Loading AI tools
écrivaine française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Germaine Mornand, née Poidatz le dans le 16e arrondissement de Paris et morte le à Chantilly[1], est une femme de lettres et écrivaine française.
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 88 ans) Chantilly |
Nom de naissance |
Germaine Poidatz |
Nationalité | |
Activité | |
Père | |
Fratrie | |
Conjoint |
Distinction |
---|
Elle est la fille de Marguerite Francœur, elle-même arrière-petite-fille de Louis-Benjamin Francœur, et d'Henry Poidatz.
Elle reçoit le prix Montyon en 1947 pour sa biographie de Daisy-Georges Martin[2].
Elle épouse le l'homme de lettres Pierre Mornand (1884-1972)[3] , avec qui elle reçoit le prix Auguste Furtado de l'Académie française en 1937 pour leur ouvrage commun Désertion.
Elle est la sœur d'Ellen Poidatz (1885-1948)[4].
C’est à partir de sa quarantaine que Germaine Mornand écrit, lancée dans l’action sociale avec Union féminine civique et sociale, où elle agit tant par des visites auprès de responsables politiques que par des articles dans la revue internationale du mouvement : Notre journal -La Femme dans la vie sociale. « …ces rubriques, signées habituellement par Germaine Mornand ou Marguerite Perroy, sont rédigées avec un style plus léger, abordant les problèmes de société tels qu'ils sont vécus par des personnages familiers du milieu populaire. » [5].
L’activité sociale de Germaine Mornand s’étendit largement à l’une des multiples fondations de l’abbé Jean Viollet, l’Association du mariage chrétien (AMC)[6] non seulement par des parutions aux Éditions familiales de France note mais aussi par la réalisation heureuse, au sein de cette association, de tant de mariages chrétiens grâce à son intermédiaire.
Les thèmes de son œuvre portent donc essentiellement sur les personnes dont la société se devait d’améliorer la condition : l’enfant et la femme (mère, femme au travail, prostituée) mais aussi la famille, le couple.
C’est dans cet esprit qu’elle rejoignit la presse pour la jeunesse, telles les Éditions Gautier-Languereau de 1927 à 1940 par des nouvelles et articles. Et dans l’hebdomadaire Le Pèlerin du 20e siècle ; elle avait sa rubrique : Le 3e Âge de 1945 à 1972[7].
« Bien avant 1931, elle faisait partie des femmes écrivains catholiques » indique Pierre Mornand.
Sept brochures in-8° de 14 pages :
Dans le périodique de l’UFCS intitulé : La Femme dans la vie sociale internationale[8].
À partir de décembre 1943, La Femme dans la vie sociale devient Notre Journal : la Femme dans la vie sociale
Publications pour l’AMC : Éditions familiales de France
De 1929 à 1936, six nouvelles dans la Semaine de Suzette [12].
Il ne faut pas déduire de ce schéma que Désertion soit un roman tout à fait austère. Il l'est un peu. C'est un roman moral ; mais le style en sait être, quand il convient, léger, souriant, alerte familier même. C'est un bon roman. » H.S. in L'Oeuvre 27 aout 1935 (n°7270) p.6.
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.