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Le festival des Rias est un festival de théâtre de rue avec accès gratuit, se déroulant chaque année depuis 2009 durant le dernier week-end d'août, sur le territoire de la communauté d'Agglomération Quimperlé Communauté.
Festival des Rias | |||
Logo | |||
Genre | Théâtre de rue | ||
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Lieu | Quimperlé Communauté, France | ||
Coordonnées | 47° 52′ 13″ nord, 3° 32′ 52″ ouest | ||
Période | Fin août à début septembre | ||
Date de création | 2009 | ||
Organisateurs | Quimperlé Communauté et Le Fourneau | ||
Site web | www.lesrias.com | ||
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Les 3 premières éditions se sont déroulés sur les communes de Clohars-Carnoët, Moëlan-sur-Mer, et Riec-sur-Bélon. Durant ces années, le festival a eu lieu sur 3 jours, avec chaque jour un ou deux spectacles dans une commune différente.
Pour commencer, après une rencontre entre les adjointes à la culture de Moëlan-sur-Mer (Isabelle Moign) et de Clohars-Carnoët (Nathalie Le Mahoic) qui ont eu l'idée, en 2008 à l'occasion du lancement du festival Rêves d'Océans (Doëlan), de s'associer pour un évènement culturel, avec très vite aussi la participation de chargée de la culture de Riec-sur-Bélon (Anne Girard), elles rencontrent les directeurs du Fourneau de Brest à l'époque, Michèle Bosseur et Claude Morizur[1], et signèrent une convention de 3 ans avec le centre de Brest[2], ce qui permit à l'édition 2009 de voir le jour.
Elle rassembla 1 500 spectateurs, du 4 au 6 septembre 2009, et eu comme parrain Ronan Tablantec, clown qui intervint durant les 3 jours, accompagné du Ténor de Brest[3],[4]. Cette-année-là, les compagnies Quality Street, Acidu, et le groupe Annibal se présentèrent. Environ 300 personnes assistèrent à la première soirée sur la Rive Droite du port de Doëlan, et le double pour les 2 soirées suivantes à la Chapelle Saint-Léger de Riec-sur-Bélon, et au port du Belon à Moëlan-sur-Mer[3],[5].
L'année suivante, du 3 au 5 septembre 2010, les mêmes principes furent repris. La compagnie Joseph K parraina l'édition en organisant des visites guidées originales chaque jour sur les 3 communes. De plus, les organisateurs recrutèrent des groupes de musiciens locaux pour prolonger les 3 soirées[6].
En 2011, durant le premier week-end de septembre, du 2 au 4, 6 représentations de 4 spectacles furent présenté aux spectateurs, avec Pierre Pilatte comme parrain venu de Belgique. Ces spectacles furent joué dans des endroits pittoresques comme la plage de Kerfany, le port de Doëlan, et la chapelle du Trémor[7],[8]. Trente jeunes des espaces jeunes des trois communes purent, par ailleurs, découvrir le travail d'un artiste résidant à Brest et visiter le Fourneau[9].
À partir de l'édition de 2012, le festival est passé des 3 communes de la côte à l'ensemble des communes de la Cocopaq, avec la participation de seulement une huitaine de communes en fonction des années. Le modèle reste le même, mais l'attractivité touristique et économique du festival a pu augmenter grâce à ce développement.
La IVe édition s'est déroulée sur 6 jours, du mardi 28 août 2012 au dimanche 2 septembre 2012, avec plus de 40 représentations publiques[10] sur huit communes de la communauté de communes. 31 bénévoles ont été recrutés, par Le Fourneau, pour gérer la circulation sur les parkings et les déplacements dans les lieux de représentation[11], et des dizaines d'autres par les associations locales pour les différentes buvettes. Cette-année-là, la venue des Rias a notamment profité à la commune du Trévoux pour faire jouer des groupes de musiques amateurs locaux, en complément des spectacles organisé par Le Fourneau[12].
Pour la 5e édition, 53 représentations jouées par 22 compagnies dans 27 spectacles différents ont été proposées au public, du 28 août au [13],[14]. Le public est venu plus nombreux que l'an passé (9 000 de plus d'après Le Fourneau) jusqu'au petite commune comme Mellac ou Guilligomarc'h[15]. Cette-année-ci, à Bannalec entre autres, près de 100 bénévoles des clubs de sports et des parents d'élèves ont prolongé la soirée d'ouverture du festival, le mercredi 28 août, avec différents points de restauration, et la municipalité avec différents concerts de groupes locaux, en complément des spectacles du festival, dont un avec une tyrolienne partant depuis l'église[16]. À Mellac aussi, 10 associations de la commune ont pris en charge les stands de boissons et de restauration[17], avec leur plus de 80 bénévoles.
L'édition de 2014 a été la IIIe édition sous format intercommunal, et a été marqué par le fait qu'à partir de cette année-là toutes les communes de la Cocopaq avaient accueilli au moins 1 fois le festival. 56 000 spectateurs, dont 4 000 à Saint-Thurien[18] et 23 000 à Quimperlé, ont assisté[19], du 26 au 31 août 2014, à 56 spectacles des 110 artistes de 24 compagnies différentes[20]. Les bénévoles des associations ont encore été de la partie, avec notamment 9 neufs associations à Tréméven[21], et aussi plus 1 700 saucisses et merguez ainsi que 38 fûts de bières vendus à Clohars-Carnoët, par 14 associations, accompagné d'une dizaine de commerçants[22].
Depuis 2015, le festival est désormais connu par tous les habitants de la Quimperlé Communauté, et le festival s'étend désormais sur non plus 8 mais 10 communes tous les ans depuis cette-année-là[23], grâce à la nouvelle convention signée entre les 2 entités organisatrices qui stipule qu'il doit y avoir entre 60 et 70 représentations dans dix communes différentes[2].
Pour la VIIe édition du festival, du 26 au 30 août 2015[24], 23 compagnies ont réalisé les 60 spectacles. Cette édition a débuté le mercredi 26 dès 7h12 sur la plage de Trénez à Moëlan-sur-Mer, avec le café offert pour les lève-tôt alors qu'il pleuvait et que le vent était fort[25],[26]. Seul un spectacle a été annulé en raison de la météo cette-année là[25]. Des évènements locaux ont eu lieu en complément du festival comme : une poissonnade le samedi 28 août à Quimperlé organisé par l'Union des commerçants indépendants[27] ; de la restauration-rapide et un stand cafés, gâteaux et crêpes le 28 et 29 à Locunolé[28] ; et dix-huit associations qui ont proposé de la restauration et des buvettes à Mellac pour un bénéfice de plus de 3 000€[29].
Du 24 au 28 août 2016[30], c'était réparti pour une nouvelle édition, démarrée le mercredi 24 sur les berges de l'Isole à Quimperlé. Une compagnie de plus[31] mais le même nombre de spectacle qu'en 2015 ont eu lieu[32], toujours gratuitement. Les associations, du Trévoux, avec leurs 70 bénévoles le dimanche autour des différentes buvettes qui ont vendu 5 000€ de frites et autres[33],[34], de Querrien, avec différents stands de crêpes et de restauration à emporter[35], de Saint-Thurien, avec une vente de friandises le vendredi et le samedi[36], de Rédéné, avec plus de 10 associations de la commune pour la vente de sandwich et de grillades[37], de Quimperlé, avec les 253 repas de l'annuel poissonnade de l'UCI[38], et de Guilligomarc'h[39], ont aidé les 400 bénévoles de la Quimperlé Communauté[40] à l'organisation. Une seule représentation a été annulée, celle de Joan Català i Carrasco le vendredi 26, car l'artiste avait de la fièvre[41].
En 2017, la neuvième édition s'est déroulée du mardi 29 août au samedi 2 septembre, avec un coup d'envoi à la source du Dourdu (à la ferme du Rouhas à Mellac), et un finale avec un bal à Bannalec[42], ainsi qu'un parmi tant d'autres détours, avec le spectacle Santonin de Nicolas Moreau, qui a raconté la première guerre mondiale en utilisant près de 40 kg de pommes de terres[43]. Cette année-là, le thème était sur la revitalisation des centres-villes et centres-bourgs[44]. Du côté associatif, à Tréméven, l'adjointe à la culture et 7 associations trémévenoises ont organisé une ratatouille géante, cuit à l'aide de 11 fours de trémévenois, et des stands de sandwichs, qui ont rapporté près de 3 300 €[45],[46], tandis qu'à Bannalec une douzaine d'associations locales, et leur centaine de bénévoles, ont tenu 2 buvettes et un stand de crêpes, frites, sandwichs, etc[47]... De plus, une discussion autour des arts de la rue s'est déroulé à Tréméven et a permis de rappeler les origines du festival[48].
Depuis 2018, c'est Caroline Raffin qui dirige le Fourneau, et non plus Claude Morizur et Michèle Bosseur, qui étaient co-directeurs depuis le début du festival[49].
Pour 2018, entre 28 août et le 1er septembre, près de 70 spectacles ont été proposés par 30 compagnies[50], et leur 115 artistes[51]. La dixième édition a démarré au site de l'ancienne Abbaye de Saint-Maurice (Clohars-Carnoët), le mardi 28 à 9h33 devant 800 personnes[51],[52], et s'est terminée le samedi 1er, après le spectacle de 22h32 dans la basse-ville de Quimperlé[53]. Par ailleurs, ce même-jour, plus de 2 000 personnes s'étaient rassemblées à Guilligomarc'h pour assister au spectacle, ce qui a plus que doubler la population du village[2]. La partie convivialité a été encore une fois assuré par les associations locales avec : douze associations à Rédéné qui ont reçu après-coup 119€ chacune[54] ; une cinquantaine de bénévoles à Saint-Thurien[55] ; le comité des fêtes à Baye[56] ; et 7 associations au Trévoux qui ont engendré près de 6 500€ de recettes[57]. Pour la 7ème année, un rendez-vous de pause pour discuter du futur des arts de la rue a été organisé.
Les 10 ans du festival se sont ouverts le mardi 27 août 2019 à 16h10 et 11 secondes précises, avec le traditionnel « gong » du président de la communauté d'agglomération, Sébastien Miossec, à Moëlan-sur-Mer[58]. Par la suite jusqu'au samedi 31 août[59], 68 représentations de 33 spectacles de 31 compagnies, dont 6 bretonnes, ont été jouées au public[60]. Avec les 200 parts de rougail-saucisses des 52 bénévoles de Tréméven[61],[62], les près de 5 500 € de notamment galettes-saucisses des 90 de bénévoles à Mellac[63],[64], les grillades et crêpes de 6 associations scaëroises[65], un concours de pronostics sur la masse d'un gâteau à Quimperlé[66], ou encore les sandwiches d'associations du monde de l'enfance de Bannalec[67], les associations locales ont aidé. À noter que trois mois avant tout cela, une vingtaine de personnes de la gendarmerie, des pompiers, de la préfecture, et des élus ont été formés lors d'ateliers à gérer des situations de crises inédites, comme un accident de train à Quimperlé en plein festival[68].
Après que l'édition de 2020 ait été annulée le 6 mai de la même-année en raison des différentes incertitudes liées aux restrictions sanitaires[69], la 12e édition du festival s'est déroulée du 24 au 28 août 2021[70]. En février 2021, la directrice du Fourneau et le Président de Quimperlé Communauté affirmaient travailler sur les différentes adaptations à faire[70], et en juin, ceux-ci ont annoncé qu'il faudrait obligatoirement réserver sa place à l'avance pour assister aux 70 représentations de 35 spectacles qui se sont déroulés[71],[72]. Finalement, après un énième changement des règles sanitaires, il a été décidé d'appliquer le passe sanitaire à tous les spectacles (sauf ceux en déambulation), car celui-ci était devenu obligatoire pour tout rassemblement de plus 50 personnes statiques. La XIIème édition a pu donc commencer, mais en ligne, avec la publication d'une vidéo d'inauguration sur le site du festival[73]. De plus, toujours pour les mêmes raisons, seule une buvette a pu être ouverte, à la déception des organisateurs[74].
D'abord, les représentants du Fourneau font part de leurs idées de choix artistique (compagnies, type de représentation, etc.) et en discutent avec la Quimperlé Communauté et les élus des communes de l'agglomération[2]. Puis les communes et les organisateurs effectuent la programmation des spectacles[42], et ces-derniers travaillent la signature de partenariats comme avec des services locaux publics ou privés, comme le centre E.Leclerc de Quimperlé[75], le réseau de transport en commun (TBK), ou le camping du Kerou à Clohars-Carnoët qui a donné 5 000€ à l'agglomération pour être partenaire[76].
Les associations sportives et culturelles des communes s'accordent ensuite avec celles-ci pour proposer des services de restauration rapide et de buvettes autour des spectacles.
De plus, le Fourneau de Brest recherche chaque année des bénévoles, et organise des réunions d'information fin juin pour la bonne organisation des spectacles. Ces bénévoles aident dans n'importe quel domaine, que ce soit aux coups de main techniques, à l'accueil du public ou à la mise en place des loges[77].
Le festival se déroule sur 10 communes du pays de Quimperlé, dont les 3 d'origine (Clohars-Carnoët, Moëlan-sur-Mer, et Riec-sur-Bélon), et 7 autres choisis dans la Quimperlé Communauté. Les spectacles se déroule à des heures précises, mais étonnantes comme 07h12, 20h47, 22h23, etc. Cette particularité de la programmation permettrait, notamment, au Fourneau de se différencier par rapport à d'autres festivals, ainsi que de représenter les petits écarts de la vie quotidienne et de permettre aux spectateurs de mieux retenir les horaires de spectacles[78].
Le public vient généralement environ 30 minutes avant le début de la représentation, mais il arrive qu'il arrive en plein milieu d'un spectacle, surtout à Quimperlé le vendredi et le samedi, où ceux-ci s'enchaînent et s'empilent de par et d'autres du centre-ville du début de l'après-midi à la fin de soirée, créant ainsi des mouvements de foule à pied, pouvant gêné le déplacement des secours. Certains festivaliers s'équipent d'une chaise de camping pour s'installer, mais des moquettes à l'avant accompagné de gradin derrière sont disponibles, sauf pour les derniers arrivants qui doivent donc rester debout.
Le matériel des artistes, mais aussi la nourriture des loges, les projecteurs, les microphones, les clefs de la vingtaine de véhicules, la centaine de talkiewalkies, etc., sont stockés au magasin de l'Espace Benoîte Groult (anciennement salle du Coat-Kaër) à Quimperlé, avant d'être réparti sur les lieux de représentations. Les techniciens mettent environ vingt heures, en fonction des spectacles, pour déplacer le matériel d'une ville à une autre[79]. Les gradins font partie de ce matériel, ils ont été fabriqués par Le Fourneau pour pouvoir être installé facilement et rapidement, en environ 20 minutes.
Plus de 100 techniciens et bénévoles travaillaient à l'EBN[n 1], en 2013[80]. Les années suivantes, parmi les bénévoles, des jeunes en services civiques ont été invités, en 2016[79], ainsi qu'une trentaine de jeune d'un foyer brestois, en 2018[81]. Au total, il y a environ chaque année environ 600 bénévoles, dont 500 d'associations locales, et une centaine recruté par le Fourneau, qui participent à l'évènement[42]. De plus, en fonction de leur planning, les techniciens, les bénévoles, et les artistes bénéficient de repas gratuits notamment fournis par les cuisines de l'EBN[n 1], qui ont servi près de 2 300 repas en 2021[82].
Le réseau de transport de la communauté d'agglomération, TBK, proposent des bus gratuits pour accéder aux différents spectacles depuis plusieurs années[84], dont : la ligne TBKNOZ en 2016[85] ; un circuit adapté de cette même ligne en 2017[44] ; ou des lignes spéciales sur réservation en 2018[86].
Comme évoqué plus haut, les associations sportives et culturelles locales s'investissent dans la mise en place de point de restauration pour pouvoir remplir leur trésoreries, qui leur permettent d’organiser plus d'activités par la suite[87],[88],[89],[2]. En 2021, à cause des restrictions préfectorales liés à la situation sanitaire, ces buvettes n'ont pas été au rendez-vous, ce qui a posé problème notamment à Guilligomarc'h car les visiteurs ne pouvaient pas se rabattre sur les commerces du village, vu que la commune n'en possède aucun[74].
Une étude, réalisée lors de la 10ème édition, par le cabinet GECE, avec des questionnaires sur internet, a montré que le spectateur type serait une femme de 51 ans, venant en famille pour voir 6 spectacles sur 3 jours sur 3 communes différentes[90].
Cette même étude nous apprend que 24 % des festivaliers seraient des touristes, et ces-derniers disent à 85 % qu'ils ne seraient pas venues sans le festival. Par ailleurs, les festivaliers de 2019 avaient vu à 46 % au moins quatre éditions, alors que ceux-ci n'étaient qu'à 41 % des habitants de Quimperlé Communauté[90].
Quimperlé Communauté | 41% |
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Département du Finistère | 26,5% |
Département du Morbihan | 17% |
Département des Côtes-d'Armor ou de l'Ille et Vilaine | 5% |
Autres départements français | 10% |
Autre pays / Étranger | 0,5% |
Le festival permet à de nombreux commerces locaux d'augmenter leur chiffre d'affaires pendant la durée de celui-ci, comme le dimanche , où plusieurs milliers de spectateurs, venues assister aux derniers spectacles au Trévoux[96], ont remplit le peu de bars et commerces de la commune pendant les averses de pluie[97].
Il permet aussi d'attirer aussi des touristes dans la région. Des visiteurs français, mais aussi anglais et néerlandais à 20% en 2015 et 15% en 2016 (sur l'ensemble de la période estivale), qui déclareraient, pour certains, venir expressément pour voir les spectacles[98]. D'ailleurs le festival est le troisième évènement qui attirait le plus de monde dans le pays de Lorient en 2018, après le Festival Interceltique et les matchs du FC Lorient[99]. Pour les responsables de l'Office du tourisme, ce festival est un produit phare, qui permet de faire la différence avec d'autres régions[100].
Enfin, d'après l'étude du cabinet GECE, en 2019, la dépense moyenne d'un festivalier des Rias pendant l'évènement serait de 28,8€, et les spectateurs venues d'en dehors de la Quimperlé Communauté auraient engendré un impact de 210 000 € pour les commerces de la communauté d'agglomération. Au total, en 2019, 276 000 € aurait été dépensé par le public, dont 44 000 € en hébergement, et 86 500 € en restauration (50 000 € dans les stands et 36 500 € dans les restaurants)[91].
En 2018, le festival coutait près 500 000 €, avec un financement à moitié par la Quimperlé Communauté (260 000 € en 2018 auxquelles s'ajoutent les près de 80 000€ de budget communication et salaires des signaleurs[2]), puis 15 000 € du département du Finistère, 70 000€ de la Région Bretagne, et les 155 000 € restant de la part des partenaires privés et du Fourneau[51]. Cela fait aussi, une dépense de 10 euros en moyenne pour chaque spectateurs en 2019, avec un coût de 600 000 €, dont 285 000€ pour la Quimperlé Communauté et 15 000 € du département cette année-ci[101],[102],[103].
Le budget sécurité, qui est passé d'environ 20 000 euros en 2015, à 40 000 euros en 2016[2], puis à 55 906 euros en 2018, à cause en partie des attentats de la promenade de anglais, a atteint 80 000 euros lors la dernière édition de 2019[104].
Ce budget permet d'avoir notamment des agents de sécurité. Ils étaient 70, dont plusieurs chiens entraînés avec leur maître, en 2021, et ont été chargé, en plus des autres éditions, de vérifier le passe sanitaire des festivaliers. Ils ont été hébergé aux abords du stade de Mellac, après avoir été logé à Bannalec avant 2017, puis à Tréméven jusqu'en 2019[105].
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