Feng Zhang
chercheur en biologie De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Feng Zhang, né le , est un neuroscientifique et généticien américain[1]. Il est connu comme étant l'un des pionniers dans le développement d'outils d'édition génomique CRISPR-Cas9.
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Feng Zhang
| Naissance | |
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Université Stanford (baccalauréat universitaire) ( - Université Harvard (doctorat) ( - École de médecine de l'université Stanford Theodore Roosevelt High School (en) |
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| Directeur de thèse | |
| Distinctions | Liste détaillée Perl-UNC Prize (en) () Les dix scientifiques de l'année () Prix Gabbay (d) () Prix Alan T. Waterman () Lauréats Clarivate des chercheurs les plus cités (en) () Médaille John-Scott () Prix Gairdner () Albany Medical Center Prize () Prix Lemelson–MIT () National Institutes of Health Director's Pioneer Award () Prix Harvey () Prix de médecine de l'université Keiō () Prix Richard-Lounsbery () Edward Novitski Prize (en) () National Medal of Technology and Innovation () Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences Prix Tang (en) |
Biographie
Résumé
Contexte
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Il est connu pour ses recherches sur l'optogénétique et sur les CRISPR. Il enseigne et dirige ses recherches au Massachusetts Institute of Technology[2].
Il a reçu le prix Gairdner en 2016[3]. Il est également lauréat en 2021 du prix Richard Lounsbery de l'Académie des Sciences française et l'Académie nationale des Sciences américaine « pour ses résultats pionniers dans le domaine de l’édition génomique incluant la découverte de nouveaux systèmes CRISPR et leur développement en tant qu’outils moléculaires. »[4]. Chercheur au Broad Institute d’Harvard, il s'oppose à Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna concernant la paternité de cette découverte scientifique. Il découvre cette technologie en 2012 et dépose un brevet en 2014 selon une procédure accélérée et l’obtient avant l’université de Berkeley où sont affiliées les deux chercheuses. L’établissement d’Emmanuelle Charpentier dépose une plainte au tribunal des brevets américains, pour accuser le Broad Institute d’interférence, c’est-à-dire d’avoir breveté une technologie déjà en partie brevetée. Le Broad Institute ne nie pas s’être inspiré des travaux d’Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna mais la définition présentée au bureau des brevets comporte une différence de taille avec le texte soumis par l’UC Berkeley[5]. En 2016, l'office des brevets américain (USPTO) rend une décision favorable à l'équipe de Feng Zhang du Broad Institute[6].
Il reçoit en 2025 la National Medal of Technology and Innovation[7].
Notes et références
Liens externes
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