feuille de Morus alba De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La feuille de mûrier asiatique cultivé, mûrier blanc (Morus alba) et du mûrier noir (M. nigra) est largement utilisée dans l'alimentation animale et humaine et comme aliment fonctionnel dans la zone de primo-domestication de cette plante: Chine, Corée, Japon, ainsi qu'au nord de la Thaïlande. En Europe, la feuille de mûrier cultivé est un des ingrédients les plus utilisés dans les compléments alimentaires[1].
On en fait une décoction, le thé de feuille de murier.
La récolte des feuilles de murier en 1963 (Chine)
Les mûriers sont les arbres du genre Morus et non la ronce commune (Rubus fruticosus) parfois appelée mûrier sauvage. Au mépris de quoi, l’emploi de l’expression thé de mûrier pour désigner l’infusion de feuille de ronce est, sur internet, 29 fois plus fréquente (en ) que pour désigner l’infusion de feuilles de mûrier, source d’une regrettable confusion. L’expression thé de mûrier est, quant à elle, employée 10 fois plus souvent que son synonyme tisane de mûrier.
En anglais, Mulberry tea ne prête pas à confusion, même si Mulberry en association avec des qualificatifs divers désigne d’autres genres ou espèces d’arbres. Les dénominations chinoises sont 桑茶 (Sang cha) et plus rarement 桑树茶 (Sang chu cha), coréenne : 뽕잎차 (Ppongnip-cha), japonaises: 桑の葉茶 (Kuwa no hacha) et 桑茶 (Kuwa cha). Il existe au Japon à 相模原Sagamihara - région de culture du murier - des marques de thé de feuille de mûrier comme とうとるん (Tōto ru n) et なでしこブ (Nadeshiko bu)[4].
Aliment fonctionnel
En Chine la feuille de murier est classée 既是食品又是药品的物 (Jìshì shípǐn yòu shì yàopǐn de wù) substance à la fois aliment et médicament par le Ministère de la Santé (China National Health Commission)[5].
Shubhajit Sarkhel et Dronachari Manvi dressent (2021) un inventaire des utilisations de la feuille de mûrier:
feuille de mûrier fraiche non séchée: fourrage (vers à soie, animaux), alimentation humaine (smoothie et salades ou brèdes, sous le nom de 桑芽菜 (sāng yá cài) pousses de mûrier elles sont un alicament qui sera préconisé par l'Administration d'État chinoise de médecine lors de l'épidémie de grippe H7N9 en 2013[réf.nécessaire].
feuille de mûrier séchée: en poudre (pâtisserie, thé, soupe de tomate, glace) ou en extraits, lyophilisat (huile essentielle ou complément alimentaire en capsule ou tablettes) [6],[7],[8]. Une société de capital-risque d'Okinawa a développé avec succès (2021) un complément alimentaire de poudre de murier à diluer pour supprimer les augmentations postprandiales de la glycémie et des triglycérides[9].
Feuille de murier en poudre (matcha de murier) vendu au Canada[10]la teinture mère de feuille de murier est une forme concentrée et faiblement alcoolisée d'alcoolature souvent réalisée à partir de feuille de Morus nigra[11].
Récolte
Au Japon, indépendamment de la variété, des feuilles récoltées en août et fin septembre présentent le meilleur bénéfice pour la santé[12]. Une publication chinoise (2021) sur des feuilles de mûrier fraîches récoltées à Hanzhong, province du Shaanxi, du 9 octobre au 5 décembre montre que le froid (premier gel le 23 octobre) engendre un enrichissement significatif en flavonoïdes. Cette étude a vérifié que des gènes liés à la biosynthèse des flavonoïdes des feuilles de mûrier augmente en réponse au stress du refroidissement, elle préconise une récolte tardive[13].
Transformation - séchage
Des mesures réalisées sur un thé de feuilles de murier polonaises var. zolwinska wielkolistna, après un cycle complet (broyage, séchage, conditionnement, infusion) montrent l'effet bénéfique du temps de conditionnement: teneur accrue en composés bioactifs et activité antioxydante élevée [14].
Le séchage traditionnel n'est pas le seul moyen de conserver les principes nutritionnels et pharmacologiques de la feuille de mûrier, le séchage à l'air chaud par rayonnement infrarouge lointain, l'extraction par micro-ondes, fluide supercritique, haute pression et résine macroporeuse sont des méthodes d'extraction soutenables qui réduisent le temps de traitement et améliorent le rendement. Une étude indienne (2021) a fait une synthèse des recherches en cours sur ce sujet[15]. Une équipe chino-camerounaise (2022) observe que le séchage par pulvérisation conduit à la moindre perte de biomolécules, la lyophilisation est la méthode de séchage qui préserve le mieux l'activité antioxydante de l'extrait pulvérulent de feuille de mûrier[16].
Infusion de feuilles sèches
thé de feuille de mûrier (Morus alba)
Comme celle du thé de camélia, les feuilles sont travaillées de diverses manières, en vert (il existe sous forme pulvérulente des matcha de feuille de mûrier[17]), grillées[18], malaxées à chaud en Corée[19], à la vapeur en Chine[20]; et finalement séchées à haute température, jusqu'à 105°C[21], au four. Ce mode de séchage, comme la lyophilisation, conserve les meilleures capacités anti-oxydantes[22]. Les propriétés antioxydantes de la feuille sèche dépendent directement de la température de séchage (40 à 70°C=105 à 160°F)[23].
L'infusion de 4 g/l d'eau proche de son point d'ébullition[24],[25] se fait en 3 à 5 min[26]. Cette infusion, claire et douce, est traditionnellement bue après le repas, même si certains préconisent de la boire en apéritif[27]. La dose usuelle est de quelques tasses par jour, il n'existe pas d'étude précise sur les doses recommandées. Ce thé est commercialisé en sachet infusette en Indonésie (2021) [28].
Une publication chinoise (2023) a montré que le thé vert dérivé des feuilles de mûrier crues présente chez la souris une efficacité hypolipémiante supérieure à celle du thé noir (fermenté) de feuilles de mûrier, il diversifie et améliore le microbiote intestinal (augmentation spectaculaire du rapport Firmicutes/Bacteroidota) et ses métabolites sont en corrélation avec l’effet hypolipidémiant[29].
Feuille de mûrier blanc
Infusion de feuilles fermentées
Comme le thé noir ou le thé oolong de camélia plus ou moins fermenté, la composition du thé de mûrier fermenté est différente de celle du vert séché; il contient davantage de glucides et de cystine et moins de lipides[30]. L'activité antioxydante de thé de feuille de mûrier fermentée est supérieur à son homologue crue, de même le niveau de GABA croit avec la durée de fermentation [31],[32]. Une publication chinoise (2021) a établi les conditions optimales de fermentation du thé de feuille de mûrier en présence de ferment 大曲 (dàqū), Aspergillus utilisé pour la fermentation du riz: humidité des feuilles 65%, quantité de ferment 8%, teneur initiale en sucre 6%, température de fermentation 30°C=85°F[33].
La feuille de mûrier fermentée par des ferments lactiques a un effet laxatif chez le rat [34]. Chez la souris diabétique l'extrait aqueux feuilles de murier fermentées a un effet inhibiteur l'α-glucosidase et modifie les anomalies du microbiote intestinal en favorisant la croissance de micro-organismes bénéfiques (Coriobacteriaceae, Dubosiella, Lactobacillus et Bifidobacterium) avec pour conséquence une atténuation des troubles métaboliques (2023)[35]. Des essais chinois (2023) de fermentation avec inoculation d'Eurotium cristatum (champignon probiotique potentiel utilisé pour améliorer la qualité du thé Fuzhuan) augmente la teneur en pigments (théabrownine) et l'activité inhibitrice de l’α-glucosidase[36] et aurait une action favorable sur l'équilibre du microbiote intestinal et favorisait la croissance de micro-organismes bénéfiques[37].
D'après une publication coréenne le gout du thé de feuille de murier fermentée cuit salé vinaigré est meilleur que le thé de mûrier cru non condimenté (la fermentation s'obtient en mettant du koji pendant 12 h sur des feuilles cuites à la vapeur, salées et vinaigrées) [38].
Kanzaki神埼市 (Kanzaki-shi), préfecture de Saga, produit un thé Kanzaki Kuwabishi神埼桑菱 [びし]茶 (Kanzaki kuwa bishi cha) qui est un mélange de feuilles de murier et de la plante aquatique trapa (Trapa japonica), il est commercialisé dans le double but de prolonger l'espérance de vie en bonne santé et de régénérer les terres cultivées abandonnées [40],[41].
Ppongnip-cha, thé de feuille de mûrier en Corée
La composition de la feuille de mûrier varie sensiblement selon sa provenance[42], les cultivars, le séchage, la fermentation[43]. Une étude chinoise (2022) portant sur 12 échantillons de différentes provinces a montré que les conditions pédoclimatiques les zones de plantation modifient la composition de la matière végétale du mûrier et entraîne des différences dans les bioactivités: une faible amplitude thermique augmente l'effet anti-apoptotique, une irrigation suffisante favorise l'effet antioxydant[44].
Les extraits alcooliques étant les plus couramment analysés. Outre des minéraux[45], les principaux composés organiques sont de nombreux polyphénols (la quercétine 3- (6-malonylglucoside) et la rutine étant prédominantes[46]), des lectines, les oligosaccharides, des enzymes, des inhibiteurs d'enzymes digestives, des vitamines, et des acides gras insaturés[43] ainsi qu'une série d'anti-oxydants spécifiques à la feuille de mûrier[47]. Une publication chinoise (2020) recommande de vérifier la présence de 2 composants (quercétine 3‐O‐malonylglucoside et le kaempférol 3‐O‐malonylglucoside) dans les feuilles à usage thérapeutique, ils fonctionnent comme des analogues de la ghréline, en augmentant la sécrétion d'hormone de croissance des cellules de l'hypophyse chez le rat et sont suspectés être des ingrédients clé pour l'activité anti-âge [48]. Une publication indienne (2021) traitant de l'utilité de la mélatonine dans les infections à coronavirus note que la forte teneur des jeunes feuilles fraiches est presque totalement détruite (-87%) par le traitement thermique lors du séchage [49].
Une publication indienne (2021) a donné les composants nutritionnelles de la poudre de feuilles sèches (pour 100 g): protéines 19 g, calcium 581 mg, fer 21 mg, vitamine A9,21 g et vitamine C18 mg[50].
L'activité anti-oxydante donne lieu à 25 publications scientifiques par an en moyenne depuis 2011, un bon potentiel comme source de composés phyto-chimiques avec des activités biologiques éprouvées et comme matière première de l'industrie pharmaceutique lui est actuellement reconnu[52].
Exsudation d'un latex toxique pour les insectes lors de la récolte des pousses du mûrier blanc [53]
En Chine, au Festival culinaire de Bashan, district de Dachuan, on peut déguster des poupées de nouilles aux feuilles de mûrier, beignet de feuille de murier, des petits pains aux feuilles de mûrier, du baba aux feuilles de mûrier et des nouilles aux feuilles de mûrier [54].
Le pharmacien japonais créateur de la marque 桑茶TEA&EAT (Kuwacha tea & eat) recommande de prendre son thé de feuille de murier avant le repas: 食べる前に飲む、桑茶でスマート習慣 (Taberu mae ni nomu, kuwacha de sumāto shūkan) «Boire avant de manger, bon reflexe avec le thé au mûrier»[55].
L'extrait de feuille de murier torréfiée est un complément fonctionnel des aliments qui présente un meilleur score sensoriel que l'extrait de thé vert. Sa vocation comme additif aux produits commerciaux est étudiée en Corée (2021), les yaourts avec extrait de feuille de murier ont des teneurs totales élevées en anthocyanes, dérivés phénoliques et flavonoïdes et une forte capacité de piégeage du DPPH, le murier torréfiée a montré l'activité inhibitrice de la glucosidase la plus élevée comparé aux feuilles non traitées et aux feuilles cuites à la vapeur[56].
Pharmacologie végétale et animale
Les feuilles de mûrier utilisées comme fourrage non conventionnel à moins de 12% du régime de finition des porcs noirs Xiangcun régulent la capacité antioxydante et le métabolisme des lipides [57].
La feuille de mûrier est traditionnellement la nourriture des vers à soie chez qui elle favorise la croissance [58]. Les études récentes montrent que la feuille de mûrier agit sur le microbiote en phase larvaire[59],[60]. Les métabolites fécaux de ces larves sont tous affectés par un régime comprenant des feuilles de mûrier fraiches [61].
Chez les ruminants, la feuille de mûrier augmente la digestibilité des aliments et la production de lait tout en réduisant les émissions de méthane, en atténuant le stress oxydatif [62].
Selon le moment du traitement, l'extrait aqueux de feuilles de mûrier à faible concentration favorise le développement des graines de moutarde et de concombre, à l'inverse une concentration moyenne ou élevée est nuisible [63].
Fruits et feuilles du mûrier noir (Morus nigra)
Pharmacologie humaine
Un essai clinique en double aveugle contrôlé par placebo sur humains a montré (2020) que le thé de feuille de mûrier atténue les lésions athéroscléreuses chez les patients atteints de maladie coronarienne, éventuellement via la 1‐désoxynojirimycine [64].
In vitro, lors de sa digestion, la fraction digérée intestinale pourrait significativement réduire le pH et augmenter les concentrations d'acides gras à chaîne courte du microbiote intestinal humain[65]. D'après une synthèse chinoise (2020) les composants de la feuille de mûrier peuvent affecter l'intestin humain, favoriser la digestion, d'absorption et de transport de l'intestin grêle, ajuster l'équilibre de la flore, améliorer la fonction de barrière de la muqueuse intestinale et faciliter la récupération des maladies intestinales[66]. In vivo chez la souris une analyse de l'évolution du microbiote intestinal sous l'action de l'eau feuille de murier met en évidence des altérations de proportions de métabolites qui peuvent expliquer son action favorable dans la physiopathologie du diabète sucré de type 2[67].
Des alcaloïdes polyhydroxylés (iminosucres) des feuilles de mûrier sont signalés dans un synthèse parue au Japon (2021) pour leur activité de modulation du microbiote intestinal[70].
Les jeunes feuilles de mûrier sont consommées en Chine après avoir été blanchies à l'eau bouillante
Diabète
Les extraits de feuilles sont impliqués dans la régulation des anomalies métaboliques des glycolipides (in vitro, modèle murin, et sur humains) [71]. On trouve (2022) dans la revue systématique et la méta-analyse d'essais cliniques randomisés publiée par une équipe chinoise (Wenyu Cui et al.), les éléments de synthèse suivants:
Les principales analyses montrent que la supplémentation en extraits de feuille de mûrier a réduit significativement la glycémie à jeun, mais est sans effet visible sur le niveau d'insuline plasmatique à jeun,
la supplémentation gagne en efficacité pour la régulation des traits glycémiques chez les sujets diabétiques si sa durée est longue (supérieure à 8 semaines),
la régulation glycémique peut être attribuée aux composés phytochimiques, spécialement la 1-désoxynojirimycine, les flavonoïdes, les composés phénoliques et les polysaccharides[72].
Un autre essai clinique double aveugle (30 personnes atteintes de diabète de type 2) a été réalisé en Malaysie (2023) complémentées d'un mélange vitaminé avec ou sans extrait de feuille de mûrier. Le groupe avec feuille de mûrier voit une réduction significative du glucose couplée à un réponse insulinique significativement plus faible (dans l'heure qui suit, la réduction disparait après 2 h ou 3 h) qui laisse penser à une absorption gastro-intestinale réduite du glucose[73].
Des publications chinoises (2023-24) inventorient et décrivent les flavonoïdes réducteurs de la glycémie postprandiale et spécifiques à la feuille de murier (Les principaux parmi les 10 étant kaempférol, quercétine, rhamnocitrine, tétraméthoxylutéoline et norartocarpétine). Le mécanisme d'inhibition est décrit et 2 composés provoquant une inhibition mixte de l'α-glucosidase sont isolés[74], l'action inhibitrice du kaempférol sur la protéine tyrosine phosphatase PTP1B présente des effets thérapeutiques sur les symptômes du diabète[75].
La co-digestion in vitro de riz et de tisane de feuille de murier montre une action sur la cinétique de l'hydrolyse de l'amidon (concentration à l'équilibre de l'amidon hydrolysé, constante cinétique sont significativement diminués, ce qui entraînait une diminution significative de l'indice glycémique estimé avec l'ajout de la tisane). Les auteurs écrivent «ces résultats ont révélé que les tisanes préparées à partir de feuilles de mûrier [ ] réduisent potentiellement la digestibilité de l'amidon du riz cuit, alors que les composés phytochimiques jouent un rôle important dans leurs effets inhibiteurs. Ces résultats suggèrent un avantage potentiel des tisanes dans la réduction de l'hyperglycémie postprandiale ainsi que dans l'apport d'activités antioxydantes à la santé humaine. e» (2023)[76].
Thé en mélange, prunelle, feuille de murier et fleurs de chrysanthème (origine Guilin)[77]
Ethno-pharmacie chinoise
En médecine chinoise la feuille de murier est amère, douce et froide son effet est de dissiper le vent et la chaleur, de dégager le foie et d'améliorer la vue. Principales indications de la feuille de mûrier dans la médecine traditionnelle chinoise: Fièvre avec toux, yeux rouges, carence en foie, yeux faibles, toux tenace, engourdissement, engourdissement des mains et des pieds sans démangeaisons, vomissements de sang, guérit la soif des enfants, prolapsus colorectal, gonflement de la paume de la main, anthrax, les plaies de brûlure, gonflement de la gorge et maux de dents, céphalées, douleur mammaire.
En Chine, lors de l'épidémie de Covid 19 (2022) ont été développés des thé préventifs ou curatifs qui comprennent des extraits de feuilles de mûrier dans des mélanges (avec chrysanthème, zeste de mandarine, ginseng, réglisse, etc.)[78] , thé de mûrier au lys (lys, feuilles de mûrier, chrysanthème, muguet du Japon (Ophiopogon japonicus), chenpi de mandarine).
(en) Lale Duysak et al.Determination of Total Phenolic Contents and Antioxidant Activities of Different Extracts Obtained from Morus alba L. (White Mulberry) Leaf. Pharmata 2024;4(2):1-6[79].
Courte synthèse avec bibliographie à jour en licence a Creative Commons NonCommercial 4.0
(en) Maqsood, Maria, Anam Saeed, et al.Mulberry plant as a source of functional food with therapeutic and nutritional applications: A review. Journal of Food Biochemistry, Nov 2022, Vol. 46[80].
Cette revue donne des analyses par espèces de murier
(en) Wenyu Cui et al. Effect of mulberry leaf extracts on glycemic traits: A systematic review and meta-analysis. Food & Function Review. 26 Dec 2022[72].
(en) MS Rahman et SMS Islam. Synthèse publiée au Bangladesh sur l'alimentation, la santé et les perspectives environnementales du mûrier. Journal of bio-sciences, juin 2021[81]..
Ce texte (17 pages) comporte une large bibliographie
(en) Megh R. Goyal, Durgesh Nandini Chauhan. Propriétés pharmacologique du mûrierMorus alba (en anglais): Assessment of Medicinal Plants for Human Health: Phytochemistry, Disease ...Burlington Canada, CRC Press, 4 oct. 2020 - 262 p.[82]
voir page 37
(en) Shubhajit Sarkhel, Dronachari Manvi et Ramachandra. Importance nutritionnelle et bienfaits pour la santé de l'extrait de feuille de mûrier: une synthèse (en anglais Nutrition importance and health benefits of mulberry leaf extract: A review), Journal of Pharmacognosy and Phytochemistry, 2020[83].
Cette synthèse sur «le thé du Magicien immortel de la Montagne» (nom indien du thé de feuille de mûrier) donne en 4 pages une vue générale (et impressionnante) de ses bénéfices pour la santé.
(en) Halil Koyu. Genetic Improvement in Context of Climate Change, chap. Pharmacological Uses of Mulberry Products, Boca Raton, CRC Press, 2021. 262 p.[84].
(en) T. K.Lim. Edible Medicinal And Non Medicinal Plants vol. 3 chap. Morus alba (p.400). Springer Science & Business Media, 10 févr. 2012. 898 p.[85].
(en) Dong-Seon Kim, Young Lin Kang et al.Antioxidant activities and polyphenol content of Morus alba leaf extracts collected from varying regions. Biomedicals Reports, vol.2, no5, septembre 2014, p.675–680[86].
(en) Shubhajit Sarkhel Dronachari Manvi. Different drying methods and their aspects of nutritional contents in Mulberry leaves (Morus alba) dans Processing of mulberry leaves: A review. New Delhi, International Journal of Chemical Studies 2021; 9(1), p. 859-865[87].
Comparaisons des méthodes de séchage de la feuille de mûrier
Ruilin Li, Jia Wang, Junyu Liu et Mingyue Li, «Mulberry leaf and its effects against obesity: a systematic review of phytochemistry, molecular mechanisms and applications», Phytomedicine, , p.155528 (ISSN0944-7113, DOI10.1016/j.phymed.2024.155528, lire en ligne, consulté le )
(en) Shubhajit Sarkhel et Dronachari Manvi, «Processing of mulberry leaves: A review», International Journal of Chemical Studies 9(1), , p.859 à 865 (lire en ligne)
(en) Mari Sugiyama et al., «Seasonal Changes in Functional Component Contents in Mulberry (Morus alba L.) Leaves», The Horticulture Journal (The Japanese Society for Horticultural Science JSHS), , p.9 (lire en ligne)
Ding-Qiao Xu, Shu-Yan Cheng, Jun-Qing Zhang et Han-Feng Lin, «Morus alba L. Leaves – Integration of Their Transcriptome and Metabolomics Dataset: Investigating Potential Genes Involved in Flavonoid Biosynthesis at Different Harvest Times», Frontiers in Plant Science, vol.12, , p.2452 (ISSN1664-462X, DOI10.3389/fpls.2021.736332, lire en ligne, consulté le )
(en) Monika Przeor, Ewa Flaczyk, Dominik Kmiecik et Maciej S. Buchowski, «Functional Properties and Antioxidant Activity of Morus alba L. Leaves var. Zolwinska Wielkolistna (WML-P)—The Effect of Controlled Conditioning Process», Antioxidants, vol.9, no8, , p.668 (DOI10.3390/antiox9080668, lire en ligne, consulté le )
(en) Shubhajit Sarkhel et Dronachari Manvi, «Processing of mulberry leaves: A review», International Journal of Chemical Studies 2021 9(1), , p.859 à 865, 7 pages (lire en ligne)
(en) William Tchabo, Giscard Kuate Kaptso, Guillaume Legrand Ngolong Ngea et al., «In vitro assessment of the effect of microencapsulation techniques on the stability, bioaccessibility and bioavailability of mulberry leaf bioactive compounds», Food Bioscience Volume 47, , p.101461 (13 pages) (lire en ligne[PDF])
(en) Slađana Čestić et al., «Phytochemical profile and biological potential of mulberry teas (Morus nigra L.)», Acta Agriculturae Serbica, Vol. XXI, 41, , pp. 26 à 34 (lire en ligne)
Chanida Hansawasdi et Jun Kawabata, «α-Glucosidase inhibitory effect of mulberry (Morus alba) leaves on Caco-2», Fitoterapia, vol.77, no7, , p.568–573 (DOI10.1016/j.fitote.2006.09.003, lire en ligne, consulté le )
(id) Ayudya Mahendaringratry, Gagok Setiawan, «PERENCANAAN PRODUK TEH CELUP HERBAL DAUN MURBEI (MORUS ALBA L.) PKK RT II RW VI KELURAHAN MERJOSARI KOTA MALANG DENGAN METODE QFD (QUALITY FUNCTION DEPLOYMENT)», Conference on Innovation and Application of Science and Technology, , p.6 (ISSN2622-1284, lire en ligne)
Shi Zhong, Yanan Yang, Jinxi Huo et Yuqing Sun, «Dissection of gut microbiota and metabolites reveals the hypolipidemic effect of green mulberry leaf tea / black mulberry leaf tea in mice», Journal of Functional Foods, vol.111, , p.105906 (ISSN1756-4646, DOI10.1016/j.jff.2023.105906, lire en ligne, consulté le )
(ko) E. J. Ye et M. J. Bae, «Comparison of Components between Mulberry Leaf Tea and Fermented Mulberry Leaf Tea», Journal of The Korean Society of Food Science and Nutrition, (ISSN1226-3311, lire en ligne, consulté le )
Man-Jong Bae et Eun-Ju Ye, «Antioxidant Activity and in vitro for Anticancer Effects of Manufactured Fermented Mulberry Leaf Tea», Journal of the Korean Society of Food Science and Nutrition, vol.39, no6, , p.796–804 (ISSN1226-3311, DOI10.3746/jkfn.2010.39.6.796, lire en ligne, consulté le )
Hui-Ae Bae, Hyeon Baek, Hae-Il Park et Myoung-Gun Choung, «Effect of Fermentation Time on the Chemical Composition of Mulberry (Morus alba L.) Leaf Teas», Korean Journal of Medicinal Crop Science, vol.19, no4, , p.276–286 (ISSN1225-9306, DOI10.7783/KJMCS.2011.19.4.276, lire en ligne, consulté le )
Hyun-Joo Lee, Hwan Lee, Yang-Il Choi et Jae-Joon Lee, «Effect of Lactic Acid Bacteria-Fermented Mulberry Leaf Extract on the Improvement of Intestinal Function in Rats», Korean Journal for Food Science of Animal Resources, vol.37, no4, , p.561–570 (ISSN1225-8563, PMID28943769, PMCID5599577, DOI10.5851/kosfa.2017.37.4.561, lire en ligne, consulté le )
(en) Hongcai Li, Siqi Yang, Lingjia Fan et Lin Luo, «Investigating the contribution of mulberry leaf Fu tea to ameliorating metabolic disorders and remodeling gut microbiota in diabetic mice», Food Frontiers, (ISSN2643-8429 et 2643-8429, DOI10.1002/fft2.294, lire en ligne, consulté le )
Siqi Yang, Lingjia Fan, Pei Tan et Wenzhi Lei, «Effects of Eurotium cristatum on chemical constituents and α-glucosidase activity of mulberry leaf tea», Food Bioscience, vol.53, , p.102557 (ISSN2212-4292, DOI10.1016/j.fbio.2023.102557, lire en ligne, consulté le )
(en) Hongcai Li, Siqi Yang, Lingjia Fan et Lin Luo, «Investigating the contribution of mulberry leaf Fu tea to ameliorating metabolic disorders and remodeling gut microbiota in diabetic mice», Food Frontiers, (ISSN2643-8429 et 2643-8429, DOI10.1002/fft2.294, lire en ligne, consulté le )
(zh) L. E. I. Shi-han, Q. U. Ting-qi, H. U. Yan-ling et H. E. Jian-xin, «Preparation and Properties of Functional Mulberry Leaf Tea by Salt-Vinegar Steaming-Fermentation», 食品工业科技, vol.41, no11, , p.177–180 (ISSN1002-0306, DOI10.13386/j.issn1002-0306.2020.11.027, lire en ligne, consulté le )
(en) Rachanee Nammatra, «Phytochemical contents and antioxidant activities of Thai herbal tea from leaves of Morus alba and Citrus hystrix», Journal of Science and Agricultural Technology, vol.2, no1, , p.21–27 (ISSN2730-1532, DOI10.14456/jsat.2021.4, lire en ligne, consulté le )
(ja) ◎問い合わせ （開発に関すること）政策推進室 政策推進係:（販売に関すること）商工観光課 商工観光係 , «神埼市民の健康を願って・・・ 神埼桑菱茶の販売が始まります！Souhaitant la santé des citoyens de Kanzaki ... Kanzaki Mulberry Tea est maintenant en vente!», 市報かんざき Bulletin municipal Kanzaki, , p.3 pages (lire en ligne)
Kim,Dong‑Seon, Kang,Young Min, Jin,Wen Yi et Sung,Yoon‑Young, «Antioxidant activities and polyphenol content of Morus alba leaf extracts collected from varying regions», Biomedical Reports, vol.2, no5, (ISSN2049-9434, lire en ligne, consulté le )
(en) H. A. Bae, H. Baek, H. I. Park et M. G. Choung, «Effect of Fermentation Time on the Chemical Composition of Mulberry (Morus alba L.) Leaf Teas», Korean Journal of Medicinal Crop Science, (ISSN1225-9306, lire en ligne, consulté le )
(en) Pu Jia, Huixin Bai, Shanfeng Jiang, Jincai Liu et al., Mathematical analysis of climatic characteristics of planting areas and biological activity of mulberry branch, Xi’an Xianyang, Northwest University / Northwestern Polytechnical University, , 19p. (lire en ligne), tout
Takuya Katsube, Naoto Imawaka, Yasuhiro Kawano et Yoshimitsu Yamazaki, «Antioxidant flavonol glycosides in mulberry (Morus alba L.) leaves isolated based on LDL antioxidant activity», Food Chemistry, vol.97, no1, , p.25–31 (DOI10.1016/j.foodchem.2005.03.019, lire en ligne, consulté le )
Kayo Doi, Takashi Kojima, Mitsuko Makino et Yumiko Kimura, «Studies on the Constituents of the Leaves of Morus alba L.», Chemical and Pharmaceutical Bulletin, vol.49, no2, , p.151–153 (DOI10.1248/cpb.49.151, lire en ligne, consulté le )
(en) Yi-Chiao Lin, Chieh-Ju Wu, Ping-Chung Kuo et Wen-Ying Chen, «Quercetin 3-O-malonylglucoside in the leaves of mulberry (Morus alba) is a functional analog of ghrelin», Journal of Food Biochemistry, vol.44, no9, , e13379 (ISSN1745-4514, DOI10.1111/jfbc.13379, lire en ligne, consulté le )
(en) Ravindra B. Malabadi, Kiran P. Kolkar, Neelambika T. Meti et Raju K. Chalannavar, «Melatonin: One molecule one- medicine for many
diseases, coronavirus (SARS-CoV-2) disease (Covid19); Function in plants», International Journal of Research and Scientific Innovation (IJRSI) Vol VIII, n° III,, , p.27 pages (lire en ligne)
Guttapalam Sireesha et Nallapu K.V. Sri, «Nutrient and Qualitative Phytochemical Analysis-evaluation of Antimicrobial Activity and Development of Products with Mulberry Leaves (Mulberry indica L.)», Current Nutrition & Food Science, vol.17, no7, , p.708–715 (DOI10.2174/1573401316999201112093131, lire en ligne, consulté le )
(en) Mi Rim Lee, Ji Eun Kim, Ji Won Park et Mi Ju Kang, «Fermented mulberry (Morus alba) leaves suppress high fat diet-induced hepatic steatosis through amelioration of the inflammatory response and autophagy pathway», BMC Complementary Medicine and Therapies, vol.20, no1, , p.283 (ISSN2662-7671, PMID32948162, PMCIDPMC7501671, DOI10.1186/s12906-020-03076-2, lire en ligne, consulté le )
(en) Yanxin Zhang, Wei Du, Xuewen Zhang et Hongmu Zhao, «Antioxidant activity and the potential for cholesterol-lowering of phenolic extract of Morus alba, Morus multicaulis, and Morus laevigata leaves from Yunnan (China)», Journal of Food Biochemistry, vol.41, no1, , n/a–n/a (ISSN1745-4514, DOI10.1111/jfbc.12339, lire en ligne, consulté le )
(en) Yusong Wang, Ka-Young Song et Yookyung Kim, «Effects of thermally treated mulberry leaves on the quality, properties, and antioxidant activities of yogurt», Journal of Food Processing and Preservation, vol.n/a, non/a, , e16139 (ISSN1745-4549, DOI10.1111/jfpp.16139, lire en ligne, consulté le )
(en) Purusothaman Rs, S. Muthuvelu, U. Balasubramanin,
P. Murugesan, «Biochemical Analysis of Mulberry leaves (Morus alba L.) and Silkworm Bombyx mori Emriched with Vermiwash», Journal of Enthomology 9-5, , p.289-295 (ISSN1812-5670, lire en ligne)
(en) Sekar P., Kannadasan N., Kebaraj R. et Eabinezer S, «ESTABLISHMENT OF PROBIOTIC RELATIONSHIP BETWEEN THE MULBERRY LEAVES (Morus alba) AND THE SILKWORM», INFOKARA RESEARCH vol.8 (10), , p.710 à 717 (ISSN1021-9056, lire en ligne)
(en) Hui-Ling Dong, Sheng-Xiang Zhang, Zhuo-Hua Chen et Hui Tao, «Differences in gut microbiota between silkworms (Bombyx mori) reared on fresh mulberry (Morus alba var. multicaulis) leaves or an artificial diet», RSC Advances, vol.8, no46, , p.26188–26200 (ISSN2046-2069, DOI10.1039/C8RA04627A, lire en ligne, consulté le )
(en) Faiz-ul Hassan, Muhammad Adeel Arshad, Mengwei Li et Muhammad Saif-ur Rehman, «Potential of Mulberry Leaf Biomass and Its Flavonoids to Improve Production and Health in Ruminants: Mechanistic Insights and Prospects», Animals, vol.10, no11, , p.2076 (DOI10.3390/ani10112076, lire en ligne, consulté le )
(en) Joanna Biel-Parzymięso, «Effect of Morus alba L. leaf extracts on seeds germination and the seedlings growth of Sinapis alba L. and Cucumis sativus L.», Annales Universitatis Paedagogicae Cracoviensis Studia Naturae, , p.96–109 (ISSN2545-0999, DOI10.24917/25438832.5.7, lire en ligne, consulté le )
(en) Yuting Wang, Zhongwei Yu, Jun Jiang et Yaxin Li, «Mulberry leaf attenuates atherosclerotic lesions in patients with coronary heart disease possibly via 1-Deoxynojirimycin: A placebo-controlled, double-blind clinical trial», Journal of Food Biochemistry, vol.n/a, non/a, , e13573 (ISSN1745-4514, DOI10.1111/jfbc.13573, lire en ligne, consulté le )
(en) Chunli Wang, Qiqi Ma, Zihan Xue et Ruilin Li, «Physicochemical properties, α-amylase and α-glucosidase inhibitory effects of the polysaccharide from leaves of Morus alba L. under simulated gastro-intestinal digestion and its fermentation capability in vitro by human gut microbiota», International Journal of Food Science & Technology, vol.n/a, non/a, (ISSN1365-2621, DOI10.1111/ijfs.14759, lire en ligne, consulté le )
(zh) Yawen Wang, Xiaofeng Duan, Xiaoxiao Cheng, Miaoxin Zhang, Li Li, Ding Zhao, «Les effets régulateurs de la feuille de mûrier et de son extrait sur la fonction intestinale 桑叶及其提取物对肠道功能的调节作用», Journal of Chinese Pharmaceutical Sciences, vol.29, no11, 2020,, p.780 à 792. (DOI10.5246/jcps.2020.11.071)
(en) Yan Du, Ding-xiang Li, Dong-yu Lu et Ran Zhang, «Morus alba L. water extract changes gut microbiota and fecal metabolome in mice induced by high-fat and high-sucrose diet plus low-dose streptozotocin», Phytotherapy Research, vol.n/a, non/a, (ISSN1099-1573, DOI10.1002/ptr.7343, lire en ligne, consulté le )
(en) «Mulberry (Morus atropurpurea Roxb.) leaf protein hydrolysates ameliorate dextran sodium sulfate-induced colitis via integrated modulation of gut microbiota and immunity», Journal of Functional Foods, vol.84, , p.104575 (ISSN1756-4646, DOI10.1016/j.jff.2021.104575, lire en ligne, consulté le )
Isabella Supardi Parida, Soo Takasu et Kiyotaka Nakagawa, «A comprehensive review on the production, pharmacokinetics and health benefits of mulberry leaf iminosugars: Main focus on 1-deoxynojirimycin, d-fagomine, and 2-O-ɑ-d-galactopyranosyl-DNJ», Critical Reviews in Food Science and Nutrition, vol.0, no0, , p.1–29 (ISSN1040-8398, PMID34658276, DOI10.1080/10408398.2021.1989660, lire en ligne, consulté le )
(en) Qinghai Meng, Xu Qi, Ying Chao et Qi Chen, «IRS1/PI3K/AKT pathway signal involved in the regulation of glycolipid metabolic abnormalities by Mulberry (Morus alba L.) leaf extracts in 3T3-L1 adipocytes», Chinese Medicine, vol.15, no1, , p.1 (ISSN1749-8546, PMID31908653, PMCIDPMC6941306, DOI10.1186/s13020-019-0281-6, lire en ligne, consulté le )
(en) Wenyu Cui, Kaiyun Luo, Qian Xiao et Zhaoyue Sun, «Effect of mulberry leaf extracts on glycemic traits: A systematic review and meta-analysis», Food & Function, (ISSN2042-650X, DOI10.1039/D2FO02645G, lire en ligne, consulté le )
(en) Mafauzy Mohamed, Roberto Luis Zagury, Kalpana Bhaskaran et Joel Neutel, «A Randomized, Placebo-Controlled Crossover Study to Evaluate Postprandial Glucometabolic Effects of Mulberry Leaf Extract, Vitamin D, Chromium, and Fiber in People with Type 2 Diabetes», Diabetes Therapy, (ISSN1869-6961, DOI10.1007/s13300-023-01379-4, lire en ligne, consulté le )
(en) Jin-Long Tian, Min Zhao, Jing-Yi Xu et Tian-Meng Lv, «Inhibitory Mechanism of Prenylated Flavonoids Isolated from Mulberry Leaves on α-Glucosidase by Multi-Spectroscopy and Molecular Dynamics Simulation», Journal of Agricultural and Food Chemistry, (ISSN0021-8561 et 1520-5118, DOI10.1021/acs.jafc.3c00776, lire en ligne, consulté le )
(en) Xue Bai, Xinyi Zhao, Kaifeng Liu et Xiaotang Yang, «Mulberry Leaf Compounds and Gut Microbiota in Alzheimer’s Disease and Diabetes: A Study Using Network Pharmacology, Molecular Dynamics Simulation, and Cellular Assays», International Journal of Molecular Sciences, vol.25, no7, , p.4062 (ISSN1422-0067, DOI10.3390/ijms25074062, lire en ligne, consulté le )
Thiraphong Aumasa, Yukiharu Ogawa, Jaspreet Singh et Worawan Panpipat, «The role of herbal teas in reducing the starch digestibility of cooked rice (Oryza sativa L.): An in vitro co-digestion study», NFS Journal, vol.33, , p.100154 (ISSN2352-3646, DOI10.1016/j.nfs.2023.100154, lire en ligne, consulté le )
Maria Maqsood, Raakia Anam Saeed, Amna Sahar et Muhammad Issa Khan, «Mulberry plant as a source of functional food with therapeutic and nutritional applications: A review», Journal of Food Biochemistry, vol.46, no11, , p.1–37 (DOI10.1111/jfbc.14263, lire en ligne, consulté le )
(en) MS Rahman et SMS Islam, «STUDIES ON FOOD, HEALTH AND ENVIRONMENTAL PERSPECTIVES IN
MULBERRY (MORUS SPP.) – A REVIEW», Journal Bio-Sciences. 29(1), , p.17 pages 163 à 179 (lire en ligne)
(en) Megh R. Goyal et Durgesh Nandini Chauhan, Assessment of Medicinal Plants for Human Health: Phytochemistry, Disease Management, and Novel Applications, CRC Press, (ISBN978-1-000-76118-4, lire en ligne)
(en) Shubhajit Sarkhel, Dronachari Manvi et Ramachandra, «Nutrition importance and health benefits of
mulberry leaf extract: A review», Journal of Pharmacognosy and Phytochemistry:, , p.689-695 7 pages (lire en ligne)
.jpg)
.jpg)
