Galey

commune française du département de l'Ariège De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Galey est une commune française située dans l'ouest du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.

Faits en bref Administration, Pays ...
Galey
Galey
Le singulier monument aux morts de Galey.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Laurence Bugat
2020-2026
Code postal 09800
Code commune 09129
Démographie
Gentilé Galeyats
Population
municipale
113 hab. (2022 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 56′ 13″ nord, 0° 54′ 59″ est
Altitude Min. 636 m
Max. 1 566 m
Superficie 9,35 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Couserans Ouest
Législatives Première circonscription
Localisation
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Galey
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Galey
Liens
Site web http://galey.fr
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    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Galey est une commune rurale qui compte 113 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 807 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Galeyats ou Galeyates.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Quintin, inscrite en 1998, et l'église Saint-Pierre, inscrite en 1996.

    Géographie

    Résumé
    Contexte

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    La commune dans le département
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    Carte OpenStreetMap
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    Carte topographique
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    Avec les communes environnantes
    • 1Carte dynamique
    • 2Carte Openstreetmap
    • 3Carte topographique
    • 4Carte avec les communes environnantes

    La commune de Galey se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 56 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 20 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Augirein (0,5 km), Saint-Jean-du-Castillonnais (1,3 km), Orgibet (1,7 km), Saint-Lary (1,9 km), Buzan (4,0 km), Herran (4,1 km), Illartein (4,1 km), Portet-d'Aspet (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Galey fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].

    Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans au sud-ouest de Saint-Girons, dans la vallée de la Bellongue.

    Elle fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

    Elle est limitrophe du département de la Haute-Garonne.

    Géologie et relief

    La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1073 - Aspect » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée.

    Le sommet du Cornudère, à 1 566 m d'altitude, est le point le plus haut de la commune[8].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 9,35 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,48 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 930 mètres. L'altitude du territoire varie entre 636 m et 1 566 m[12].

    Hydrographie

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    Réseaux hydrographique et routier de Galey.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par Goute de Sipet, le ruisseau d'Artigueprat et le ruisseau de Bidarros, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[14],[15].

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[17].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 193 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Augirein à km à vol d'oiseau[18], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 257,9 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22],[23].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[25] : les « massifs d'Arbas, Paloumère et Cornudère » (3 917 ha), couvrant 22 communes dont 4 dans l'Ariège et 18 dans la Haute-Garonne[26], et le « réseau hydrographique de la Bouigane en aval de Saint-Lary » (114 ha), couvrant 14 communes dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] : le « massif d'Arbas » (27 233 ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[28].

    Urbanisme

    Résumé
    Contexte

    Typologie

    Au , Galey est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[30],[31].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,8 %), prairies (26,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

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    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Hameaux

    Hormis le village en lui-même, Galey compte plusieurs hameaux aux alentours, entre autres Escarchein et le col de la Hourque à l'est, sur la fin du cul-de-sac de la départementale D 304b, et Orchein, situé sur la D 304, entre Galey et Saint-Lary. Le hameau du Château se trouve à mi-chemin entre les villages de Galey, d'Orgibet et d'Augirein[33].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 192, alors qu'il était de 187 en 2013 et de 180 en 2008[I 2].

    Parmi ces logements, 36,1 % étaient des résidences principales, 56,6 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Galey en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (56,6 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].

    Davantage d’informations Typologie, Ariège ...
    Le logement à Galey en 2018.
    Typologie Galey[I 2] Ariège[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 36,1 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 56,6 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 7,3 9,7 8,2
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    Risques majeurs

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    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Galey.

    Le territoire de la commune de Galey est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée)[34],[35].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[36].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Galey[37]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[38].

    Étymologie

    La racine *gal proviendrait, selon toute vraisemblance, d'une langue aquitaine pré-indo-européenne, en relation avec l'espagnol galayo. Le village est à l'origine nommé Galaer ou Galauer[39].

    Histoire

    Résumé
    Contexte

    La première mention du village de Galey date du XIIe siècle, alors qu'il s'y trouve un casal (exploitation agricole auto-suffisante), Saint-Quentin de Galaer (Sent Quentini de Galaer en langue gasconne médiévale). Arnaud Bafet de Montpezat offre celui-ci aux Templiers en 1177[40]. C'est à cette époque qu'est construite l'église Saint-Pierre, qui domine le village[41]. Dès le XIIIe siècle au moins, on y cultivait la vigne[42]. En 1590, il compte une centaine d'habitants, répartis en une vingtaine de maisons[39].

    Catherine de Coarraze

    Catherine de Coarraze (1430-?)[43], dernière baronne de la dynastie, possédait le château féodal de Durfort, situé sur un plateau de l'adret de l'Arbas, en bas du village et surplombant la vallée de la Bellongue, résidence dans laquelle elle s'établit à la mort de son second époux Jean, comte de Carmaing. Il ne reste aujourd'hui plus rien de l'ancienne fortification sinon l'appellation du hameau établi sur ses prés : le Château (ec castech)[44].

    L'initiative de la construction du calvaire du village est attribuée à Madame de Coarraze, ainsi que le don d'une cloche d'argent à l'église de Galey. En réalité, elle refusa que les cloches soient refondues à Toulouse et fit procéder à ses frais à l'installation d'une fonderie et fit jeter des pièces d'argent dans le four.

    Politique et administration

    Résumé
    Contexte

    Découpage territorial

    La commune de Galey est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[46].

    Liste des maires

    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1804 Bertrand Ribet Inconnu  
    1805 1811 Pierre Castet Inconnu  
    1813 1815 Jean-Pierre Castet Inconnu  
    1815 1817 Pierre Agert Inconnu  
    1818 1826 Joseph Arnaudi Inconnu  
    1826 1830 Jean-Jacques Aubie Inconnu  
    1830 1836 Jacques Ribet Inconnu  
    1838 1848 Joseque Castet Inconnu  
    1848 1852 Martin Raou Inconnu  
    1852 1865 Joseph Castet Inconnu  
    1865 1870 Jean-Pierre Dubuc Inconnu  
    1870 1874 Guillaume Raou Inconnu  
    1874 1874 Marc Castet Inconnu  
    1874 1877 Pierre Dubuc Inconnu  
    1878 1892 Valentin Coumat Inconnu  
    1892 1896 Joseph Dubuc Inconnu  
    1896 1900 Antoine Saubens Inconnu  
    1900 1904 Pierre Sarrat Inconnu Marchand
    1904 1905 Paul Mothe Inconnu Cultivateur
    1905 1912 Charles Aubic Inconnu Cultivateur
    1912 1919 Valentin Ribet Inconnu Cultivateur
    1919 1931 François Castet Inconnu Propriétaire cultivant
    1931 1935 Marcelin Ribet Inconnu Boulanger
    1935 1945 Jean-Marie Castet
    (1882-1967)
    SFIO  
    1945 1953 André Castet Inconnu  
    1953 1977 Jean Tougne Inconnu  
    1977 1995 André Bugat PS  
    1995 2001 Georges Ribet PS  
    mars 2001 2008 Roger Lafforgue Inconnu  
    2008 2020 Patricia Dandurand Inconnu  
    mars 2020 En cours Laurence Bugat   Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.
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    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

    En 2022, la commune comptait 113 habitants[Note 5], en évolution de −5,83 % par rapport à 2016 (Ariège : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Davantage d’informations - ...
    2021 2022 - - - - - - -
    114113-------
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    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    520488571619724690750786807
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    713772692748696741692715686
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    655627666512504303306217171
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    16513112111482101108112120
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Résumé
    Contexte

    Emploi

    Davantage d’informations Division ...
    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 6]17,2 %13,4 %12,7 %
    Département[I 7]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %
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    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 77 personnes, parmi lesquelles on compte 64,6 % d'actifs (51,9 % ayant un emploi et 12,7 % de chômeurs) et 35,4 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 40, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 10].

    Sur ces 40 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 59 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 17,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    10 établissements[Note 7] sont implantés à Galey au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 10 entreprises implantées à Galey), contre 14,2 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations1445
    Superficie agricole utilisée (ha)22064183

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[51]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[52]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 9] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 183 ha[52].

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Service public

    Les écoles de Galey et de son hameau d'Escarchein ne sont plus aujourd'hui opérationnelles. L'école primaire la plus proche se trouve à Orgibet (km), et les établissements secondaires se trouvent à Saint-Girons.

    C'est également à Orgibet que passe un autobus à fréquence journalière, reliant Saint-Girons à Saint-Lary. Il n'y a aucun mode de transport en commun présent sur la commune de Galey.

    La déchetterie la plus proche se trouve à Audressein. Le village dispose de conteneurs à poubelles sur la place principale, ainsi que de conteneurs à tri sélectif sur le parking situé à 300 m.

    Galey dispose de son site internet[58].

    Culture

    Tous les ans ont lieu la fête de la Saint-Pierre, en juillet, la fête de l'été, en août, et la fête de la Pomme en automne[59].

    Activités sportives

    Un terrain de pétanque existe sur le site du parking.

    La route d'Escarchein à Galey sert aussi de parcours alternatif d'un des Chemins de Compostelle, qui normalement passe par Saint-Lary.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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    Notes et références

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