famille issue en ligne féminine de la famille de Tournemire, branche de Malaric, qui commence avec:
Charles de Salhas de Tournemire (1806-1884), fils de Georges Adou de Salhas (Lombez 1784-Toulouse 1864) et de Marie-Joséphine de Tournemire (1785), dernière de la branche des comtes de Tournemire, fut autorisée par décret du à porter le nom de Salhas de Tournemire
Famille Vacher de Tournemire. Famille issue en ligne féminine de la famille de Tournemire, branche aînée, qui aurait été anoblie et titrée baron sous Louis XVIII, actuellement éteinte en ligne légitime. Elle commence avec:
Charles Vacher de Tournemire (Pleaux 1687 - Escorailles 1776), fils de Jean Vacher et de Marguerite de Tournemire. Il fut sous inspecteur des haras, procureur fiscal de la baronnie d'Escorailles, et de la seigneurie du prieuré de Drugeac. Il eut pour fils:
Jean-Baptiste Vacher de Tournemire (Escorailles 1723 - Escorailles 1806), maire d'Escorailles, avocat en parlement, juge seigneurial de Mauriac, subdélégué de l'intendant d'Auvergne à Mauriac. Il eut pour fils:
Jean-Charles Vacher de Tournemire (Pleaux 1755 - Escorailles 1840), sieur de Bourlanges, de Veyrières, de Visis, coseigneur d'Ally, Président du directoire du Cantal (1791-1792), membre du Conseil des anciens (1795), recteur de Clermont, président du tribunal de Mauriac (1809-1823), membre de la Société des Antiquaires de France. Il eut deux fils:
Bernard Vacher de Tournemire (Aurillac 1788 - Saint-Germain-en-Laye 1861), garde du corps du roi Louis XVIII, compagnie écossaise en 1814, général de division en 1848, chevalier de la Légion d'honneur, du Lys et de Saint-Louis. De son mariage il n'eut que des filles, mais un fils naturel, Charles-Émile, qui suit:
Étienne Vacher de Tournemire (Mauriac 1792-), membre du Conseil général du Cantal, n'eut qu'une fille
Charles-Émile Vacher de Tournemire (Toulon 1812 - Toulon 1872), peintre orientaliste. De son mariage avec Marie-Émilie Chauvin, il eut deux filles et trois fils qui se sont mariés au Parguay
Famille Jourdain de Tournemire, à partir du XIIesiècle, seigneur de Tournemire (Aveyron) dans le Rouergue, qui a porté le nom de Jourdain de Tournemire, puis de Tournemire[2].
Bourgeois de Montpellier, anoblissement avec sa femme par lettres patentes en 1368, selon Godé de Soudé, Gourdon de Genouillac, Dictionnaire des anoblis 1270-1868.
Pierre Theil, L'esprit éternel de la médecine: Anthologie des écrits médicaux anciens, t.3: Le Moyen Age européen, Paris, Annales de Médecine Praticienne et Sociale, , 458p., p.421-422.