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établissement universitaire canadien situé à Montréal De Wikipédia, l'encyclopédie libre
HEC Montréal (précédemment École des hautes études commerciales de Montréal) est un établissement universitaire québécois situé à Montréal (Canada), dans l'arrondissement Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce.
Fondation |
1907 |
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Type |
Grande École de commerce |
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Nom officiel |
École des hautes études commerciales (HEC) |
Régime linguistique | |
Fondateur |
Chambre de commerce de Montréal |
Recteur | |
Directeur |
Federico Pasin |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
13 046[1] |
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Enseignants |
Plus de 260 professeurs |
Budget |
127 millions $ |
Pays | |
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Ville |
Fondée en 1907, elle est la plus ancienne des écoles de commerce et d'administration du Canada. Ayant formé une bonne partie de l’élite administrative québécoise et canadienne, HEC Montréal se classe parmi les plus importantes et meilleures écoles de gestion en Amérique du Nord. La langue d'enseignement est le français, mais certains cours et programmes sont aussi offerts en anglais et en espagnol. L'École a décerné plus de 86 400 diplômes depuis 1907. Elle est affiliée à l'Université de Montréal depuis 1957, laquelle décerne tous ses diplômes[2].
HEC Montréal est la première école d'affaires nord-américaine à avoir obtenu les trois accréditations les plus prestigieuses du monde de l'enseignement de la gestion : Association to Advance Collegiate Schools of Business (États-Unis), AMBA (Royaume-Uni) et EQUIS (Europe). Outre ceci, HEC Montréal est membre de la Conférence des grandes écoles et de l'Institut indo-canadien Shastri.
L'École des hautes études commerciales de Montréal est fondée le , sous le nom d'École des hautes études commerciales. Comme le rappelle l’universitaire Adrien Jean-Guy Passant, les fondateurs de HEC Montréal voyagent en Europe afin d'y visiter les meilleures écoles de commerce et s’en inspirer. Trois écoles, en particulier, sont retenues : l’École Supérieure de Commerce de Paris (fondée en 1819), l’École des Hautes Études Commerciales de Paris (fondée en 1881) et l’Institut Supérieur du Commerce d’Anvers (fondé en 1852)[3]. Bâtie sur le modèle des grandes écoles à la française, l'École est autonome et n'a alors aucun lien avec une université. C'est une première au Canada et en Amérique du Nord : l'Église, qui contrôle les universités, s'oppose fortement à ce projet. Elle décourage ses étudiants des séminaires et des collèges classiques de se rendre à HEC[4].
Malgré les difficultés de financement et l'opposition de l'Église, l'École voit le jour sous la présidence d'Isaïe Préfontaine, avec pour premier directeur Auguste-Joseph de Bray, un jeune professeur belge de 33 ans.
Aujourd'hui, l'École est jalonnée de contributions concrètes au développement de l'économie du pays et à celui de l'enseignement de la gestion.
Le premier bâtiment de l'École est le « Square Viger[5] » (aujourd’hui l'édifice Gilles-Hocquart), au coin des rues de la Gauchetière et Saint-Hubert, dans le Vieux-Montréal. Sa construction débute le : sa première pierre est posée par le premier ministre Lomer Gouin. Le pavillon accueille ses premiers étudiants en 1910.
Ces derniers sont au programme de « licence en sciences commerciales et maritimes » et sont au nombre de 32. Le directeur veut avoir un enseignement moderne, c'est pourquoi il introduit un « bureau commercial », sorte d'ancêtre de la méthode des cas, où sont simulées des opérations bancaires et commerciales. Il envisage même d'avoir recours au cinéma[6].
En 1916, Auguste-Joseph de Bray démissionne, à cause de son opposition perpétuelle avec Isaïe Préfontaine. Henry Laureys lui succède et s'oppose également au président, qui finit par ne pas renouveler son mandat en 1919.
Henry Laureys crée les cours du soir de l'École des hautes études commerciales de Montréal, pour faire augmenter le nombre d'inscrits à l'École en fournissant une formation continue à des adultes. Ce sont les premiers cours du soir proposés au Canada.
De 1926 à 1957, l'École perd temporairement son indépendance et elle est placée sous la tutelle de la corporation des écoles techniques et professionnelles, mise en place par le gouvernement du Québec. Cette corporation regroupe l'École des hautes études commerciales de Montréal, les écoles techniques, les écoles des beaux-arts et les écoles d'arts et métiers. En 1958, l'École s'affilie à l'Université de Montréal[7], ce qui lui rend une certaine autonomie tout intégrant la coupole de la plus grande université du Québec[8]. L'École ouvre dès lors ses portes à la recherche scientifique, dont la coordination revient à l'UdeM[9].
En 1970, Robert Bourassa inaugure l'édifice Decelles de l'École des hautes études commerciales de Montréal, « l'École sur la montagne », sur le campus de la Montage de l'Université de Montréal[10]. Il est conçu par l’architecte Roland Dumais. Les étudiants utilisent toutefois l'expression « bunker » pour le désigner. En effet, sa forme, de même que l'utilisation (certains[Qui ?] diront excessive) du béton pour la façade et l'absence de fenêtres imposent l'expression dans le vocabulaire des étudiants.
En 1972, Paul Dell'Aniello (HEC 1955) devient directeur de l'École. L'année de son arrivée, le programme de B.A.A., classes du soir est créé. Roger Charbonneau reprend temporairement le poste à son départ en 1974, suivi de Pierre Laurin en 1975 (HEC 1963).
C'est finalement en 1976 que le programme de Ph. D. est proposé, en collaboration avec les universités McGill, Concordia et l'UQAM. Le programme de M. Sc. (maîtrise ès sciences en gestion) est créé la même année. Cette évolution est perçue comme majeure pour les étudiants et les professeurs de l'École des hautes études commerciales de Montréal, car l'École commence véritablement à enseigner au niveau des 2e et 3e cycles et ne se contente plus de la formation initiale au baccalauréat et au certificat[11].
Sous la présidence de Pierre Harvey, arrivé en 1982 (HEC 1948), on fête les 75 ans de l'École en la présence de René Lévesque. Le 7e étage du bâtiment Decelles est inauguré à cette occasion. Il est remplacé en 1987 par Jean Guertin (HEC 1965) qui crée le programme de D.E.S.S. (diplôme d'études supérieures spécialisées) : un programme court d'un an qui vise à apporter une compétence supplémentaire et plus pointue à un élève disposant déjà d'un baccalauréat.
En 1988, les Jeux du commerce sont créés. Il s'agit d'une compétition interuniversitaire dans laquelle les étudiants venant de tout le Canada concourent dans les domaines sportif et scolaire.
C'est en 1992 que le projet de nouveau campus est lancé : celui-ci sera terminé juste après l'arrivée de Jean-Marie Toulouse en tant que directeur, en 1995.
L'édifice est de nouveau utilisé depuis 2012 après une rénovation majeure de l'intérieur et de la façade du bâtiment.
Le nouveau campus principal de l'École des hautes études commerciales de Montréal, situé sur le chemin de la Côte-Sainte-Catherine, dans l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est inauguré en 1996 par le premier ministre Lucien Bouchard. Œuvre de l'architecte Dan Hanganu et Jodoin Lamarre Pratte et Associés[12], cet imposant pavillon est un ajout controversé au quartier, comme son prédécesseur, l'édifice Decelles. Il remporte en 2000 un prix d'excellence en architecture dans la catégorie « Architecture institutionnelle » mais sa monumentalité et son apparence industrielle sont souvent décriés et il se mérite un prix Citron en 1996 de Sauvons Montréal, qui la juge « la construction la plus laide de Montréal »[13].
De plus, 44 salles de l'École reçoivent le nom d'un commanditaire (particulier ou entreprise) pour le financement du nouveau bâtiment. L'École devient aussi membre associée de la Conférence des grandes écoles (CGE) en France la même année.
La salle des marchés de l'École est inaugurée en 1997 : celle-ci est conçue pour pouvoir être utilisée comme salle « de secours » au cas où la Bourse de Montréal aurait un problème technique majeur. C'est un don de Lévesque Beaubien Geoffrion à l'École qui permet une telle salle. Maintenant connue sous le nom de la Salle des marchés FBN, la Financière Banque Nationale ayant acquis Lévesque Beaubien Geoffrion, elle est rénovée en 2007 afin de rester à l'avant-garde technologique.
Ce nouveau campus est accompagné de la création du programme de MBA intensif (traduction française de full time MBA) et est suivi en 1997 du programme Virtuose, qui vise à utiliser au maximum les technologies de l'information dans l'éducation. Ce programme commence en 1997 au MBA, puis en 1998 au B.A.A. Le pavillon est entièrement équipé de prises réseau Ethernet pour que chaque personne ait accès à Internet et à l'intranet de l'École.
En 2006, Michel Patry devient le 10e directeur de l'École des hautes études commerciales, devenue HEC Montréal en 2002.
Le , Federico Pasin devient le 11e directeur de HEC Montréal. Son mandat est d'une durée de quatre ans[14].
Depuis le 17 octobre 2019, un nouvel édifice est en construction au centre-ville d'affaires, sur la rue De La Gauchetière, à côté de la basilique Saint-Patrick. Le projet est dessiné par la firme montréalaise Provencher_Roy[15]. Son ouverture est prévue pour l'été 2022[16].
Elle porte le nom de l'édifice Hélène-Desmarais en reconnaissance de l’engagement de cette femme d’affaires québécoise envers son alma mater, ainsi que d’un don de 7 millions $ de la famille Paul et Hélène Desmarais[17].
En 2002, la direction décide d'officialiser le nom « HEC Montréal », déjà largement utilisé, dans le but de différencier l'École des autres établissements comme HEC Paris (maintenant à Jouy-en-Josas en banlieue parisienne) ou HEC Lausanne, et ainsi développer la visibilité internationale de l'École.
Années de service | Directeur | |
---|---|---|
1er | 1907-1916 | Auguste-Joseph de Bray |
2e | 1916-1938 | Henry Laureys |
3e | 1938-1962 | Esdras Minville |
4e | 1962-1972 | Roger Charbonneau |
5e | 1972-1974 | Paul Dell'Aniello |
1974-1975 | Roger Charbonneau (2e fois directeur) | |
6e | 1975-1982 | Pierre Laurin |
7e | 1982-1987 | Pierre Harvey |
8e | 1987-1995 | Jean Guertin |
9e | 1995-2006 | Jean-Marie Toulouse |
10e | 2006-2019 | Michel Patry |
11e | 2019-actif | Federico Pasin |
HEC Montréal offre des programmes de premier, deuxième et troisième cycles; des formations pour les dirigeants ainsi qu'une plateforme de cours en ligne.
Le microprogramme de premier cycle est une formation courte de 15 crédits qui permet d’acquérir les compétences pratiques et théoriques nécessaires à l’exercice d'une profession. Il peut, à certaines conditions, mener à l’admission à un programme de certificat.
Les microprogrammes de premier cycle sont les suivants :
Le certificat est un programme de perfectionnement conçu principalement pour des études à temps partiel. Il est toutefois possible d’étudier à temps plein dans plusieurs spécialisations (durée minimale d'un an pour les étudiants inscrits à temps plein). Le certificat est un diplôme dans un domaine spécialisé de la gestion (plus d'une vingtaine de spécialisations) exigeant 30 crédits universitaires nord-américains de premier cycle.
Il est possible d'obtenir un baccalauréat par cumul de trois certificats en respectant certaines conditions spécifiques[18].
Les programmes de certificats sont les suivants :
Le B.A.A. est un diplôme sanctionnant 90 crédits universitaires nord-américains de premier cycle. C'est un diplôme généraliste, auquel s'ajoute une spécialisation lors de la 3e année.
Le programme est accessible aux étudiants ayant déjà complété 13 années de scolarité (notamment les étudiants détenant un DEC québécois et les bacheliers français d'une série S ou ES spécialité mathématiques ayant réussi une année préparatoire à HEC Montréal, une année de classe préparatoire scientifique ou commerciale ou une année universitaire)[19].
Lors de la 3e année, le B.A.A. peut être spécialisé dans les domaines suivants :
Les étudiants du programme peuvent combiner deux spécialisations (option mixte) ou ne pas choisir de spécialité pour mener à bien un projet précis (option personnalisée).
L'option personnalisée offre la possibilité aux étudiants du programme de B.A.A de suivre la moitié de leurs cours de spécialité au sein d'un établissement universitaire extérieur à HEC Montréal, dans le cas ou le projet de l'étudiant inclut une discipline non-offerte au sein d'HEC Montréal (en sciences, par exemple).
Trois cheminements : en français, bilingue, trilingue
Les étudiants peuvent choisir entre trois profils différents : le programme régulier (majoritairement en français, avec des cours optionnels disponibles en anglais), le programme bilingue (avec plusieurs des cours de base en anglais, et des cours optionnels disponibles en français ou en anglais) et le programme trilingue (avec les cours de base en anglais, français et espagnol, et l'obligation de faire un échange à l'étranger ou un Campus international).
L'année préparatoire peut désormais être faite seulement en français, et des cours intensifs d'espagnol sont également proposés.
Programme d'échanges
Le programme d'échanges de HEC Montréal compte parmi les plus vastes au Canada, avec plus d'une centaine de partenaires dans plus de 35 pays. Parmi les universités partenaires, on retrouve des écoles comme WHU - Otto Beisheim School of Management et Mannheim en Allemagne, 3 universités à Buenos Aires et 12 en Australie, 2 au Chili, 4 en Chine (dont la très connue Tsinghua University), ESADE, Universidad de Navarra et 6 autres écoles en Espagne, ESCP, Sciences Po, EMLYON, EDHEC et 6 autres écoles en France, 4 écoles à Hong Kong, 2 en Italie dont Bocconi, 5 aux Pays-Bas dont RSM Erasmus et Tilburg, 8 au Royaume-Uni dont Warwick, 3 écoles à Singapour dont la NUS, une dizaine dans les pays Scandinaves, 3 écoles en Suisse (dont l'Universität St. Gallen) et des écoles au Japon, en Corée du Sud, en Thaïlande, à Taïwan et dans plusieurs pays européens et d'Amérique du Sud.
La M. Sc. est un diplôme de second cycle. Le programme permettant d'obtenir la M. Sc. est d’une durée de 2 ans. Les étudiants sont inscrits au programme de la M. Sc. à temps plein et de jour seulement. Le programme de M. Sc. exige 45 crédits universitaires nord-américains. En comparaison avec les masters du système éducatif européen, la M. Sc. de l'école tend à être plus orientée vers la recherche et la compréhension approfondie de la théorie. Le programme permet d'obtenir une expertise de pointe dans une spécialité de la gestion. La grande majorité des diplômés du programme travaille pour des entreprises privées, publiques ou parapubliques dans des postes d'analystes et de consultants. Une minorité poursuit des études de troisième cycle. Le programme menant à la M. Sc. est accessible aux étudiants disposant déjà d'un diplôme attestant un premier cycle complet (baccalauréat québécois, Master 2/Bac +5 pour les candidats français; exceptionnellement un étudiant ayant complété un Master 1/Bac +4 peut être admis, bachelor anglais ou américain) dans un domaine de la gestion ou l'équivalent (droit, psychologie, économie, ingénierie, actuariat, etc.).
Le programme permettant d'obtenir la M. Sc. offre les spécialisations suivantes :
Les maîtrises professionnelles sont des programmes menant à un diplôme de 2e cycle universitaire, offrant une formation spécialisée en gestion axée sur un secteur d’activité, une thématique ou une profession.
Les maîtrises professionnelles offertes à HEC Montréal sont les suivantes :
La maîtrise internationale en management des arts est offerte par HEC Montréal et le Département de gestion des arts et d’entrepreneuriat culturel de la Southern Methodist University, en collaboration avec la SDA Bocconi School of Management. Elle inclut une session de quatre mois sur les campus de chacune des trois institutions partenaires soit Dallas, Montréal et Milan.
Le D.E.S.S. est un diplôme professionnel de second cycle. Les programmes permettant d'obtenir le D.E.S.S. ont d’une durée minimale d’un an pour les étudiants inscrits à temps plein et d’une durée maximale de quatre ans pour les étudiants inscrits à temps partiel. Les programmes menant au D.E.S.S. exigent 30 crédits universitaires nord-américains. Les programmes menant au D.E.S.S. sont accessibles aux élèves disposant déjà d'un diplôme attestant un premier cycle complet (baccalauréat québécois, licence française, bachelor anglais ou américain). Chaque programme menant au D.E.S.S. a sa propre structure de cours et ses propres critères d'admission.
Les programmes de D.E.S.S. offerts à HEC Montréal sont les suivants :
Les microprogrammes sont des formations courtes de 2e cycle, qui privilégient les apprentissages pratiques et le développement des compétences spécifiques d'une profession ou d'un secteur d'activité. Les microprogrammes comportent 15 crédits et donnent lieu à une attestation d’études.
Les microprogrammes offerts à HEC Montréal sont les suivants :
Le programme de formation professionnelle (PFP) de CPA Canada est offert par l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (CPA), en partenariat avec HEC Montréal et la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval (FSA ULaval). Ce programme de niveau deuxième cycle universitaire d’une durée de 16 à 24 mois permet d’acquérir la formation nécessaire pour se présenter à l’examen final commun (EFC), soit l’examen professionnel CPA, en poursuivant des études à temps partiel tout en occupant un emploi.
L’offre de formation de l’École des dirigeants HEC Montréal s’articule autour de cinq types de programmes :
Le programme de MBA de HEC Montréal est offert en français et en anglais. Il est possible de le suivre à temps plein ou à temps partiel. Il accueille actuellement environ 175 étudiants à temps plein, dont 50 % proviennent de l’étranger, et 250 étudiants à temps partiel.
Le programme d'EMBA (Executive MBA) de HEC Montréal est offert en collaboration avec l'Université McGill (EMBA McGill-HEC Montréal). Les participants peuvent achever le programme en 15 mois tout en poursuivant leurs activités professionnelles.
Offert en collaboration avec Polytechnique Montréal, le MBA-ITC (innovation technologique et commercialisation) est réservé aux ingénieurs.
Le programme de doctorat (Ph. D.) en administration est bilingue (français et anglais) et est offert conjointement par HEC Montréal et les universités Concordia, McGill et du Québec à Montréal.
Les spécialisations sont les suivantes :
EDUlib est une plateforme de cours en ligne gratuits et ouverts à tous, portée par HEC Montréal, Polytechnique Montréal et l’Université de Montréal. Elle permet à tous les publics d’accéder à des cours variés et de qualité où qu’ils soient dans le monde. Tous les cours présentés sur EDUlib sont conçus et animés par des professeurs des trois établissements et leurs partenaires universitaires internationaux.
L'École abrite de nombreuses associations étudiantes. Les principales quant au nombre de personnes sont l'AEHEC, qui représente les étudiants au baccalauréat en administration des affaires, l'AEPC, les étudiants des programmes de certificat, l'AECS, les étudiants aux cycles supérieurs, ainsi que la SRA (Société de relations d'affaires), qui organise des conférences et des rencontres avec des professionnels de différents domaines.
Les domaines couverts par les associations sont nombreux. Ces regroupements ont pour la plupart le but de faire découvrir un domaine particulier aux étudiants de l'École.
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