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publication géographique numérique française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Géoconfluences est une publication géographique numérique française à caractère scientifique pour le partage du savoir et la formation en géographie, mise en place à partir de 2002 et inaugurée en 2003.
Le site Géoconfluences est proposé en cotutelle par le ministère de l'Éducation nationale français, à travers la DGESCO et par l'École normale supérieure de Lyon.
Le ministère nomme un enseignant du second degré pour assurer la responsabilité éditoriale du site. Trois professeurs se sont succédé à ce poste : Sylviane Tabarly (2002-2012), Marie-Christine Doceul (2012-2016) et Jean-Benoît Bouron (depuis 2016). L'École normale supérieure de Lyon héberge la publication sur son site et en assure le pilotage et l'expertise scientifique. Un comité de pilotage, composé de membres de l'inspection générale, d'enseignants et de représentants des institutions de tutelle[1], définit les grandes orientations du site.
Le site s'adresse avant tout aux enseignants, dans la mesure où les publications accompagnent l'évolution des programmes d'enseignement de la géographie et contribuent à la préparation des concours de recrutement de l'Éducation nationale[2].
Les articles publiés sur Géoconfluences sont fréquemment recommandés aux enseignants par le site officiel des différentes académies, tels que celui de l'académie de Versailles[3], de Nice[4] ou de Strasbourg[5]. Le succès du site se vérifie également par sa fréquentation : 1,7 million de visites et 3,3 millions de pages vues en 2017[6], 3,7 millions de visites en 2022[7].
Plus de 500 auteurs et autrices, principalement géographes, ont contribué à Géoconfluences, parmi lesquels Paul Arnould[8], Natacha Aveline[9], Michel Bussi[10], Laurent Carroué[11], Gilles Fumey[12], Jean-Christophe Gay[13], Christian Grataloup[14], Michel Foucher[15], Manuelle Franck[16], Rémy Knafou[8], Pascal Marchand[17], Bernadette Mérenne-Schoumaker[18], Jean-Robert Pitte[8], Philippe Rekacewicz[19], Thierry Sanjuan[20], Hervé Théry[8], ou encore Denise Pumain[21], lauréate en 2010 du Prix Vautrin Lud, souvent considéré comme le « Prix Nobel de géographie »[22]. Le site compte plus de 2 000 ressources en ligne, accessibles gratuitement et librement, dont plus de 500 articles scientifiques et plus de 1 500 entrées de glossaire[23].
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