon, .
Une demoiselle en loterie, opérette bouffe en un acte, avec Adolphe Jaime, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Bouffes-Parisiens, .
Orphée aux Enfers, opéra-bouffe en deux actes et quatre tableaux, avec Ludovic Halévy, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Bouffes-Parisiens, (première version).
Le Pied de mouton, grande féerie-revue-ballet en 21 tableaux, imitée de Alphonse Martainville, avec les Frères Cogniard, théâtre de la Porte Saint-Martin,
La Chanson de Fortunio, opéra-comique en un acte, avec Ludovic Halévy, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Bouffes-Parisiens,
Les Eaux d'Ems, opérette en un acte, avec Ludovic Halévy, musique de Léo Delibes, théâtre des Bouffes-Parisiens,
Le Pont des soupirs, opéra-bouffe en quatre actes, avec Ludovic Halévy, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Variétés, .
Le Petit Faust, opéra-bouffe en trois actes, en quatre tableaux, avec Adolphe Jaime, musique de Hervé, théâtre des Folies-Dramatiques, .
Les Turcs, opéra-bouffe en trois actes, avec Adolphe Jaime, musique de Hervé, théâtre des Folies-Dramatiques, .
Le Trône d'Écosse, opéra-bouffe en trois actes et quatre tableaux, avec Adolphe Jaime, musique de Hervé, théâtre des Variétés, .
La Veuve du Malabar, opéra-bouffe en trois actes, avec Alfred Delacour, théâtre des Variétés, .
La Jolie Parfumeuse, opéra-comique en trois actes, avec Ernest Blum, musique de Jacques Offenbach, théâtre de la Renaissance, .
Bagatelle, opéra-comique en un acte, avec Ernest Blum, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Bouffes-Parisiens, .
La Famille Trouillat, ou la Rosière d'Honfleur, opérette bouffe en trois actes, avec Ernest Blum, musique de Léon Vasseur, théâtre de la Renaissance, .